Il se passe de drôles de choses entre l'algerie et la tunisie.
à première vue, les deux capitales sont sur des lignes politiques opposées puisqu'à alger teboune tente de faire passer une amnestie des éléments du fis emprisonnés depuis 1993 tandis que tunis organise, sous la houlette de qaïs saïed, un référendum pour marginaliser le parti ennahdha équivalent politique du fis en algérie.
Mais à y regarder de plus près, les choses se passent comme si la région du maghreb (y compris le maroc) propose une réponse commune au phénomène islamiste.
Ainsi, dans le cas de la tunisie, le soutien d'alger s'exprime à travers 3 gestes politiques forts. D'abord l'invitation conjointe lancée pour l'occasion du 5 juillet à qaïs saïed et au patron de l'UGTT, la puissante centrale syndicale tunisienne pour une médiation de soutien au référendum sur la nouvelle constitution qui exclut que l'islam soit la religion de l'état tunisien ; ensuite l'ouverture des frontières terrestres entre les deux pays, puis l'annonce de l'arrestation en algérie de l'ancien chef du renseignement tunisien et son extradition vers tunis qui va sûrement l'utiliser pour faire pression sur ennahda.
Résultats des courses, les islamistes sont neutralisés dans le cadre d'une réponse régionale même s'il y a encore des choses à rajouter sur la démarche importante de nos amis marocains, je ne parle pas des ayachas bien sûr
à première vue, les deux capitales sont sur des lignes politiques opposées puisqu'à alger teboune tente de faire passer une amnestie des éléments du fis emprisonnés depuis 1993 tandis que tunis organise, sous la houlette de qaïs saïed, un référendum pour marginaliser le parti ennahdha équivalent politique du fis en algérie.
Mais à y regarder de plus près, les choses se passent comme si la région du maghreb (y compris le maroc) propose une réponse commune au phénomène islamiste.
Ainsi, dans le cas de la tunisie, le soutien d'alger s'exprime à travers 3 gestes politiques forts. D'abord l'invitation conjointe lancée pour l'occasion du 5 juillet à qaïs saïed et au patron de l'UGTT, la puissante centrale syndicale tunisienne pour une médiation de soutien au référendum sur la nouvelle constitution qui exclut que l'islam soit la religion de l'état tunisien ; ensuite l'ouverture des frontières terrestres entre les deux pays, puis l'annonce de l'arrestation en algérie de l'ancien chef du renseignement tunisien et son extradition vers tunis qui va sûrement l'utiliser pour faire pression sur ennahda.
Résultats des courses, les islamistes sont neutralisés dans le cadre d'une réponse régionale même s'il y a encore des choses à rajouter sur la démarche importante de nos amis marocains, je ne parle pas des ayachas bien sûr

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