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La vaccination est un échec médical mais un succès financier et un triomphe du despotisme (1/3)

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  • La vaccination est un échec médical mais un succès financier et un triomphe du despotisme (1/3)

    La vaccination est un échec médical mais un succès financier et un triomphe du despotisme (1/3)


    par Khider Mesloub

    04 - 08 - 2022


    Comment entretenir la pandémie, pour justifier et légitimer l'aggiornamento sanitaro-sécuritaire moderne accompli avec des moyens de conditionnement psychologique hautement technologique, sinon par la fabrication hystérique du péril viral mythologique agrémenté de maquillages statistiques délibérément amplifiés.

    Comment justifier et légitimer l'accélération de la destruction des infrastructures économiques considérées comme obsolètes du point de vue du grand capital, occulter l'exacerbation des tensions militaires généralisées sur fond de la militarisation de la société associée à une stratégie de contrôle social, sinon par une énième vague de propagandes sanitaires virales, appuyées sur un traitement de l'information anxiogène propre à susciter un état de sidération sur fond de psychose collective.

    Comme le disait Hermann Göring, ministre sous le régime nazi et fondateur de la Gestapo : « Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez ».

    Pour la énième fois, alors que le Covid-19 était depuis quelques mois en voie de résorption, les gouvernants viennent de réactiver la fabrique de la peur par la diffusion de l'invariant scénario catastrophe porté par le terrifiant variant Omicron (et ses dérivés démultipliés à volonté par des séquençages effectués en laboratoire pour les besoin de la cause), ce serial Keller menaçant, selon les metteurs en scène gouvernementaux jamais à court d'imagination, l'humanité de disparition.

    Or, selon les experts, certes le variant Omicron, tout comme ses dérivés, est plus contagieux, mais incontestablement moins létal que les précédents des premières vagues (notamment le variant Delta). À écouter les gouvernants, le dernier variant Omicron, telle la peste, s'apprêterait à décimer des millions de personnes, y compris les quadruples vaccinées. Preuve de l'inefficacité des vaccins ARN-m.

    À cet égard, depuis peu, curieusement, les médias publient régulièrement des informations relatives à l'apparition d'un nouveau fléau: la variole du singe. Maladie qu'on croyait définitivement éradiquée. Mais sous le capitalisme, les fléaux ne s'estompent provisoirement que pour ressusciter avec plus de virulence sous une forme pathologique encore plus cruelle (guerre, paupérisation, maladies, fascisme, fanatisme, racisme, etc.).

    Selon l'OMS, curieusement alarmiste comme lors de la pandémie de Covid-19, les cas détectés pourraient n'être que « le sommet de l'iceberg » (autrement dit, il faut s'attendre à une flambée statistiquement fabriquée de cas). Déjà, par une réaction sécuritaire devenue coutumière, en Belgique, le gouvernement, singeant les mesures restrictives instaurées lors de la pandémie de Covid-19, a décrété un confinement de trois semaines pour les personnes infectées de la variole du singe. Une décision qui pourrait être suivie par d'autres pays européens touchés par la maladie. Faut-il s'attendre à l'instauration du confinement total pour cause de variole du singe ?

    Paradoxalement, toujours selon les médias : les personnes âgées – les plus de 50 ans – sont immunisées contre la variole car elles auraient été vaccinées dans leur enfance au cours des années 1960/1970. Ainsi, un authentique vaccin demeure efficace 60 ans après son injection. Contrairement aux nouveaux produits commerciaux médicaux que la maffia gouvernementale et pharmaceutique ont mis sur le marché, vendus sous l'étiquette de vaccins ARN-m. De surcroît, ces vaccins ARN-m, élaborés à la hâte, toujours en phase d'essai clinique, ont été conçus pour contrer le virus souche de Wuhan. Selon les spécialistes, comme l'avaient prouvé les successives vagues de contaminations, ces vaccins ne semblent pas adaptés pour contrer les nouveaux variants, à plus forte raison contre les prochains variants annoncés « prophétiquement » (j'allais écrire profitiquement, tant l'enjeu financier est, sans jeu de mot, capital) par de nombreux « experts », à l'orée de l'hiver prochain.

    Sans conteste, les vaccins ARN-m semblent avoir une médiocre efficacité. Pire : ces produits participeraient, selon certains experts, aux mutations du virus. Et pour cause. Les vaccins ARN-m occidentaux semblent avoir la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu'ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré notamment par le laboratoire Sinovac) capable de coder une multitude. Autrement dit, les vaccins à ARN-m favoriseraient, selon les spécialistes, l'apparition de mutations résistantes, c'est-à-dire la multiplication de variants. Comme le reconnaît le chercheur de l'Institut Pasteur, Frédéric Tangy, spécialiste des vaccins : « Vacciner plus en plus de monde va faire naître d'autres variants résistant aux réponses immunitaires ».

    À cet égard, le choix des gouvernements occidentaux, à l'instigation des laboratoires pharmaceutiques, d'acquérir exclusivement les nouveaux vaccins ARN-m, réputés pour leur spécificité de favoriser la création de mutants, interpelle. Par ce stratégique choix vaccinal ARN-m à l'efficacité médiocre, les gouvernements occidentaux entretiendraient-ils délibérément la pandémie par sa pérennisation opérée par la réapparition de nouveaux variants, nécessitant ainsi, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, des rappels vaccinaux semestriels pour une longue période, afin d'enrichir les Big Pharma, mais également de justifier l'instauration de la dictature sanitaro-sécuritaire, bouclier du programme du Grand Reset actuellement grandement mis en œuvre ?

    À la vérité, selon les médecins, l'actuel variant Omicron (et ses dérivés) ne provoquerait qu'un gros rhume. Une chose est sûre, depuis l'année dernière la diminution du nombre de décès a été relevée dans tous les pays.

    En tout état de cause, pendant que la masse des citoyens occidentale, tétanisée et paupérisée investissaient les lucratifs laboratoires et les rentables vaccinodromes pour se shooter à l'opium vaccinale, avoir sa dose de vaccin (ironie de l'histoire, ViteMaDose est le nom donné à l'application gérant les rendez-vous vaccinaux), les puissants du monde investissaient leurs capitaux pour refonder l'économie à leur seul profit, leur énergie policière pour blinder leur pouvoir au moyen de la vigoureuse dictature sanitaro-sécuritaire, affichant une santé boursière florissante et insolente, pour se livrer aux préparatifs de guerre par la course au réarmement, matérialisée par l'achat d'engins de morts acquis en lieu et place d'infrastructures hospitalières et matériels médicaux toujours autant sacrifiés sur l'autel du capital, alors que nous étions censés être en pleine crise de pandémie de Covid-19.(Pour preuve de l'absence totale d'investissements dans le système de santé pour le doter de nouveaux équipements médicaux et le renforcer par le recrutement d'agents hospitaliers au cours de la plus dramatique crise sanitaire de l'histoire moderne, pour ne citer que le cas de la France, les hôpitaux manquent toujours cruellement de moyens. « Je ne sais pas comment on va passer l'été » à l'hôpital », a alerté, le samedi 28 mai, Philippe Juvin, chef du service des urgences de l'hôpital Pompidou. « Dans tous les hôpitaux de France aujourd'hui, on manque de personnel », a-t-il précisé. « Je suis très inquiet. Nous pensons que l'été va être très difficile. Je vous le dis très simplement, si rien n'est fait, si on ne change rien, je ne sais pas comment on va passer cet été, on peut avoir des morts. », s'est-il alarmé.)

    De même, ironie de l'histoire, pendant que la population occidentale, tétanisée et terrorisée, était confinée par les gouvernants pour échapper à la virtuelle menace d'un prétendu serial Keller, le Covid-19 (cette arlésienne), une réelle menace se précisait, autrement plus concrètement meurtrière que le débonnaire coronavirus : la Troisième Guerre mondiale. Troisième Guerre mondiale préparée par les mêmes dirigeants qui prétendent se soucier de la santé des populations, se battre pour sauver des vies humaines des griffes inoffensives du coronavirus, pendant qu'ils leur réservaient en coulisse une mort certaine sous les bombes, voire armes nucléaires. Cette troisième guerre mondiale vient de démarrer sur les chapeaux de roue en Ukraine, première étape des conflits militaires généralisés.

    Ainsi, les préparatifs de guerre enclenchés par le bloc atlantiste atteignent actuellement leur point culminant. Mais, comme l'avait déclaré devant l'assemblée parlementaire de l'OTAN Donald Trump : « un pays débiteur – importateur – et client dépendant – ne peut entrer en guerre contre un pays créditeur – exportateur – et fournisseur de biens stratégiques essentiels » (il visait la Chine). La crise sanitaire avait donné raison à Trump avec « la guerre des masques » livrée au début de la pandémie entre les pays occidentaux dépendants pour se procurer la précieuse marchandise auprès de la Chine, principal producteur, donc fournisseur. Au début de la pandémie, en février-mars 2020, les pays occidentaux, désindustrialisés depuis plusieurs décennies, avaient pris conscience de leur dépendance vis-à-vis de la Chine en matière de fourniture de produits manufacturés indispensables.

    Actuellement, la guerre entre les pays pour l'approvisionnement des marchés occidentaux dépendants des fournisseurs manufacturiers chinois a pris des proportions alarmantes, sans oublier la dépendance vis-à-vis de l'énergie russe, du pétrole arabe, des matières premières et provisions des pays du Sud. La dernière dépendance relevée par les pays occidentaux, paralysant de nombreuses entreprises, concerne les composants électroniques fabriqués exclusivement en Asie (les États-Unis et les pays atlantistes, notamment européens, ne produisent que 10% des semi-conducteurs sur leurs territoires).

    Aussi, pour se conformer aux recommandations de Trump qui préconisait, comme on l'a rapporté plus haut, l'indépendance économique avant de mener une guerre contre un pays producteur-fournisseur, les pays occidentaux ont commencé à mettre en application ce programme d'économie auto-suffisante, de « relocalisation » de la production manufacturière établie jusqu'à présent majoritairement en Chine. À cet égard, il est important de souligner que les récentes pénuries constatées en Occident ont été délibérément accentuées (planifiées) pour obliger les pays atlantistes (leurs patronats) à réorganiser leur approvisionnement indépendamment des pays de l'Alliance de Shanghai (Chine, Russie, Inde, Iran, etc.), en vue de pouvoir poursuivre leurs préparatifs de guerre en toute indépendance. Mais, également, pour justifier la hausse des prix que les prolétaires devront supporter, induisant la baisse de leur pouvoir d'achat. Donc la dégradation de leurs conditions sociales, l'affaiblissement de leur résistance, facilitant ainsi leur soumission et leur enrôlement dans la future guerre globale en préparation.

  • #2
    La vaccination est un échec médical mais un succès financier et un triomphe du despotisme (2/3)

    par Khider Mesloub

    06 - 08 - 2022


    Après cette parenthèse polémologique, reprenons le fil de notre analyse sur le factice mais fructueuse vaccination à base de produits commerciaux ARN-m. Pour preuve de l'inefficacité des vaccins contre le coronavirus, la publication d'une étude israélienne dans Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité plus grande qu'un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle développée après l'infection par le Covid est 13 fois plus efficace contre le variant Delta que l'administration du vaccin Pfizer. Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au variant Delta, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2 étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais infectées d'obtenir Delta, d'en développer des symptômes ou d'être hospitalisées avec un Covid-19 grave », rapportait Science Magazine.

    Selon le magazine, « Il s'agit de la plus grande étude d'observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l'immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l'immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens.

    Néanmoins, il convient de souligner que l'étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l'infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection offerte par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c'est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme on le sait, un virus est toujours en mutation. C'est sa nature. C'est une loi de l'évolution. Qui plus est, le virus n'a pas intérêt à tuer son hôte car, en le tuant, il disparaît également. En tout état de cause, l'homme est porteur d'anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d'un virus.

    Quand la santé du capital prime celle de l'être humain, l'injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d'essai clinique, devant leur échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, les laboratoires proposent d'administrer une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose.

    À ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d'ordre financier. Le chiffre d'affaires de l'entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d'affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderdna : 20 milliards de chiffres d'affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65.000 dollars de bénéfices par minute. Avec l'augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques.

    Pourtant, initialement, les marchands pharmaceutiques affirmaient qu'avec l'administration de deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90% pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on avait découvert que leur efficacité était d'à peine 39%. Pire : les deux doses ne protègeraient de la maladie qu'une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s'appuyer sur aucune étude clinique, les marchands des laboratoires pharmaceutiques soutiennent maintenant qu'une quatrième (cinquième) dose doit être administrée pour garantir une meilleure protection (sic).

    Comment croire qu'une quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ?

    Exhibé comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd'hui la vaccination peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le « nouveau Graal » de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins. Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d'Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » est censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l'économie malmenée par le virus, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L'injection de deux doses d'ARN-m allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous assignation de résidence, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé.

    Aujourd'hui, après deux années d'expérimentation, malgré l'injection de trois ou quatre, la vaccination n'a pas tenu ses promesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance.

    Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux dont 80% de la population adulte sont pourtant vaccinés enregistrent une augmentation de cas. Selon ces organes gouvernementalement informés, on assiste à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée. Certains pays, outre l'injection d'une quatrième dose de l'inefficace vaccin ARN-m, envisageraient de rétablir les mesures restrictives « pour soi-disant juguler la propagation du virus ». D'aucuns, comme au temps du début de la pandémie ou actuellement en Chine, suggèrent d'instaurer un nouveau confinement, mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Éric Raoult. Ainsi, dans ces pays, malgré une couverture « vaccinale » de plus de 80% de la population adulte, sévit toujours une flambée de cas. La vaccination de la majorité de ces populations n'a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus, ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l'hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus. Au contraire, ces vaccins faciliteraient l'augmentation des anticorps facilitants, comme on l'a souligné précédemment. En effet, en raison de la multiplication de la vaccination, les successifs variants deviennent résistants à tous les vaccins, mais pas à l'immunité naturelle, du fait de l'accumulation des taux d'anticorps facilitants provoqués par les injections répétées des doses de vaccins ARN-m. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort.

    Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins qui favorisent ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant les non-vaccinés d'être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés. Comme le recommandent les experts, notamment japonais, dans l'attente de l'adaptation du vaccin au nouveau variant, pour éviter les mutations générées par les vaccinations répétitives, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l'expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n'a aucune utilité médicale, sinon d'enrichir les laboratoires pharmaceutiques.

    Or, en dépit de l'échec de la vaccination, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d'adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l'injection d'une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Selon les auteurs de l'étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés.

    Devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s'apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer, à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection. Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France, incitent-ils à ce rappel sans aucun argument scientifique ni essai clinique ?

    Par ailleurs, curieusement, depuis l'apparition de la pandémie, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques stipendiés interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la population à une énième vague de contaminations provoquée par le surgissement d'un nouveau variant (la propagation médiatique de la cinquième vague a déjà été enclenchée, notamment au Portugal). Une chose est sûre : la pandémie n'est pas près de s'arrêter. Ou plutôt les gouvernants ne sont pas disposés de circonscrire l'opportune « pandémie fictionnelle », ce feuilleton viral interminable à rebondissements hystériques invariablement identiques, dont le scénario machiavélique est conçu dans les coulisses des pouvoirs dominants.

    De toute évidence, l'imposture sanitaire n'est pas près de finir de contaminer notre vie quotidienne, de s'arrêter en si bon chemin tant que l'agenda des puissants ne sera pas rempli. Jusqu'à présent, on nous affirmait que, pour reprendre une vie normale, il faudrait que la majorité de la population ait ses deux doses. Puis trois doses. Actuellement, avec trois doses déjà injectées, 80% des personnes ont un schéma vaccinal complet. Or, avec l'annonce du rappel d'une quatrième dose obligatoire, « afin de bénéficier d'une meilleure protection » selon la rhétorique propagandiste usitée, le schéma complet vaccinal à trois doses deviendrait de facto caduc, si les gouvernements réinstauraient le Pass vaccinal. En vérité, le schéma vaccinal ne sera jamais complet du fait de l'imposition d'une quatrième, cinquième, sixième... dose. Et en raison des nouveaux variants fabriqués par les vaccins ARN-m. Au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques.

    Par ailleurs, comment expliquer la faiblesse du nombre de décès dans ces deux continents, l'Asie et l'Afrique ? Par l'innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité du Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts du virus étaient atteints d'une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, s'embrase au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements !

    Commentaire


    • #3
      La vaccination est un échec médical mais un succès financier et un triomphe du despotisme (3/3)

      par Khider Mesloub

      07 - 08 - 2022


      Depuis presque deux ans, en guise d'unique politique sanitaire, les gouvernants, sur fond de bruits de bottes, administrent alternativement couvre-feux et confinements, ces politiques d'immolation des libertés individuelles et d'assignation à résidence forcée que n'aurait jamais imaginé le pire des dictateurs. Et depuis le début de l'année 2021, sous la pression des industries pharmaceutiques, ces gouvernants imposent la vaccination au moyen de thérapies géniques encore en phase expérimentale, à l'efficacité «douteuse» et à l'innocuité hypothétique, comme on l'a souligné ci-dessus. Comme à chaque nouvelle flambée de cas annoncée triomphalement par les médias et les autorités gouvernementales, les mêmes mesures restrictives sont appliquées en guise de médication. Les populations subissent la double peine : vaccination factice obligatoire et mesures restrictives réelles (couvre-feux, confinements, port du masque obligatoire).

      De toute évidence, le dessein des gouvernants n'est pas de combattre médicalement et humainement le virus, mais, de manière machiavélique, d'abattre socialement leur population par les multiples mesures restrictives, notamment l'état de siège matérialisé par le confinement, cette arme de destruction massive psychologique censée anéantir le virus de la contestation populaire mondialement répandu ces récentes dernières années, afin de conjurer l'amorce de soulèvements sociaux prévisibles dans un contexte de crise économique marqué par la programmation de faillites massives d'entreprises, d'augmentation endémique du chômage, de croissance exponentielle de la paupérisation et d'éradication des classes moyennes et petites bourgeoises, autrement dit par l'exacerbation de la lutte des classes.

      Assurément, la pandémie de coronavirus vient-elle à point nommé pour servir de couverture politique et d'argumentation explicative à l'effondrement de l'économie capitaliste depuis longtemps prévisible. Cette explication idéologique incriminant un microscopique et invisible virus d'être responsable de la débâcle de l'économie est aberrante. La bourgeoisie ne peut admettre son incapacité notoire à faire fonctionner son système capitaliste devenu chaotique et irrationnel.

      Aujourd'hui, à la faveur de la pandémie de Covid-19, l'objectif est de s'emparer de cette opportunité pour opérer, par le haut, un Grand Reset afin de tenter d'atténuer l'effondrement structurel des économies par une politique volontariste d'accompagnement de cette crise systémique économique aux fins d'assurer la transition vers une société despotique post-industrielle et post-consumériste, rongée par ailleurs par la paupérisation généralisée et la prolétarisation des classes moyennes, les violences urbaines et les conflits armés. Qui plus est verrouillée par la militarisation étatique.

      Pour ceux qui douteraient de la militarisation de la société en préparation par les gouvernants, qu'ils lisent le document, consultable en ligne, publié par le Sénat le 3 juin 2021. Quoiqu'il s'agisse d'un rapport sénatorial de prospective, il en dit long sur les intentions despotiques de la bourgeoisie française, incarnées en l'espèce par des parlementaires pour imprimer un caractère légal et législatif aux projets gouvernementaux en matière de contrôle totalitaire de la société matérialisé par la systématisation des technologies de surveillance. Dans ce rapport rédigé par trois sénateurs du groupe de droite Les Républicains (LR), les auteurs de l'étude élaborent des réponses numériques aux crises actuelles sanitaires et autres crises futures (traduction en termes marxistes : aux futurs affrontements de classe). Ce rapport de prospective d'ingénierie sociale s'inspire du modèle dictatorial chinois, comme les auteurs le mentionnent, sans vergogne. «Dans les situations de crise les plus extrêmes, les outils numériques pourraient permettre d'exercer un contrôle effectif, exhaustif et en temps réel du respect des restrictions par la population, assorti le cas échéant de sanctions dissuasives, et fondé sur une exploitation des données personnelles encore plus dérogatoire», suggère le rapport. (N'est-ce pas ce que vit actuellement la population chinoise, comme nous le rapportions dans notre contribution publiée dans Algérie patriotique le 20 mai 2022, sous le titre «Comment la Chine se prépare à la guerre bactériologique sous couvert de Covid».)

      Dans ce document, entre autres batteries de mesures numériques pour «lutter contre la crise sanitaire actuelle» (applicables à d'autres fins, la pandémie servant uniquement de prétexte et de terrain d'expérimentation, comme le terrorisme islamiste servit de paravent pour voter des lois d'exception, intégrées désormais dans le droit pénal), le Sénat «propose un système de désactivation du titre de transport en commun ou du compte bancaire en cas de non-respect de la quarantaine». Seconde mesure de surveillance numérique proposée par le rapport sénatorial, «poser un bracelet électronique aux non-vaccinés». Ou encore la «détection automatique de la plaque d'immatriculation par les radars», l'installation «de caméras thermiques dans les restaurants». Les sénateurs envisagent également d'autres solutions numériques visant à contrôler et contraindre, notamment le «contrôle des transactions» afin de détecter un achat à caractère médical ; le «contrôle des fréquentations» pour «aller voir un membre vulnérable de sa famille lorsqu'on est contagieux» ; «le contrôle de l'état de santé via des objets connectés». Les sénateurs s'enorgueillissent en affirmant que «ces outils [pour contraindre et contrôler] sont les plus efficaces».

      En vérité, dans cette crise du Covid-19, faut-il redouter l'invisible virus naturel (maîtrisable avec des moyens sanitaires abondants et efficients) ou l'ostensible microbe despotique de l'État visiblement destructeur (impossible à contrôler et à neutraliser, sinon par la Révolution prolétarienne ?) Une chose est sûre : l'internement des citoyens innocents en bonne santé, décrété au nom de la prétendue protection des personnes âgées et vulnérables (par ailleurs censément majoritairement vaccinées), à notre époque hautement technologique censée être équipée d'infrastructures médicales de pointe, interpelle à plus d'un titre.

      D'aucuns s'interrogent, dans une vision complotiste, sur l'auteur étatique mystérieux de l'invention du virus concocté par quelque laboratoire malveillant chinois ou américain. La vraie question à poser serait plutôt : les virus ayant toujours existé, connaissant leur taux de létalité (la mortalité du Covid-19 est bien inférieure à 0,03%, essentiellement parmi la population la plus âgée et vulnérable, autrement dit nous avons 99,97 de chance de survie ; l'âge médian des décès est de 84 ans, avec 75% des patients décédés de plus de 75 ans), pourquoi avoir suscité une telle peur panique parmi les populations sinon pour légitimer le confinement pénitentiaire et les multiples mesures coercitives, décrétées pour des desseins initialement inavoués et inavouables. Mais, aujourd'hui, dans cette période d'imposture sanitaire étatique indéfiniment prolongée, ces desseins s'éclairent au grand jour, à examiner l'incessante activité gouvernementale des différents États de la majorité des pays, illustrée par le nombre incommensurable de lois liberticides promulguées ces deniers mois.

      À l'évidence, chaque État, à la faveur de la pandémie du coronavirus, s'appliquait à blinder son pouvoir despotique par l'instauration de mesures sécuritaires attentatoires à la liberté, décrétées sous prétexte de gestion de la crise sanitaire. En réalité, sous couvert de guerre virologique, les classes dominantes menaient (mènent toujours) une guerre de classe aux classes populaires et aux prolétaires, mais surtout aux classes moyennes et petites bourgeoises. Les dirigeants profitaient de la pandémie pour aggraver les lois antisociales et durcir la dictature «ordinaire» étatique, renforcées par la militarisation de la société. Nous assistons, impuissants, à un véritable «aggiornamento sanitaro-sécuritaire» permanent perpétré dans de nombreux pays.

      Curieusement, presque deux ans après l'apparition de la pandémie, alors que les États sont censés être en guerre contre le coronavirus, en lieu et place d'équipements médicaux et de personnels soignants pour nous protéger, nous avons droit, en guise de médication, toujours à une artillerie de lois répressives et au confinement accompagné du déploiement de policiers et de militaires (pour nous soigner contre notre virus contestataire, létal pour le système ?), notamment en Chine. Et, en lieu et place de lits d'hôpitaux et équipements médicaux, les gouvernants préfèrent investir dans les fourgons cellulaires et cellules carcérales abondamment élargies pour accueillir les «dissidents sanitaires».

      Paradoxalement mais sans nous surprendre, les premières retombées rentables surgies de cette crise sanitaire ne bénéficient qu'aux classes dominantes, aux plans politique et économique, respectivement par le durcissement de leur pouvoir despotique étatique et le renforcement de leur hégémonie financière.

      La crise sanitaire n'a pas eu les mêmes conséquences économiques selon les secteurs d'activité. Comme l'a souligné Quentin Ravelli, chercheur au Centre national de la recherche scientifique français : «Les crises économiques sont aussi sélectives que les épidémies : à la mi-mars, avec l'effondrement des marchés boursiers, les actions de l'industrie pharmaceutique ont augmenté de 20% suite à l'annonce de l'essai clinique du Remdesevir contre le Covid-19. Celles d'Inovio Pharmaceuticals ont augmenté de 200% après l'annonce d'un vaccin expérimental, le Ino-4800. Celles d'Alpha Pro ont augmenté de 232%. Quant à Co-diagnostic, ses actions ont fait un bond de 1.370% grâce au kit de diagnostic moléculaire du coronavirus». Depuis le déclenchement de la pandémie de Covid-19, les milliardaires sont toujours plus riches et toujours plus nombreux. Le nombre de millionnaires, lui, a bondi de plus de 5 millions l'année dernière. Le patrimoine cumulé des 500 plus grandes fortunes de France a augmenté de 30% en un an, frôlant les 1.000 milliards d'euros, selon les récentes informations. Au niveau mondial, la richesse accumulée par les milliardaires de par le monde a atteint un sommet inégalé en 2021, 13.000 milliards de dollars.

      C'est 1 300 milliards de plus que le précédent pic de 2017.

      En effet, profitant de notre frayeur et de notre tétanisation, suscitées par le traitement médiatique anxiogène de la pandémie, de notre emprisonnement domiciliaire, de l'état de siège, du couvre-feu, de l'interdiction de rassemblement et de manifestation, les classes possédantes du monde entier ont fait voter par leur État, en l'espace de quelques mois, des centaines de lois de régression sociale et de répression politique qu'aucun tyran n'aurait songé imposer. Concomitamment, ces classes possédantes ont instauré, pour sauver leurs richesses aux moyens de renflouements des banques, de subventions aux entreprises, d'exemptions fiscales, de nationalisations de certains secteurs, le «socialisme pour les riches», et ont perpétué en l'aggravant le «capitalisme pour les pauvres».

      Comme on le relève, la gestion de la crise prétendument «sanitaire» a, sans jeu de mot, confiné davantage à une opération de sauvetage de la santé (momentanément) de l'économie des capitalistes mise sous profusion, alimentée par l'argent public sous forme d'impôts différés payés par les futurs travailleurs, plutôt qu'à une protection de la vie des malades toujours livrés délibérément à eux-mêmes sans soins efficaces, autrement dit sans thérapeutique médicale curative ou traitement médicamenteux prophylactique, sinon par le recours à une douteuse et controversée vaccination imposée dans la précipitation aux malades, avec des vaccins à ARN-m en phase d'essai clinique, pour le plus grand profit des grands laboratoires pharmaceutiques exemptés par ailleurs de toute responsabilité pénale ou financière en cas d'effets secondaires des vaccins. Et Une chose est sûre : les hôpitaux, sous-équipés, en dépit des rodomontades des gouvernants, sont toujours des mouroirs.

      Tout comme la vie qu'ils nous réservent : elle ressemblera de plus en plus à un camp de concentration mondialisé régi par le despotisme étatique ; à un immense cimetière à ciel ouvert, habité par des cadavres ambulants ; à un charnier jonché de corps déchiquetés par des guerres impérialistes généralisées permanentes.

      le quotidien d'oran .

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      • #4
        Foutaises !
        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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        • #5
          Alors comment expliquer que la Chine qui utilise un vaccin peu efficace, soit encore empêtrée dans cete pandémie ?
          La religion est pour ceux qui ont peur d’aller en enfer ; la spiritualité est pour ceux qui y ont déjà été. (Citation d’origine inconnue)

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          • #6
            Alors comment expliquer que la Chine qui utilise un vaccin peu efficace, soit encore empêtrée dans cete pandémie ?
            t'as jeté un coup d’œil sur le bilan des pays occidentaux gdesmon?

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            • #7
              gdesmon

              La Chine n'est pas aussi empetrée que la France ou les États-Unis. C'est juste qu'elle pratique une politique impossible à réaliser de zéro covid avec une population de plus d'un milliards et demi d"humain.

              Sinon, les vaccins Chinois ne sont pas moins éfficaces que les autres. Au moins, ils causent moins de myocardites que les Vaccins de Pfizers, Moderna et Novavax.

              La Chine a produit aussi son propre vaccin a RNA.

              Les vaccins a Spike sont vraiment dangereux selon plusieurs études. La derniere était l'étude de l'Université d'Ottawa qui a trouvé plus d'un cas sur 1000 ont eu une myocardite chez les hospitalisés. Alors ne parlons pas des gens qui ont eu une myocardite et ne le savent meme pas.

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              • #8
                La vaccination est un échec médical mais un succès financier et un triomphe du despotisme
                Les peuples sont désarmés devant cela , ils ne sauront jamais la vérité et malheureusement ils continueront d'être les cobayes des déséquilibrés mentaux qui gèrent la médecine et soutenus par les autorités politiques
                Dernière modification par ACAPULCO, 08 août 2022, 16h08.
                Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                (Paul Eluard)

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                • #9
                  rodmaroc

                  La situation épidémique en Europe est quand même sous controle. Nombre elevé d'infectés, mais à peine 10% qui necessite une hospitalisation.

                  En Allemagne par ex. selon les données du système de notification allemand, environ 10% des cas signalés ont été traités à l'hôpital en raison d'une évolution sévère du COVID-19. Des études ont montré qu'environ seulement 14% des personnes traitées à l'hôpital ont besoin de soins intensifs.

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