On ne compte plus les innombrables articles de la presse marocaine contre la France. Ce revirement par la dictature marocaine est d'autant plus surprenant qu'elle (dictature alaouite) est toujours sous le joug de l'Hexagone de suite à son statut néocolonialiste institué le 2 mars 1956 ("l'indépendance dans l'interdépendance" qui lui interdit formellement d'activer la réciprocité d'exigence aux visas à l'instar de l'Hexagone qui impose les visas aux Marocains. Reste à savoir si la dictature alaouite aura le courage de faire montre d'un peu d'orgueil, ce qui loin d'être sûr car sans la France, elle n'est rien...enfin, juste une maîtresse
Donc, la dictature marocaine entend-t-elle véritablement s'affranchir de la France et dans en l'espèce, qu'elle impose les visas aux Français ou alors qu'elle (dictature marocaine) cesse d'amuser la galerie.
- En décembre 2017, au tout début de son premier quinquennat, Macron avait fait une visite éclair en Algérie qui lui a attiré les foudres de la droite et de l’extrême droite en France. A ce moment-là, les relations entre les deux pays s’annonçaient plutôt bien. Le jeune président novice avait beaucoup parlé de la guerre d’Algérie et qualifié la colonisation française de « crime contre l’humanité », reconnaissant « au nom de l’État » les crimes de l’armée française à Alger, laissant croire à une éventuelle repentance. Il avait même lancé le projet d’un musée de l’histoire de France et de l’Algérie à Montpellier, toutefois, cela n’avait trouvé aucun écho de l’autre côté. Ne sait-il pas que le système algérien ne prend jamais une main tendue ?
(...).
Aujourd’hui, si l’histoire d’un passé douloureux est toujours présent dans la mémoire collective des Algériens, les enjeux politiques, économiques et sociaux sont les plus pressants.
Mais la tâche ne sera pas facile pour le Président français surtout quand tout divise les deux pays. Mais peut-être que leur point en commun, du moins pour le moment, les rapprochera : le fait d’en vouloir au Maroc chacun pour des raisons propres à lui-.
Le Maroc diplomatique (extraits)
Donc, la dictature marocaine entend-t-elle véritablement s'affranchir de la France et dans en l'espèce, qu'elle impose les visas aux Français ou alors qu'elle (dictature marocaine) cesse d'amuser la galerie.
- En décembre 2017, au tout début de son premier quinquennat, Macron avait fait une visite éclair en Algérie qui lui a attiré les foudres de la droite et de l’extrême droite en France. A ce moment-là, les relations entre les deux pays s’annonçaient plutôt bien. Le jeune président novice avait beaucoup parlé de la guerre d’Algérie et qualifié la colonisation française de « crime contre l’humanité », reconnaissant « au nom de l’État » les crimes de l’armée française à Alger, laissant croire à une éventuelle repentance. Il avait même lancé le projet d’un musée de l’histoire de France et de l’Algérie à Montpellier, toutefois, cela n’avait trouvé aucun écho de l’autre côté. Ne sait-il pas que le système algérien ne prend jamais une main tendue ?
(...).
Aujourd’hui, si l’histoire d’un passé douloureux est toujours présent dans la mémoire collective des Algériens, les enjeux politiques, économiques et sociaux sont les plus pressants.
Mais la tâche ne sera pas facile pour le Président français surtout quand tout divise les deux pays. Mais peut-être que leur point en commun, du moins pour le moment, les rapprochera : le fait d’en vouloir au Maroc chacun pour des raisons propres à lui-.
Le Maroc diplomatique (extraits)
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