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Elon Musk a pris le contrôle de Twitter

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  • Elon Musk a pris le contrôle de Twitter

    Selon plusieurs médias américains, le patron de Tesla et Space X a commencé à faire le ménage à la tête du réseau social, limogeant trois dirigeants dès jeudi soir.

    «L'oiseau est libéré», a tweeté Elon Musk. L'homme le plus riche du monde, patron de Tesla et Space X, vient officiellement d'acquérir jeudi 26 octobre le réseau social Twitter pour la somme de 44 milliards de dollars, ont annoncé plusieurs médias américains, dont Reuters et le New York Times.

    L'encre à peine séchée sur le contrat, la première décision du bouillonnant chef d'entreprise a été de limoger la direction du réseau à l'oiseau bleu, qu'il accuse de l'avoir induit en erreur sur le nombre de faux comptes de la plateforme. Selon des personnes proches du dossier, le directeur général Parag Agrawal, le directeur financier Ned Segal et le directeur des affaires juridiques et des politiques Vijaya Gadde ont été remerciés. Agrawal et Segal se trouvaient apparemment au siège de Twitter à San Francisco lorsque l'accord a été conclu et ont été accompagnés vers la sortie.

    Ces derniers jours, les signaux que l'opération était imminente s'étaient multipliés. Le multimilliardaire s'était notamment rendu au siège de Twitter mercredi, se rebaptisant «Chief Twit» sur son profil - «twit» voulant dire «crétin» en anglais. Jeudi, les employés du groupe avaient reçu une invitation à une réunion générale pour le soir même, finalement annulée «jusqu'à nouvel ordre». D'après le Wall Street Journal, les banques participant au financement de l'opération avaient aussi commencé à envoyer l'argent le jour même. De plus, le New York Stock Exchange, où Twitter est coté, avait indiqué dans une notice que l'action de la plateforme serait suspendue vendredi avant l'ouverture de la séance.

    Pressé par le temps et la justice
    Elon Musk était pressé par le temps: une juge chargée de régler un contentieux entre les deux parties leur avait donné jusqu'à vendredi pour se mettre d'accord, faute de quoi un procès aurait lieu en novembre. L'opération traînait en effet depuis l'annonce fin avril d'une offre d'acquisition à 44 milliards de dollars, acceptée à contrecœur par Twitter. L'entrepreneur avait cherché à s'en extraire unilatéralement début juillet, accusant l'entreprise de lui avoir menti, mais le conseil d'administration de la société a saisi la justice. À quelques jours de l'ouverture d'un procès que Twitter semblait bien parti pour gagner, Elon Musk a finalement proposé de conclure la transaction au prix initialement convenu.

    Le patron de Tesla avait déjà indiqué dans les jours précédents à des investisseurs qu'il comptait, à terme, licencier quasiment 75% des 7500 employés de Twitter, selon des informations publiées la semaine dernière par le Washington Post. «La partie la plus facile pour Musk était d'acheter Twitter», a estimé Dan Ives, analyste pour Wedbush, jeudi dans une note. Pour l'homme le plus riche du monde, l'enjeu désormais sera de «réparer cet actif en difficulté». L'opération restera, selon cet analyste, comme «l'une des acquisitions technologiques les plus surpayées» de l'histoire.

    Une plateforme «infernale»
    Se présentant comme un ardent défenseur de la liberté d'expression, Elon Musk a déjà indiqué qu'il entendait assouplir la modération des contenus, ravivant les inquiétudes sur un possible regain d'abus et de désinformation sur la plateforme. Il a, par exemple, ouvert la porte à un retour de Donald Trump, évincé de Twitter peu après l'assaut du Capitole en janvier 2021.

    L'entrepreneur s'est employé jeudi à rassurer les annonceurs en affirmant qu'il voulait permettre à toutes les opinions de s'exprimer sur le réseau social, mais ne voulait pas en faire une plateforme «infernale» où tout serait permis. Il est «important pour l'avenir de la civilisation d'avoir une place publique en ligne où une grande variété d'opinions peuvent débattre de façon saine, sans recourir à la violence», a-t-il écrit dans un message spécifiquement adressé aux entreprises qui achètent de la publicité sur le réseau social. «Cela dit, Twitter ne peut évidemment pas être un endroit infernal ouvert à tous, où tout peut être dit sans conséquence», a-t-il ajouté.

    Source : Le Figaro
    Dernière modification par hmida, 28 octobre 2022, 18h06.
    J'aime surfer sur la vague du chaos.

  • #2
    Une énorme machine de guerre pour la future campagne présidentielle de Trump.

    Elon Musk est pote avec Trump.
    Pour rappel Twitter avait bloqué le profil de Trump à cause de ses ignobles fakes news.
    J'aime surfer sur la vague du chaos.

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    • #3
      General Motors suspend temporairement ses publicités sur Twitter après le rachat par Musk.

      NEW YORK - Le constructeur automobile General Motors a indiqué vendredi avoir décidé d'arrêter temporairement de payer pour des publicités sur Twitter, devenant ainsi le premier grand annonceur à remettre en cause sa présence sur la plateforme après le rachat du réseau social par Elon Musk.
      J'aime surfer sur la vague du chaos.

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      • #4
        C'est le retour du cinglé Trump sur Twitter!

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        • #5
          Cinglé ou pas, un vrai démocrate devrait laisser les gens s'exprimer. Je tire chapeau a Élon Musk. Un vrai démocrate.

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          • #6
            C'est un sud africain d'origine, il peut donner un coup de pouce à certains

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            • #7
              En tout cas on peut d'ores et déjà déjà affirmer que Twitter est tombé dans l'escarcelle des Républicains.

              C'est une grosse défaite tactique pour les Démocrates.

              ​​​​​
              J'aime surfer sur la vague du chaos.

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              • #8
                Envoyé par Issabrahimi
                un vrai démocrate devrait laisser les gens s'exprimer
                La liberté d'expression dans le sens démocratique ne signifie pas la liberté de débiter des mensonges, des intox, des propos racistes et intolérants, des appels à la violence, au meurtre et au génocide...etc. La liberté d'expression dans le sens démocratique du terme est le droit d'exprimer des opinions basées sur la vérité et les principes démocratiques y compris la tolérance.

                Aussi, une entreprise n'a pas forcément les mêmes obligations qu'un Etat au sujet de la liberté d'expression. Aux Etats-Unis par exemple, un citoyen américain est libre d'être un fasciste néo-nazi et d'exprimer des opinions pro-nazis et pro-Hitler sans risquer une arrestation ou un emprisonnement car le 1er amendement de la constitution américaine garantit le droit d'un Américain d'être un fasciste néo-nazi. Mais une entreprise privée n'est pas légalement obligée de tolérer les fascistes et les extrémistes qui tiennent des discours haineux et violents.

                D'ailleurs, en tolérant les discours haineux et violents des fascistes et des extrémistes religieux, les réseaux sociaux ont favorisé la radicalisation des populations et les génocides dans certains pays y compris le génocide des Musulmans en Birmanie à cause des discours ultra islamophobes diffusés par les réseaux sociaux (voir vidéo 1).

                Une ex cadre de Facebook a d'ailleurs accusé Facebook d'avoir toléré les discours racistes et génocidaires anti-Musulmans et d'avoir provoqué le génocide des Musulmans en Birmanie (voir vidéo 2).

                Sans surprises, les fascistes génocidaires russes exploitent massivement les réseaux sociaux pour diffuser un déluge de propagande mensongère russe visant à manipuler les peuples du monde entier et à justifier l'invasion barbare russe de l'Ukraine.



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