On comprend mieux pourquoi le Président colombien a reconnu la légitime cause saharaouie car elle semblable en tous les points à celle de la Palestine. Ce faisant, pas étonnant donc que la presse marocaine le fustige.
- Avant de prendre ses fonctions, Petro avait fait plusieurs déclarations publiques pour défendre la cause palestinienne, qu’il avait un jour décrite comme la « lutte d’un peuple pour la liberté et l’indépendance ».
En mai 2018, Petro a dénoncé les attaques contre les habitants de Gaza par les forces israéliennes lors de la Grande Marche du retour, sur Twitter : « J’élève la voix contre le meurtre de Palestiniens. Les gens ne doivent pas être massacrés, ils doivent être respectés en tant que culture, avec le droit d’exister sur cette planète. Jésus était Palestinien et a demandé à ce que les êtres humains s’aiment les uns les autres. »
Des années plus tôt, alors qu’il était maire de la capitale, Bogotá, il avait publié une photo du drapeau palestinien sur sa page Facebook où il qualifiait la cause palestinienne d’« historique ».
« Il est très proche de la question palestinienne », assure à Middle East Eye Alexander Montero, conseiller politique à la mission diplomatique palestinienne en Colombie.
« Il est le président d’un pays ami, mais au-delà de cela, il peut être quelqu’un qui partage nos idées et en qui nous pouvons avoir confiance, et que nous pouvons solliciter pour porter le message palestinien lorsque cela est nécessaire. »
MEE
- Avant de prendre ses fonctions, Petro avait fait plusieurs déclarations publiques pour défendre la cause palestinienne, qu’il avait un jour décrite comme la « lutte d’un peuple pour la liberté et l’indépendance ».
En mai 2018, Petro a dénoncé les attaques contre les habitants de Gaza par les forces israéliennes lors de la Grande Marche du retour, sur Twitter : « J’élève la voix contre le meurtre de Palestiniens. Les gens ne doivent pas être massacrés, ils doivent être respectés en tant que culture, avec le droit d’exister sur cette planète. Jésus était Palestinien et a demandé à ce que les êtres humains s’aiment les uns les autres. »
Des années plus tôt, alors qu’il était maire de la capitale, Bogotá, il avait publié une photo du drapeau palestinien sur sa page Facebook où il qualifiait la cause palestinienne d’« historique ».
« Il est très proche de la question palestinienne », assure à Middle East Eye Alexander Montero, conseiller politique à la mission diplomatique palestinienne en Colombie.
« Il est le président d’un pays ami, mais au-delà de cela, il peut être quelqu’un qui partage nos idées et en qui nous pouvons avoir confiance, et que nous pouvons solliciter pour porter le message palestinien lorsque cela est nécessaire. »
MEE
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