Avec son occupation du Sahara Occidental, le Maroc est le bouffon de l'Union européenne! Ce d'autant plus qu'il lui est interdit d'activer la réciprocité aux visas envers les citoyens européens puisqu'il (Maroc) n'est toujours pas affranchi de son tuteur français.
- Ce qui est tout de même paradoxal est que l’Europe attend du Maroc qu’il fasse le gendarme dès qu’il s’agit de terrorisme ou d’immigration illégale, d’être le partenaire principal et la porte d’entrée vers les marchés africains et même d’exporter ses cerveaux mais pas ses tomates. Toutefois, on l’aura compris, il doit aussi se plier aux décisions et exigences de l’UE surtout quand il s’agit d’annuler les accords agricoles et de pêche Maroc-UE du fait de l’inclusion des ressources provenant du Sahara.
En effet, l’UE et le Maroc ont conclu des accords importants dont certains controversés. Preuve en est celui sur la pêche, qui est toujours en instance devant la Cour européenne de justice. D’autant plus que le Maroc ne digère toujours pas le fait que l’UE ait accordé un statut de pays tiers à la région dans les négociations commerciales entre l’UE et le Maroc donnant raison au Polisario qui avait introduit le recours. Dans la même lignée de partialité, Il y a également eu des tensions en matière de commerce, notamment en ce qui concerne les droits de douane sur certains produits agricoles.
Maroc diplomatique
- Ce qui est tout de même paradoxal est que l’Europe attend du Maroc qu’il fasse le gendarme dès qu’il s’agit de terrorisme ou d’immigration illégale, d’être le partenaire principal et la porte d’entrée vers les marchés africains et même d’exporter ses cerveaux mais pas ses tomates. Toutefois, on l’aura compris, il doit aussi se plier aux décisions et exigences de l’UE surtout quand il s’agit d’annuler les accords agricoles et de pêche Maroc-UE du fait de l’inclusion des ressources provenant du Sahara.
En effet, l’UE et le Maroc ont conclu des accords importants dont certains controversés. Preuve en est celui sur la pêche, qui est toujours en instance devant la Cour européenne de justice. D’autant plus que le Maroc ne digère toujours pas le fait que l’UE ait accordé un statut de pays tiers à la région dans les négociations commerciales entre l’UE et le Maroc donnant raison au Polisario qui avait introduit le recours. Dans la même lignée de partialité, Il y a également eu des tensions en matière de commerce, notamment en ce qui concerne les droits de douane sur certains produits agricoles.
Maroc diplomatique