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Mohamed V a-t-il protégé les juifs du Maroc ?

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  • #16
    En revanche, près d'une centaine ont été déportés depuis la France, par les convois 52 et 53 de Drancy vers Sobibor après les rafles effectuées dans la région marseillaise et le mid
    mais qu'est qu'on a foutre avec l'histoire de la déportation des juifs de France dans le sujet du topic?!!!
    les nazis étaient notoirement connus pour leur détestation du juif et leur désir de trouver une solution a la question juive de façon globale;il n'avait pas besoin de préciser sa nationalité

    les nazis n'ont également pas donné un ordre spécifique pour les autres pays sous leur domination concernant l’internement de leurs juifs respectifs,mais ça n'a pas empêché de les trouver dans des camps de concentration.


    PS : c’était mieux avec jawzia ,le pseudo présent a de tout évidence attrapé un coup de vieux intellectuel

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    • #17
      doublon
      Dernière modification par ayoub7, 31 janvier 2023, 18h59.

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      • #18


        Dernière modification par ayoub7, 31 janvier 2023, 19h00.

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        • #19
          là ça devient sérieux son cas!!
          il s'égare en nous parlant de holocauste!!

          PS: il faut faire appel a jawzia d'urgence

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          • #20
            Mohamed V n’a jamais sauvé les juifs c’est un mythe entretenu par le Maroc et Israël

            Les propos que Richard Atias attribue à Mohamed 5 ("si vous voulez prendre les juifs , prenez-moi en premier") n'ont jamais été tenu et de même que la fable de l'étoile jaune

            Le Maroc était sous protectorat français, mais en réalité, selon nombre d’historiens, le régime de Vichy affaibli et divisé dans ses colonies n’a lancé aucune menace contre la communauté juive qui vivait dans le royaume. Les seules atteintes aux juifs du Maroc sont d’ordres antisémites

            Le rôle du roi Mohamed V durant la seconde guerre mondiale est devenu une arme du soft power qu’Israël et le Makhzen déploie pour légitimer leur normalisation

            PS : je ne suis pas jawzia. Apparemment, il honte toujours tes nuits
            Dernière modification par icosium, 31 janvier 2023, 19h41.
            "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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            • #21
              Mohamed V n’a jamais sauvé les juifs c’est un mythe entretenu par le Maroc et Israël
              a répéter 100 fois avant d’éteindre la lumière pour aller se coucher et un autre 100 fois pour trouver le sommeil;

              PS : je ne suis pas jawzia. Apparemment, il honte toujours tes nuits
              PS :non,non je n'ai pas honte de dire qu'avec jawzia c’était mieux qu'avec ico

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              • #22
                puisque c'est une histoire à la zellij et caftan etc etc etc,

                c'est le FLN et boukharouba qui ont protégé les juifs, d'ailleurs Salomon et Moise sont des algériens.


                ghi heniwna men techrague lfoum....

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                • #23
                  Pour le petit troll

                  L'Algérie était française et régit directement par les lois françaises de Vichy et pourtant les Juifs d'Algérie n'ont pas été déportés dans les camps de concentrations en Europe. Donc tu vois même pour ça le roi Mohamed V on ne peut plus s'en servir comme alibi pour prétendre qu'il a sauvé des Juifs de la déportation

                  Comme pour les juifs algériens c'est plus la distance de la métropole qui a sauvé les juifs marocains pas Mohamed V


                  "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                  • #24
                    Récemment toutefois, les Juifs qui vivaient au Maroc durant la Deuxième guerre mondiale ont obtenu la possibilité d’obtenir des réparations auprès du gouvernement allemand.
                    Au Québec, où les Marocains constituent un quart de la communauté juive, environ un tiers des dossiers de demandes d’indemnisation aux Allemands émane d’immigrants marocains, estime Stacy Jbeli, gestionnaire au centre juif Cummings pour les Seniors, qui distribue des indemnités compensatoires aux survivants locaux de l’Holocauste.
                    Pas clair tout ce schmilblick.

                    Pourquoi des juifs marocains demandent réparation auprès du gouvernement Allemand.

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                    • #25
                      L'Algérie était française et régit directement par les lois françaises de Vichy et pourtant les Juifs d'Algérie n'ont pas été déportés dans les camps de concentrations en Europe. Donc tu vois même pour ça le roi Mohamed V on ne peut plus s'en servir comme alibi pour prétendre qu'il a sauvé des Juifs de la déportation

                      Comme pour les juifs algériens c'est plus la distance de la métropole qui a sauvé les juifs marocains pas Mohamed V
                      quand je disais que c'était mieux avec jawzia...!!
                      Deux points importants sous forme de réponses a des interrogations permettent de comprendre toute l'histoire :
                      1/ est ce que le gouvernement de Vichy a sollicité le roi pour établir une liste des juifs chez lui ?
                      2/ est ce que le roi du Maroc a répondu par l'affirmative a la requête du gouvernement de Vichy ?

                      Encore une fois ce sont les juifs qui reconnaissent l'action du roi en faveur des juifs du Maroc pendant cette période trouble de l'histoire,et sûrement pas aux algériens, cachiristes de surcroît,de donner leurs avis sur cette affaire.

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                      • #26
                        Mohamed V a-t-il protégé les juifs du Maroc ?
                        Les juifs aussi doivent demander l'avis les autres , ils doivent se tromper à leur tour de leur histoire !

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                        • #27
                          1/ est ce que le gouvernement de Vichy a sollicité le roi pour établir une liste des juifs chez lui ?
                          2/ est ce que le roi du Maroc a répondu par l'affirmative a la requête du gouvernement de Vichy
                          Le petit troll continue de raconter des conneries

                          L’administration française n’avait pas besoin de Mohamed V pour avoir la liste des juifs. Dois-je lui apprendre aussi que l’état-civil au Maroc a été instauré par le Protectorat français ?
                          Dernière modification par icosium, 01 février 2023, 13h52.
                          "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                          • #28
                            Les juifs marocains eux-mêmes commencent à déconstruire les mythes sur les Juifs du Maroc

                            Trois mythes sur les Juifs du Maroc

                            Cet article n’en est pas un. Entendons-là que la majorité de son contenu n’a pas été rédigée par mes soins. C’est simplement une sorte de « florilège » de mythes sur les Juifs du Maroc, déconstruits à travers les années et des travaux de recherche par d’illustres historiens marocains (bien évidemment cités en bibliographie), et découverts au gré de mes lectures.

                            Ma connaissance de ce sujet n’équivaut pas le centième de la leur, aussi me suis-je permis de retranscrire leurs propos sans en changer une seule virgule, avec pour seul objectif : partager humblement la connaissance qu’ils me transmirent sans le savoir, sur certains « mythes » populaires qu’il devient urgent de déconstruire. J’espère en apprendre au lecteur autant que j’en appris en lisant leurs ouvrages : voici-là le but de cet article.

                            Mythe n°1 : Mohammed V a protégé les juifs du Maroc pendant la Seconde Guerre Mondiale …

                            Le sultan Sidi Mohammed, futur Mohammed V, recevra à ce propos le « prix de la liberté Martin Luther King Jr.-Rabbin Abraham Joshua Heschel » de la part des autorités américaines en 2015, à titre posthume[i]. Pourtant, nombreux sont les historiens juifs marocains et marocains en général qui s’insurgent devant ce mythe populaire qui aujourd’hui est admis socialement et intégré dans l’inconscient collectif marocain.

                            Georges Bensoussan est l’un d’entre eux. Auteur de dizaines d’ouvrages et d’articles sur les juifs du Maroc, il se confiait à Nicolas Zomersztajn dans une interview accordée en 2012[ii], arguant : « Quant aux statuts des Juifs de Vichy d’octobre 1940 et de juin 1941, le Sultan du Maroc les appliquera à la lettre. Il ne s’oppose à aucune mesure prévue par ces deux statuts. Il n’y a que dans le volet économique qu’il tente légèrement de protéger la communauté juive du Maroc. Cette intervention n’est pas désintéressée, car elle sert surtout les intérêts économiques du Makhzen (gouvernement du Sultan). Sur l’essentiel, le Sultan Mohammed n’a pas protégé les Juifs puisqu’il a même promulgué les statuts des Juifs en Dahir (décret) chérifien ».

                            Le journaliste marocain et enseignant à l’université de Settat, Omar Brouksy, répondait également à cette question :
                            « Cette « fresque » ne repose sur aucun élément historique. Quelques jours après l’instauration du gouvernement de Vichy au Maroc, un dahir du 31 Octobre 1940, et paraphé par le sultan Mohammed V, interdit explicitement aux juifs marocains l’accès aux fonctions publiques, y compris celles de l’enseignement (à l’exception, évidemment, des établissements réservés aux juifs).

                            Le 5 Août 1941, un autre dahir[1] portant le sceau du sultan Mohammed V interdit également aux juifs du Maroc d’exercer un grand nombre de professions, notamment dans les domaines de la finance, le journalisme, le théâtre et le cinéma. Plus de 500 israélites – sujets de Sa Majesté chérifienne – ont été exclus de l’administration publique et seuls trois des trente avocats juifs ont pu continuer à exercer. Le nombre de médecins juifs avait quant à lui été limité à 2% – il était de 17% à Casablanca.

                            Ce n’est pas fini. Treize jours après l’adoption du dahir du 5 Août 1941, le commissaire général aux questions juives débarque en Afrique du Nord pour vérifier l’application du statut des juifs. Il est reçu en grande pompe par le Sultan Mohammed V qui ne lui exprime aucune réserve ou inquiétude quant à l’avenir de ses « sujets » de confession juive. Un bureau spécialisé dans les questions juives a même été établi au Maroc à l’issu de cette visite.

                            Enfin, le 19 Août 1941, un arrêté signé par le vizir du sultan[2] ordonne aux juifs de quitter leur domicile « en ville nouvelle » pour réintégrer les mellahs[3] des médinas, populaires et exigus. »[iii].

                            Mythe n°2 : Mohammed V s’est opposé au port de l’étoile jaune pour ses sujets juifs lorsque celle-ci fut promulguée

                            « Sous protectorat français, le sultan a refusé que les Juifs de l’empire chérifien arborent l’étoile jaune comme en France et comme voulait le lui imposer le gouvernement de Vichy. ».

                            Ainsi Mohammed Aïssaoui décrivait-il l’attitude du défunt sultan dans son livre L’étoile jaune et le croissant, paru en 2012 aux éditions Gallimard. Pas tout à fait faux, mais partiellement incorrect si l’on en croit Georges Bensoussan, qui disséquait cette contre-vérité historique dans une interview donnée la même année : « Il s’agit d’une fable. Cet événement n’a aucune réalité historique. Le port de l’étoile jaune est une mesure allemande qui n’a jamais été d’application en Zone libre, c’est-à-dire sur l’ensemble du territoire français placé sous l’autorité du gouvernement de Vichy. Et le Maroc (comme l’Algérie) faisait partie de la Zone libre. Seule la Tunisie s’est vue appliquée le port de l’étoile jaune dans la région de Sfax pendant les six mois qu’a duré l’occupation allemande. Or, les Allemands n’entrent pas au Maroc. Le Sultan Mohammed n’a donc jamais eu le moindre contact avec les Allemands. Il n’y a donc jamais eu d’étoile jaune au Maroc. »

                            Mythe n°3 : Le gouvernement ne put empêcher le départ des juifs marocains

                            L’histoire qui lie les juifs au royaume chérifien est millénaire : celle-ci débuterait au deuxième siècle avant J.C., dans la ville de Volubilis. Renforcée par diverses vagues d’immigration successives (venant d’Espagne, du Portugal et d’ailleurs), la communauté se serait agrandie pour lier des liens à première vue indéfectibles avec le berceau de leurs ancêtres. La doxa tend à considérer ces départs successifs comme la fin d’une belle histoire qui, un jour ou l’autre, devait se terminer, à coup de chaudes larmes et de regrets. Mais le gouvernement marocain, par surcroît de la création de l’Etat d’Israël, aurait-il contribué à écrire la fin de cette histoire larmoyante ?

                            À cette époque, Hassan II venait tout juste de monter sur le trône : son couronnement eut lieu le 3 Mars 1961. Tout laisse à penser que le défunt monarque fut à l’origine de l’accord officieux qui permit aux juifs marocains d’émigrer en terre sainte. Mais y aurait-il eu d’autres motivations derrière la philanthropie de façade ? Aux yeux de bon nombre de spécialistes, cette affirmation n’est rien de plus qu’un secret de polichinelle. C’est en tout cas ce qu’affirment les journalistes Omar Brouksy et Agnès Bensimon. Le premier (s’appuyant sur les études menées par la seconde), dans l’un de ses livres, raconte :

                            « En quatre ans, entre 1960 et 1964, 102 000 juifs ont quitté le Maroc pour Israël. Dans son livre enquête « Hassan II et les juifs. Histoire d’une émigration secrète »[4], Agnès Bensimon indique, documents à l’appui, que le roi Hassan II percevait cinquante dollars par juif qui émigrait en Israël, enfants compris. »

                            Dans son livre devenu, près de trente ans après sa parution, quasiment introuvable, Agnès Bensimon, journaliste diplômée de SciencesPo Paris et aujourd’hui attachée culturelle à l’ambassade d’Israël, révèle les dessous de ce départ dans un paragraphe intitulé « Le prix à payer » :

                            « L’aspect financier n’étant pas le moindre des intérêts d’Hassan II, les discussions de Genève s’ouvrirent sur cette question. Israël avait promis des avantages en contrepartie d’une politique libérale, il en connut sans tarder le prix. Les enjeux portaient sur le départ de 50 000 juifs. Le montant fixé par personne s’élevait à cinquante dollars, enfants compris. L’avance exigée atteignait un demi-million de dollars. Une somme considérable pour les finances de l’Etat hébreu. L’Agence juive refusait en effet de s’en acquitter, de même que le Congrès juif mondial, les deux institutions étant dirigées par Nahoum Goldmann. Celui-ci estimait que ce serait pure perte.

                            Isser Harel se tourna alors vers Lévi Eskhol, le ministre israélien des Finances, qui demeure inflexible. En dernier recours, il s’adressa à David Ben Gourion, également réticent. Pour le convaincre, Harel joua sa dernière carte : « Il est vrai que nous allons peut-être placer cet argent à fonds perdus. J’ai l’intime conviction, cependant, que si nous ne payons pas ce prix, nous allons manquer l’occasion historique de délivrer les juifs du Maroc et de les faire monter en Israël. » Selon ses dires, Ben Gourion convoqua son ministre des Finances sur-le-champ et le mit en demeure de débloquer la somme nécessaire. »

                            « Alex Gatmon se rendit en compagnie de l’ambassadeur d’Israël en France, Walter Eytan, à Genève, munis chacun d’une grosse valise. La transaction eut lieu dans un des plus luxueux hôtels de la ville. L’avance d’un demi-million de dollars vint alimenter un compte personnel, appartenant au roi. Pendant toute la durée de l’opération Yakhin, soit plusieurs années, les Israéliens effectuèrent régulièrement les versements de fonds en Suisse. Hassan II s’en tint du reste au montant fixé de cinquante dollars.

                            Plus de 100 000 juifs avaient quitté le Maroc en 1964. Cela finissait par faire une jolie somme. Ephraïm Ronnelle a reconnu toutefois avoir triché sur le nombre exact des émigrants et réalisé ainsi de substantielles économies. Le roi ne fut pas le seul bénéficiaire du rachat de ses sujets juifs. Son ministre de l’Intérieur, Reda Guedira[5], toucha les 50 000 dollars qui lui permirent de lancer l’hebdomadaire Les Phares[6]. Son frère, Moulay Abdallah, surnommé « Son Altesse 51% », possédait des parts dans une agence de voyage de Casablanca qui détenait le monopole des billets délivrés aux émigrants sur les lignes aériennes et navales par lesquelles ils transitaient. Il percevait tout naturellement sa commission sur chaque « client ». »

                            Tout est dit … N’est-ce pas ? Doxa, doxa, gare à elle, elle est dangereuse et se répand, comme une vilaine et incoercible traînée de poudre !

                            Kamil Haj Hamou
                            The Times of Israel


                            [1] Voir annexe 1
                            [2] À l’époque, il s’agissait de Mohammed El-Mokri, Grand vizir du Maroc sous le protectorat français (1911-1955)
                            [3] Un mellah désigne un quartier juif d’une ville marocaine
                            [4] Paris, Seuil, 1991
                            [5] Conseiller de Hassan II pendant la quasi-totalité du règne de ce dernier (1966-1995), Ahmed Réda Guedira fut notamment Ministre de l’Interieur et de l’Agriculture, ainsi que Ministre de l’Information et du Tourisme.
                            [6] Journal lancé en 1959, très critique à l’égard des opposants au régime (à l’image notamment de Allal El Fassi, de l’Istiqlal et de l’UNFP). Omar Brouksy le qualifie de « journal de propagande qu’il créa dans le tumulte de la campagne électorale pour les législatives de 1963 »
                            [i] « Mohammed V honoré pour avoir empêché l’application des lois de Vichy aux juifs du Maroc », le 25 Décembre 2015. http://www.tribunejuive.info/commemo...juifs-du-maroc
                            [ii] « Georges Bensoussan : interview », propos recueillis par Nicolas Zomersztajn, le Lundi 17 Décembre 2012. http://www.cclj.be/actu/politique-so...-protege-juifs
                            [iii] « La République de Sa Majesté : France-Maroc, liaisons dangereuses », par Omar Brouksy, éditions Nouveau Monde, 2017.
                            Dernière modification par icosium, 01 février 2023, 13h17.
                            "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                            • #29
                              Yes les amis yes, si vous comptez faire du negationisme de l'histoire sur comment M5 qui a sauvé les juifs comme vous le faites sur comment M5 et H2 ont aidé les algériens, c'est mal parti...

                              Mais ne mettez pas trop d'argent et d'énergie sur ce que les juifs marocains pensent de leur pays, vous allez jeter de l'argent pas les fenêtres

                              Mais faites nous rire...



                              Dernière modification par ayoub7, 01 février 2023, 23h38.

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                              • #30
                                Agnès Bensimon : le roi Hassan II percevait cinquante dollars par juif qui émigrait en Israël, enfants compris


                                "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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