Maroc, 5e pays africain le plus endetté

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Pas du tout ya biaa asfanj Ces pays que tu cites dont solvables et capable f acheter le Maroc
Tu piges

on va croire un mcharague lfoum ou les agences de notations

depuis que chengri7a vous ademandé de placer le mot solvable partout, vous en faites du n'importe quoi

[Tiliwine]

Quel niveau
tu fais honte aux marocains
Retourne au msid

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nonnnn je vais honte aux marocains


ta noud w khtina men techrague lfoum rakou 3ayitouna

[Tiliwine]

Vous êtes chez nous ici
alors si t es fatigué change de forum
Je te suggère celui du Sahara occidental

[hmida]

Hé petits bras tu charague foum H24, va te reposer.

[rago]

Et reste la sempiternelle question: Maroc où passent les 23 milliards annuels rapportés par le cannabis?

[rago]

C'est l'Afrique du Sud qui est actuellement le pays le moins pauvre en considération de sa population beaucoup moindre que celle du Nigéria et de l'Egypte.

La dictature marocaine paye au prix fort sa colonisation du Sahara Occidental, sinon elle serait mieux classée.

Selon le 360.ma:

1er	Nigeria	504,20	574,27	651,34	737,97	835,82	945,34
2e	Egypte	469,09	471,36	510,85	558,07	608,77	663,99
3e	Afrique du Sud	411,48	422,35	438,57	455,36	472,61	490,57
4e	Algérie	187,15	190,25	196,62	205,43	215,54	224,04
5e	Maroc	142,87	150,59	158,72	167,41	176,31	185,89

[icosium]

aucun problème à s’endetter quand c’est pour financer de l’investissement productif. Tous les pays le font, spécialement ceux émergents.

Le problème du Maroc est que les projets financés par la dette s’avèrent incapables de générer la croissance nécessaire et les ressources pour son remboursement. Il est tombé dans le phénomène du « piège de la dette »

Ce n'est pas moi qui le dit mais l'imminent économiste et universitaire marocain Najib Akesbi :

[Entretien] Najib Akesbi : peu à peu, toute l’économie devient addicte à la dette

29 décembre 2022

EcoActu.ma : Dans votre livre « Maroc : une économie sous plafond de verre », publié par la Revue marocaine des sciences politiques et sociales, vous parlez d’économie d’endettement. Qu’est-ce qui a contribué à cette tendance particulièrement à l’ère où l’on cherche perpétuellement des financements pour les grands chantiers et des politiques sectorielles ?

Najib Akesbi : Cet aspect est essentiel dans l’analyse globale car il témoigne à la fois des causes et des conséquences d’un état de fait donné. L’endettement en soi n’est pas toujours un problème, et peut même jouer un « effet de levier » salutaire lorsqu’il est contracté à des conditions appropriées et -plus encore- affecté au financement de projets pertinents et performants.

Il devient un boulet dans les cas contraires, et ce sont hélas souvent les plus nombreux constatés tout au long de l’expérience marocaine depuis plus d’un demi-siècle.

Lorsque les projets financés par la dette s’avèrent incapables de générer la croissance nécessaire et partant les ressources à même de permettre son remboursement, on entre peu à peu dans ce qu’il est convenu d’appeler la « trappe de la dette », ou le « piège de la dette », un cercle vicieux où l’endettement appelle l’endettement, puis le surendettement…

On s’endette, non guère pour réaliser de nouveaux investissements, mais juste pour rembourser la dette accumulée et qui n’a pu créer par elle-même les ressources nécessaires à son remboursement.

A l’échelle macroéconomique, le problème devient encore plus compliqué lorsque l’insuffisance de l’épargne est aggravée par l’absence ou les défaillances des politiques publiques susceptibles de la mobiliser et la rehausser au niveau de l’effort d’investissement. En particulier, le refus de mise en œuvre d’une véritable réforme fiscale capable de mobiliser l’épargne là où elle se trouve, et partant d’assurer un niveau d’autosuffisance fiscale acceptable, condition sine qua non pour dégager un excédent primaire suffisant et minimiser le recours à l’emprunt… un tel refus donc condamne fatalement l’État à s’enfoncer chaque année encore plus dans le « piège » de la dette.

Et c’est ainsi que peu à peu, toute l’économie devient « addicte » à la dette, avec des besoins de financement croissants et de plus en plus dépendants des sources de financement « externes ». C’est exactement la situation où se trouve l’économie marocaine aujourd’hui, et s’il fallait une preuve supplémentaire, la Loi de Finances pour 2023 est là pour l’apporter…

EcoActu

[rago]

Et quid du prix insensé à supporter par la dictature marocaine envers sa colonisation du Sahara Occidental?

[xenon]

Tiliwine

plus un pays est endetté ,mieux il se porte .
l'endettement extérieur libellé en dollars à 45% du PIB est une bonne chose pour le maroc ,
payer 8 % du PIB annuel au remboursement service de la dette est une bonne chose pour le maroc .

[rago]

Donc, les pays qui investissent sans recourir au FMI ont tort? Le FMI impose des intérêts usuriers de sorte que certains pays doivent négocier le rééchelonnement de leur dette pour payer les intérêts.

Souvenez-vous de la tragédie algérienne envers le FM et consorts (Club de Paris) avant que Boutef soit élu.

[FEZ]

Le Maroc arrive, selon ce classement, derrière l’Afrique du Sud, l’Egypte, le Nigéria et l’Angola.

Derrière les Brics ?

[Tiliwine]

plus un pays est endetté ,mieux il se porte .
l'endettement extérieur libellé en dollars à 45% du PIB est une bonne chose pour le maroc ,
payer 8 % du PIB annuel au remboursement service de la dette est une bonne chose pour le maroc .

Désolé mais je ne partage pas cette analyse
Elle serait valable pour un pays au PIB. Très élevé
Qui serait capable de payer les intérêts uniquement
Le Maroc est loin de cette position

Tu penses que le Maroc actuellement n'a pas besoin encore de crédits, si
En mettant tout son arsenal diplomatoloby Il vient d avoir des miettes
Nous on était à 30 milliards de dette
Et le FMI a dicte ses lois

pour avoir un crédit il fallait satisfaire ses exigences

Réduction des personnels
Redéploiement des infrastructures industriels
Et j'en passe
ce qu a fait boutef est génial

Payer les dettes et épargner une belle cagnotte de
900 milliards de dollars
Ce qui a permis de lancer des grands projets structurants
Logements. 2 millions d unités
Autoroute et routes
Ports
Etc etccc

[xenon]

Désolé mais je ne partage pas cette analyse

c'était de l'ironie voyons.

[Tiliwine]

Mdr rani sayam Sahbi Partages tu mon approche