C'est le temps des désillusions pour le Makhzen, qui fait face à une série de désenchantements résultante d'une politique qui n'a pas anticipé les retours de manivelle. Après l'éclatement du scandale Marocgate', une affaire de corruption des élus européens par le Maroc, la montée de la colère des Marocains contre la normalisation des relations diplomatiques avec l'entité sioniste, mettant de plus en plus le royaume dans une situation malaisée, les secousses se sont multipliées ces dernières semaines.
Le vendredi 31 mars, une ONG marocaine de défense des droits des femmes a dénoncé un verdict «injuste» après que trois personnes «ayant violé à répétition» une mineure de 11 ans dans un village près de Rabat ont été condamnés à deux ans de prison.
Cette sale histoire de viol d'une fille mineure, selon l'ONG Jossour Forum des Femmes Marocaines, ne provoque pas uniquement l'indignation de cette ONG, mais de toutes les familles marocaines. Le verdict rendu par la chambre criminelle de la Cour d'appel de Rabat, qui a condamné le 20 mars dernier à deux ans de prison trois hommes, dont 18 mois ferme pour deux d'entre eux, poursuivis pour «détournement de mineure» et «attentat à la pudeur sur mineure avec violence», a «choqué» plus d'un marocain. Il s'agit d'un verdict «injuste» pour la victime, a dénoncé l'association qui réclame «des peines plus sévères face à ce crime odieux». L'association INSAF, qui soutient la mineure dans l'affaire, a annoncé faire appel du jugement, ont annoncé des comptes rendus médiatiques. Les trois accusés - qui ont aussi été condamnés à payer des dommages pour un montant total de 4.500 euros - encouraient entre 10 à 20 ans de prison, selon le code pénal marocain.
Dans ces moments de désarroi, les autorités marocaines essaient de taper aveuglément sur des cibles, dont le seul tort est de ne pas partager les visions et les politiques qui vont à l'encontre de la société marocaine. A l'image d'un acharnement contre l'Agence Algérie Presse Service (APS) par des relais médiatiques du régime du Makhzen à travers un article publié, récemment, par un site électronique connu pour être un porte-voix de la propagande mensongère marocaine par excellence.
Source quotidien d Oran
Le vendredi 31 mars, une ONG marocaine de défense des droits des femmes a dénoncé un verdict «injuste» après que trois personnes «ayant violé à répétition» une mineure de 11 ans dans un village près de Rabat ont été condamnés à deux ans de prison.
Cette sale histoire de viol d'une fille mineure, selon l'ONG Jossour Forum des Femmes Marocaines, ne provoque pas uniquement l'indignation de cette ONG, mais de toutes les familles marocaines. Le verdict rendu par la chambre criminelle de la Cour d'appel de Rabat, qui a condamné le 20 mars dernier à deux ans de prison trois hommes, dont 18 mois ferme pour deux d'entre eux, poursuivis pour «détournement de mineure» et «attentat à la pudeur sur mineure avec violence», a «choqué» plus d'un marocain. Il s'agit d'un verdict «injuste» pour la victime, a dénoncé l'association qui réclame «des peines plus sévères face à ce crime odieux». L'association INSAF, qui soutient la mineure dans l'affaire, a annoncé faire appel du jugement, ont annoncé des comptes rendus médiatiques. Les trois accusés - qui ont aussi été condamnés à payer des dommages pour un montant total de 4.500 euros - encouraient entre 10 à 20 ans de prison, selon le code pénal marocain.
Dans ces moments de désarroi, les autorités marocaines essaient de taper aveuglément sur des cibles, dont le seul tort est de ne pas partager les visions et les politiques qui vont à l'encontre de la société marocaine. A l'image d'un acharnement contre l'Agence Algérie Presse Service (APS) par des relais médiatiques du régime du Makhzen à travers un article publié, récemment, par un site électronique connu pour être un porte-voix de la propagande mensongère marocaine par excellence.
Source quotidien d Oran
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