Par Yahya Benabdellah
Non pas un, mais deux projets liés à la production de batteries électriques de nouvelle génération, destinées à l'industrie automobile, sont dans le pipe du ministère de l'Industrie et du commerce
Non pas un, mais deux projets liés à la production de batteries électriques de nouvelle génération, destinées à l'industrie automobile, sont dans le pipe du ministère de l'Industrie et du commerce.
Le ministère de l'Industrie et du commerce s'attèle à deux projets dans les batteries électriques, avec un investissement de grande envergure, d'après Ryad Mezzour.
"Le premier, c'est 6 milliards d'euros ; le deuxième, c'est 4 milliards d'euros", a-t-il précisé.
Le ministre, qui intervenait lors du Ftour-débat organisé par l'Alliance des économistes istiqlaliens, a souligné, à travers cet exemple, comment le Maroc avait changé d'échelle dans l'attraction des investissements étrangers productifs.
Il a établi la comparaison avec les usines de Renault et Stellantis, qui étaient considérées jusque-là comme les plus importantes, avec des montants avoisinant 300 à 400 millions d'euros.
Ryad Mezzour avait fait part auparavant de son intention d'attirer un investissement majeur. Il l'espérait à la fin de l'année 2022, pour la mise en place d'une gigafactory de 16 gigawatts, permettant d'équiper 300.000 voitures électriques par an. Cette annonce vient confirmer que le projet est toujours d'actualité.
Dans le même sens, le ministre de l'Industrie et du commerce a également mentionné les projets d'énergies renouvelables.
"Les trois projets sur lesquels on travaille - dont un peut se concrétiser et deux autres sont en ballotage - sont des projets à 20 milliards d'euros", a indiqué Ryad Mezzour.
Le montant de 20 milliards d'euros fait naturellement penser au projet XLinks, dont l'investissement annoncé au départ était de 18 milliards de livres sterling.
Non pas un, mais deux projets liés à la production de batteries électriques de nouvelle génération, destinées à l'industrie automobile, sont dans le pipe du ministère de l'Industrie et du commerce
Non pas un, mais deux projets liés à la production de batteries électriques de nouvelle génération, destinées à l'industrie automobile, sont dans le pipe du ministère de l'Industrie et du commerce.
Le ministère de l'Industrie et du commerce s'attèle à deux projets dans les batteries électriques, avec un investissement de grande envergure, d'après Ryad Mezzour.
"Le premier, c'est 6 milliards d'euros ; le deuxième, c'est 4 milliards d'euros", a-t-il précisé.
Le ministre, qui intervenait lors du Ftour-débat organisé par l'Alliance des économistes istiqlaliens, a souligné, à travers cet exemple, comment le Maroc avait changé d'échelle dans l'attraction des investissements étrangers productifs.
Il a établi la comparaison avec les usines de Renault et Stellantis, qui étaient considérées jusque-là comme les plus importantes, avec des montants avoisinant 300 à 400 millions d'euros.
Ryad Mezzour avait fait part auparavant de son intention d'attirer un investissement majeur. Il l'espérait à la fin de l'année 2022, pour la mise en place d'une gigafactory de 16 gigawatts, permettant d'équiper 300.000 voitures électriques par an. Cette annonce vient confirmer que le projet est toujours d'actualité.
Dans le même sens, le ministre de l'Industrie et du commerce a également mentionné les projets d'énergies renouvelables.
"Les trois projets sur lesquels on travaille - dont un peut se concrétiser et deux autres sont en ballotage - sont des projets à 20 milliards d'euros", a indiqué Ryad Mezzour.
Le montant de 20 milliards d'euros fait naturellement penser au projet XLinks, dont l'investissement annoncé au départ était de 18 milliards de livres sterling.
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