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Les Forces Armées Royales (FAR) vont disposer d’une arme de dernière technologie dont ne sont dotés que quelques rares pays et qui sera d’une utilité sans pareille pour les unités terrestres et particulièrement l’artillerie.
Il s’agit d’un drone nano, le FLIR Black Hornet 3 plus connu sous le nom de frelon noir, qui n’est utilisé que par quelques grandes armées telles, celles des Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Israël, Australie, Turquie, Inde… Ce drone de combat et qui n’est pas forcément armé est utilisé pour des missions de reconnaissance et d’identification des cibles. Il est facile à manier, robuste, difficile à détecter et parfaitement adapté aux combats en zone urbaine.
Ce système est développé par la société norvégienne Prox Dynamics, filiale du groupe américain FLIR. Conçu pour sauver des vies et minimiser les dommages collatéraux, il détecte et identifie les menaces jour et nuit en toute discrétion. Il permet également d’augmenter la vitesse de mouvement et élargit les options de manœuvre.
Le FLIR Black Hornet PRS équipe le fantassin non spécialiste d’un outil de perception de la situation à la fois discret et immédiat. D’une technologie révolutionnaire EO [électro-optique] et IR [infrarouge], il comble le fossé entre capteurs aériens et capteurs terrestres, offrant la même qualité que les drones plus gros et les fonctions de localisation IED des UGV.
Extrêmement léger, il pèse 18 grammes et mesure 10 cm de long, 2,5 cm de large et est d’un format assez compact pour qu’un soldat fantassin puisse la transporter sur sa ceinture, ou dans une poche de son treillis. Il est quasiment silencieux, et a une autonomie de vol de 25 minutes. Ce Black Hornet de poche, déjà éprouvé au combat, transmet à l’opérateur des vidéos en direct et des images fixes HD », explique l’industriel sur son site Internet. Semblables à des jouets, ces sortes d’hélicoptères miniatures appelés “Black Hornet” avaient été utilisés pour la première fois en Afghanistan par l’Armée britannique avec une grande efficacité
Le Black Hornet joue un rôle majeur dans l’équilibre des forces dans les guerres en cours. Le « frelon noir peut être envoyé à un endroit précis à l’aide d’un système de navigation équipé d’un GPS (Global Positioning System), prendre des photos le long de sa trajectoire à des points spécifiés, effectuer des reconnaissances en territoire ennemi puis, revenir automatiquement à sa base. En outre il peut travailler dans des endroits difficiles d’accès.
Certains de ces drones ont été récemment livrés à l’Ukraine, et ils ont été bien utiles. Sa dangerosité se trouve dans sa taille, car il est impossible pour tout système de défense aérienne de l’abattre en raison de sa petite taille justement. Facturé environ 40 000 euros, l’ensemble de l’équipement (sacoche ventrale comprenant un écran, deux nanodrones, une télécommande) ne pèse pas plus d’un kilo et demi. Les FAR vont l’acquérir très prochainement.
Hespress
Il s’agit d’un drone nano, le FLIR Black Hornet 3 plus connu sous le nom de frelon noir, qui n’est utilisé que par quelques grandes armées telles, celles des Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Israël, Australie, Turquie, Inde… Ce drone de combat et qui n’est pas forcément armé est utilisé pour des missions de reconnaissance et d’identification des cibles. Il est facile à manier, robuste, difficile à détecter et parfaitement adapté aux combats en zone urbaine.
Ce système est développé par la société norvégienne Prox Dynamics, filiale du groupe américain FLIR. Conçu pour sauver des vies et minimiser les dommages collatéraux, il détecte et identifie les menaces jour et nuit en toute discrétion. Il permet également d’augmenter la vitesse de mouvement et élargit les options de manœuvre.
Le FLIR Black Hornet PRS équipe le fantassin non spécialiste d’un outil de perception de la situation à la fois discret et immédiat. D’une technologie révolutionnaire EO [électro-optique] et IR [infrarouge], il comble le fossé entre capteurs aériens et capteurs terrestres, offrant la même qualité que les drones plus gros et les fonctions de localisation IED des UGV.
Extrêmement léger, il pèse 18 grammes et mesure 10 cm de long, 2,5 cm de large et est d’un format assez compact pour qu’un soldat fantassin puisse la transporter sur sa ceinture, ou dans une poche de son treillis. Il est quasiment silencieux, et a une autonomie de vol de 25 minutes. Ce Black Hornet de poche, déjà éprouvé au combat, transmet à l’opérateur des vidéos en direct et des images fixes HD », explique l’industriel sur son site Internet. Semblables à des jouets, ces sortes d’hélicoptères miniatures appelés “Black Hornet” avaient été utilisés pour la première fois en Afghanistan par l’Armée britannique avec une grande efficacité
Le Black Hornet joue un rôle majeur dans l’équilibre des forces dans les guerres en cours. Le « frelon noir peut être envoyé à un endroit précis à l’aide d’un système de navigation équipé d’un GPS (Global Positioning System), prendre des photos le long de sa trajectoire à des points spécifiés, effectuer des reconnaissances en territoire ennemi puis, revenir automatiquement à sa base. En outre il peut travailler dans des endroits difficiles d’accès.
Certains de ces drones ont été récemment livrés à l’Ukraine, et ils ont été bien utiles. Sa dangerosité se trouve dans sa taille, car il est impossible pour tout système de défense aérienne de l’abattre en raison de sa petite taille justement. Facturé environ 40 000 euros, l’ensemble de l’équipement (sacoche ventrale comprenant un écran, deux nanodrones, une télécommande) ne pèse pas plus d’un kilo et demi. Les FAR vont l’acquérir très prochainement.
Hespress
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