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Après BFM avec M'Barki, Al -Jazeera licencie aussi un journaliste marocain

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  • Après BFM avec M'Barki, Al -Jazeera licencie aussi un journaliste marocain

    Sacrés menteurs ces journalistes marocains et donc pas étonnants qu'ils se fassent congédiés.

    - Le limogeage d’un journaliste marocain de la chaîne Al-Jazeera pour un tweet défendant le Maroc fait polémique au royaume. Mais cela ne pourrait contester les bonnes relations entre Rabat et Doha.

    La toile marocaine est en effervescence depuis vingt-quatre heures à propos du licenciement du journaliste-présentateur marocain de la chaîne Al-Jazeera Abdessamad Nacer. Le syndicat national de la presse marocaine (SNPM) s’est indigné, dans un communiqué fleuve, de ce qu’il qualifie de "traitement à deux poids deux mesures" prôné par la chaîne qatarie qui "ferme les yeux sur les errements de certains de ses journalistes algériens".

    Du côté de Rabat comme du côté de Doha c’est silence radio, contrairement à ce que d’aucuns s’attendraient notamment au Maroc. Et c’est justement là où il faudrait faire preuve de maturité, car la diplomatie ne réagit pas au rythme des réseaux sociaux.

    Medias24.ma (extraits)

  • #2
    Je trouve que les pervers serviteurs de M6 ont perdu de leur superbe.

    Avant c'était des gros vicieux bien rusé avec une façade british et soft.

    Maintenant ce sont des gros bourrins qui se font pincer régulièrement.

    Que voulez vous ma chère Ginette tout se perd. (​​​​​​)
    J'aime surfer sur la vague du chaos.

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    • #3
      Pire encore, ces journaleux marocains sont des délateurs sournois avec leur accusation perfide: "ferme les yeux sur les errements de certains de ses journalistes algériens"!

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      • #4
        Tiens voilà une version! Il s'agit maintenant d'un motif lié à la défense de la femme marocaine. Il serait judicieux que la menteuse presse marocaine nous administre les preuves de ces atteintes portées à l'honneur de la femme marocaine.

        - Le SNPM condamne l’expulsion « arbitraire » d’Abdel Samad Nasser par Al-Jazeera

        Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a indiqué avoir appris que la direction de la chaîne qatarie « Al-Jazeera » avait informé le journaliste Abdel Samad Nasser de la rupture de leur contrat d’Abdel Nasser après en raison de l’ingérence algérienne.

        Le SNMP a dénoncé le licenciement d’Abdel Samad Nasser par la direction d’Al-Jazeera comme étant arbitraire. Selon un communiqué du syndicat, le licenciement fait suite à un tweet de Nasser qui défendait l’honneur de la femme marocaine, après qu’elle a été insultée par les médias officiels algériens.

        Après avoir refusé de supprimer ou de modifier le tweet, la direction d’Al-Jazeera a décidé de résilier unilatéralement le contrat de Nasser, ce qui a été considéré comme une expulsion arbitraire d’un collègue qui a exercé son droit naturel d’exprimer son opinion en dehors du cadre des médias dans lequel il travaille.

        Le syndicat a également souligné l’existence d’un lobby algérien à l’intérieur et à l’extérieur de la chaîne, qui gère des comportements imprudents et des pressions exercées par l’ambassade d’Algérie à Doha pour imposer une certaine direction hostile aux intérêts du Maroc au sein de la chaîne, et dans le contenu médiatique qu’elle propose.

        Maroc diplomatique

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        • #5
          Sous toute réserve, le litige découlerait du fait que les médias algériens qualifie le Maroc, entre autres, de pays de « corruption, de débauche et de drogue, qui vend ses enfants dans le marché du tourisme sexuel » Mais est-ce erroné? A mon avis c'est entièrement justifié et preuves à l'appui.

          Quant à vous?

          - L’affaire remonte au 30 avril dernier, lorsque Nacer, qui travaille depuis plus d’un quart de siècle à Al Jazeera -où travaillait, désormais- a réagi sur son compte privé pour condamner les dérives des chaînes de télévision du régime algérien et leur atteinte à la dignité des femmes marocaines, à travers des contenus aux langage ordurier. Le tweet en question est accompagné de la vidéo d’un reportage diffusé par la télévision officielle algérienne et qui qualifie le Maroc, entre autres, de pays de « corruption, de débauche et de drogue, qui vend ses enfants dans le marché du tourisme sexuel ». De la diffamation quotidienne sur les médias et réseaux sociaux de ce pays maghrébin et voisin du Maroc.

          Le présentateur marocain a été contacté dans un premier temps par le directeur de l’information d’Al Jazeera -un algérien, faut il le souligner-, lui ordonnant de supprimer le tweet de « la discorde ». Chose que Nacer a refusé, invoquant son droit à la liberté d’expression sur les réseaux sociaux et qu’il ne parle pas au nom de la chaîne Qatarie et qu’il n’engage en rien la responsabilité de celle-ci.

          + Conspiration algérienne … +

          Face à sa résistance, selon le syndicat SNPM à Rabat qui s’est solidarisé avec Nacer, ce dernier est alors convoqué par le le directeur général, qui le reçoit dans son bureau et lui réitère l’ordre de retirer le tweet ou au moins de le modifier de sorte à ce qu’il ne vise pas l’État algérien, faute de quoi, la chaîne sera contrainte de prendre une mesure administrative dissuasive contre lui.

          Article19.ma

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          • #6
            L'Affaire déchaîne des passions sur des réseaux sociaux marocains! S'agirait-il d'une affaire d'Etat en dictature marocaine? Pauvre peuple marocain va!

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            • #7
              Il pourrait s'agir d'un scandale de fornication entre le journaliste marocain et sa collègue soudanaise au sein même des lieux de la chaîne.

              Affaire à suivre.

              - La décision n’a pas été annoncée officiellement par le média qatari, mais l’information a été rapportée par un média réputé sérieux, Al Quds Al Arabi, et largement reprise par la presse marocaine.

              Le journal paraissant à Londres a annoncé que la chaîne qatarie a décidé de se passer des services du journaliste marocain Nasser Abdessamad et de la présentatrice soudanaise Nancy Mahdjoub, sans citer de sources ni livrer les raisons de cette décision.
              (...).
              « Nasser Abdessamad est un journaliste très actif sur les réseaux sociaux », a ajouté le journal londonien, qui paraît également à New York et Francfort.

              L’information a été largement reprise par la presse et les réseaux sociaux marocains qui ont déduit que le licenciement du journaliste est motivé par ses positions et le soutien qu’il exprime publiquement aux décisions des autorités de son pays.
              (...).
              En janvier dernier, la direction de la chaîne française BFMTV a ouvert une enquête pour « ingérence étrangère » dans ses programmes qui a abouti au licenciement, le 23 février, du journaliste d’origine marocaine Rachid M’barki pour « faute grave ». La chaîne a déposé plainte contre x pour abus de confiance et corruption passive.

              Le journaliste avait mis à profit ses émissions pour défendre les positions du Maroc, notamment sur la question du Sahara occidental.

              TSA (extraits)

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              • #8
                Scandaleux qu'aucun média marocain ne mentionne aussi le licenciement de la journaliste soudanaise! Donc, la voie de la fornication tient la route et ceci explique le silence des médias de la dictature alaouite à mentionner son cas.

                - La « main » d’Alger derrière le licenciement du journaliste marocain d' »Al Jazeera », Abdessamad Nacir. Les dessous d’une affaire aux relents de scandale.
                (...).
                Or, d’après les résultats d’une enquête du Syndicat national de la presse marocaine rendus publics aujourd’hui, il s’est avéré que cette décision avait été prise par le lobby algérien au sein de la chaîne qatarie, en représailles contre les récentes sorties de notre confrère et compatriote Abdessamad Nasser sur son compte Twitter pour défendre l’honneur des Marocaines, visé par la propagande algérienne haineuse.

                Le Collimateur.ma

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                • #9
                  Bien qu'indubitable le renvoi de ces deux journalistes résident d'une affaire de fornication, il s'avère pas moins que la dénonciation de exploitation sexuelle d'enfants marocains est fondée et par ailleurs combattu par de nombreuses organisations internationales à 'instar de celle du Humanium.

                  - Le tourisme sexuel au Maroc: une industrie florissante contre les droits de l’enfant

                  Le Maroc devient de plus en plus un « paradis » pour les pédophiles venus du monde entier. Compte tenu de sa facilité d’accès à l’Europe, du grand nombre d’enfants démunis et de la nature taboue de cette question, le Maroc est la destination idéale pour le tourisme sexuel et l’exploitation sexuelle des enfants. En outre, la faiblesse des structures juridiques et d’application de la loi dans la mise en œuvre et la protection des droits de l’enfant est un autre élément clé dans la poursuite de cette forme de violence contre les enfants. En fait, la plupart du temps, les enfants maltraités sont considérés comme des délinquants plutôt que des victimes, avec toutes les conséquences socio-juridiques qui sont liées à ce stéréotype.

                  Trafic d’enfants à des fins sexuelles

                  En tant que route de transit clé pour les victimes de la traite, destination des touristes sexuels et pays d’origine de nombreuses femmes prostituées à l’étranger, le Maroc est actuellement en proie à plusieurs types d’exploitation sexuelle. Selon le rapport 2021 du Département d’État américain sur la traite des personnes (Fondation Scelles, 2016), le Maroc est placé sur la Liste de surveillance de niveau 2, ce qui signifie qu’il a pris des mesures pour éliminer la traite des personnes, mais qu’il ne répond pas encore aux normes minimales (Prafcke, 2021).

                  Humanium

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                  • #10
                    traitement à deux poids deux mesures" prôné par la chaîne qatarie qui "ferme les yeux sur les errements de certains de ses journalistes algériens".

                    Oubliez les algériens
                    Car nous on n' est pas des chakamas
                    Gone with the Wind.........

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                    • #11
                      Relevons que de nombreux journalistes marocains ont été condamnés à la prison pour des affaires de sexe et celui licencié par Al Jazeera ne fait que confirmer un penchant spécial des journalites marocains

                      - Une cour de Casablanca a condamné lundi 19 juillet le journaliste et défenseur des droits humains Omar Radi à six ans de prison dans une double affaire d'«espionnage» et de «viol» à l'issue de son procès, a constaté une journaliste de l'AFP.

                      - Le cas Imad Stitou

                      Un autre journaliste Imad Stitou, 32 ans, a été condamné à un an de prison, dont six mois ferme dans la même affaire. Il avait d'abord été présenté comme l'unique témoin à décharge dans l'affaire de viol avant d'être poursuivi en état de liberté au cours de l'instruction. Imad Stitou demeure libre.

                      La liste n'est pas exhaustive.

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                      • #12

                        - « Maroc : sexe, corruption et espionnage »
                        Le journaliste Ali Lmrabet décrypte les méthodes de Mohammed VI

                        Jean-Baptiste Rivoire : Ça veut dire quoi, « invitations spéciales » ?

                        Ali Lmrabet : On permet à des personnalités françaises, dans le monde politique, mais aussi dans le monde des affaires ou des personnalités médiatiques, de venir au Maroc faire ce qu'ils ne peuvent pas faire en France.

                        Jean-Baptiste Rivoire : Du tourisme sexuel ?

                        Ali Lmrabet : Avec des mineurs. Ce qui est grave, c'est que le Maroc est un pays musulman où ce genre de pratiques est prohibé non seulement par la morale islamique, mais par la loi (…) Ils peuvent faire au Maroc ce qu’ils faisaient en cachette en France dans les années 1950-60, 70, 80, mais qu’ils ne peuvent plus faire maintenant. Il y a plein de cas documentés d'affaires sexuelle où des politiciens français ont été chopés la main dans le sac. Ou plutôt la main dans le derrière (Excusez moi le terme).

                        FF investigations

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