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Est-ce que l'empressement des Sahraouis à connaître l'avis du renégat Agustin Santos Maravar (plus tard :ASM) à propos de trahison du despote Sanchez n'est pas encore d'à propos?
A vous!
- Ceux qui ont travaillé avec lui sont d’accord pour décrire Agustín Santos Maraver comme « un grand serviteur de l’État, loyal et très tolérant ». Un gars jusque-là discret qui a atteint son apogée professionnelle à la tête du cabinet de Miguel Ángel Moratinos et qui avait résisté en tant qu’ambassadeur d’Espagne à l’ONU depuis l’arrivée de José Manuel Albares, avec qui il n’était pas en phase. Militant de la Gauche unie, sa critique furieuse des États-Unis, de l’OTAN et du « régime des 78 » exprimée sous des pseudonymes a provoqué la surprise dans la carrière diplomatique et ajoute à l’ombre portée par ses actions dans le conflit du Sahara, l’une des questions les plus sensibles de la politique étrangère espagnole.
Les deux parties sont des questions qui attendent Santos Maraver à son retour en Espagne, après avoir été désigné par Yolanda Díaz comme numéro deux sur la liste de Sumar par Madrid. Sa destitution à la tête de la légation espagnole à l’ONU, rendue publique mercredi, ouvre la porte à des explications. C’est du moins ce que comprennent des sources proches du Front Polisario, qui lui demandent de clarifier sa position dans le conflit : celle mise en scène dans les efforts pour la grève de la faim d’Aminetou Haidar en 2009 et celle qu’il a maintenue au cours des deux dernières années, fermant la porte de l’ambassade aux militants et observateurs espagnols au Sahara ; ou la prétendue sympathie pour la cause sahraouie qu’il a manifestée dans une interview publiée par le magazine d’analyse dont il fait partie du comité de rédaction et dans laquelle il écrit habituellement sous le pseudonyme de Gustavo Buster.
L'Indépendant.es
A suivre
A vous!
- Ceux qui ont travaillé avec lui sont d’accord pour décrire Agustín Santos Maraver comme « un grand serviteur de l’État, loyal et très tolérant ». Un gars jusque-là discret qui a atteint son apogée professionnelle à la tête du cabinet de Miguel Ángel Moratinos et qui avait résisté en tant qu’ambassadeur d’Espagne à l’ONU depuis l’arrivée de José Manuel Albares, avec qui il n’était pas en phase. Militant de la Gauche unie, sa critique furieuse des États-Unis, de l’OTAN et du « régime des 78 » exprimée sous des pseudonymes a provoqué la surprise dans la carrière diplomatique et ajoute à l’ombre portée par ses actions dans le conflit du Sahara, l’une des questions les plus sensibles de la politique étrangère espagnole.
Les deux parties sont des questions qui attendent Santos Maraver à son retour en Espagne, après avoir été désigné par Yolanda Díaz comme numéro deux sur la liste de Sumar par Madrid. Sa destitution à la tête de la légation espagnole à l’ONU, rendue publique mercredi, ouvre la porte à des explications. C’est du moins ce que comprennent des sources proches du Front Polisario, qui lui demandent de clarifier sa position dans le conflit : celle mise en scène dans les efforts pour la grève de la faim d’Aminetou Haidar en 2009 et celle qu’il a maintenue au cours des deux dernières années, fermant la porte de l’ambassade aux militants et observateurs espagnols au Sahara ; ou la prétendue sympathie pour la cause sahraouie qu’il a manifestée dans une interview publiée par le magazine d’analyse dont il fait partie du comité de rédaction et dans laquelle il écrit habituellement sous le pseudonyme de Gustavo Buster.
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A suivre