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Je suis septique sur cette information que la construction d’une base soit pour le polisario.
Bon,
Il faut attendre encore un peu pour voir si il y a vraiment une evolution dans ce sens.
J’en doute encore car je ne vois pas l’intérêt de la Russie e de jouer une carte perdante a l’avance sur le dossier du sahara et surtout sacrifier ses bonnes relations commerciales et économiques avec le Maroc
Encore un grossier mensonge. Tu viens de confirmer la loi de la recurrence tout seul, comme un grand. Tu es doue pour le mensonge plus que tes concitoyens quoique ces derniers sont loin de demeriter.
Pourtant,
tous vos dirigeants pleurent sur la question du sahara marocain car le Maroc est chez lui et vos pantins chez vous a pleurer que l’Atlantique ne soit qu’un mirage.
Si les bases russes étaient efficaces on aurait vu leur résultat en Syrie où tous les centres névralgiques du pays sont canardés par Israël en toute impunité.
Dernière modification par infinite1, 18 juin 2023, 09h08.
Si les bases russes étaient efficaces on aurait vu leur résultat en Syrie où tous les centres névralgiques du pays sont canardés par Israël en toute impunité.
C'est pire que ça, c'est un deal entre zzahal et l'armée russe.
C'est du pur mensonge maroquin! D'autres en font un livre de science fiction.
- Dans les premières étapes de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie, le chef du renseignement militaire de Poutine conçoit une stratégie pour blesser l’OTAN aux portes de l’Europe et détourner l’attention de la guerre. La ruse consiste à attiser le nid de frelons du Maghreben envoyant cinquante millions de dollars d’armes au Front Polisario en utilisant les services d’un trafiquant irakien. C’est l’opération fictive conçue par l’ancien ambassadeur d’Espagne et directeur du CNI Jorge Dezcallar avec les échos directs de la guerre sur le sol européen et du changement de position espagnole dans le conflit du Sahara occidental.
L'Indépendant.es (Cf. False Flag: From the Kremlin to Tindouf)
- « C’est de la fiction mais cela pourrait être plausible », glisse Dezcallar (Palma de Majorque, 1945) dans une conversation avec El Independiente. « Je joue avec un contexte très réel, comme la guerre en Ukraine et la lutte pour l’hégémonie en Afrique du Nord entre l’Algérie et le Maroc. Tout le reste n’est que fiction », prévient le diplomate chevronné, aujourd’hui à la retraite, qui a été pendant douze ans chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères ainsi qu’ambassadeur aux Etats-Unis ou au Maroc et directeur du CNI. Dans Operation False Flag: From the Kremlin to Tindouf (La sphère du livre), Dezcallar fantasme même sur une conversation de Pedro Sánchez sur le changement de position au Sahara et un dialogue entre Mohamed VI et son ministre des Affaires étrangères célébrant, entre rires, la cession du socialiste-.
-Question.- Le Sahara est l’un des décors dans lesquels se déroule le roman. 47 ans plus tard, est-ce le talon d’Achille de l’Espagne ?
Réponse.- Oui, parce que nous avons fait une très grosse erreur. Hassan II profite habilement de la mort de Franco pour lancer la Marche verte. Ce fut un moment de faiblesse pour l’Espagne. Le départ des troupes espagnoles du territoire a été une mauvaise retraite, car il a laissé la droite en colère, qui pensait que l’armée sortait mal et aussi la gauche parce qu’elle pensait que les Sahraouis avaient été abandonnés. Mais en même temps, nous avons fait quelque chose de bien : nous mettre sous l’égide de l’ONU. Ce que l’ONU a dit, nous l’avons dit amen. Nous étions à l’aise jusqu’à ce que, tout à coup, ce gouvernement, sans expliquer pourquoi et sans compter les avantages que nous obtenons, se retire de la protection du parapluie des Nations Unies et se place au milieu de la lutte au Maghreb entre l’Algérie et le Maroc. Et dans cette position, il pleut beaucoup. En Algérie, où on nous appelle « traîtres, canailles ou canailles », tout le commerce espagnol a été perdu.
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