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Suisse: le Hamas n'est pas (encore) considéré comme terroriste

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  • #16
    " Des villes comme Genève et Lausanne, que j'ai connues d'une sécurité exemplaire lorsque je résidais en Haute-Savoie, ont vu leur taux de criminalité et de délinquance exploser depuis l'instauration de l'espace Schengen."

    Détrompez-vous. Toutes les régions suisses frontalières de la France connaissent un fort taux d'insécurité. C'est notamment le cas du canton du Jura, frontalier de la Franche-Comté.

    Dito, si le racisme gagne du terrain en Suisse, c'est avant tout en raison du 347 000 frontaliers (dont 250 000 français) qui travaillent dans ce pays et qui ne paient d'impôts directs (la France restituant à la Suisse qu'une infime partie fiscale des gains de ses frontaliers).

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    • #17
      rago

      C'est notamment le cas du canton du Jura, frontalier de la Franche-Comté.
      Même cause, mêmes effets !
      Les cantons frontaliers avec la France "bénéficient" de la visite des "jeunes" des banlieues françaises que les Suisses appellent des "Français" avec beaucoup d'ironie.
      Et dans le même temps, l'insécurité due à l'immigration a beaucoup augmentée à cause des migrants. Il suffit de de promener à Genève et à Lausanne pour comprendre le phénomène.
      Quant aux travailleurs frontaliers, il ne s'agit pas de clandestins, mais de personnels embauchés par les sociétés suisses avec bien entendu l'accord du gouvernement fédéral.
      Rien n'empêche ce pays de mettre un terme à cette pratique si cela indispose sa population.
      Il me semble qu'en Suisse, ils ont la "votation" très facile. La situation pourrait être tranchée facilement.

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      • #18
        " Et dans le même temps, l'insécurité due à l'immigration a beaucoup augmentée à cause des migrants. Il suffit de de promener à Genève et à Lausanne pour comprendre le phénomène." alibigoud

        Vous êtes de mauvaise foi. En cité de Calvin notamment, aucune crainte n'est -notablement- de mise (la mère de mes enfants réside à Genève). Les seuls problèmes de larcins sont posés par des jeunes ressortissants français qui profitent de la proximité genevoise afin d'effectuer des vols à l'étalage.

        Ps. Où aviez-vous été domicilié lorsque vous résidiez en Haute-Savoie?

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        • #19
          rago

          Les seuls problèmes de larcins sont posés par des jeunes ressortissants français qui profitent de la proximité genevoise afin d'effectuer des vols à l'étalage.
          C'est une blague !
          Vous appelez cela des larcins et des vols à l'étalage, lorsque des bandes de voyous venus des cités d'Annemasse ou même de Lyon viennent commettre des délits importants dans les villes Suisse.
          Où aviez-vous été domicilié lorsque vous résidiez en Haute-Savoie?
          Saint Jean d'Aulps - Excenevex.

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          • #20
            " Vous appelez cela des larcins et des vols à l'étalage, lorsque des bandes de voyous venus des cités d'Annemasse ou même de Lyon viennent commettre des délits importants dans les villes Suisse."

            Ils s'agit d'enfants français qui commettent de petits larcins à Genève. La Cité de Calvin n'est pas pour autant sous état de siège.

            Saint Jean d'Aulps - Excenevex.

            Je connais pas cet endroit en Haute Savoie.

            En revanche, j'avais loué durant des années un chalet de vacances à la station d'Orange.

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            • #21
              rago

              Ils s'agit d'enfants français qui commettent de petits larcins à Genève.


              Des braqueurs lyonnais font trembler la Suisse


              «Crapules, voyous, délinquants.» C'est ainsi que la presse helvétique nomme les bandes de malfaiteurs venus de Lyon pour vandaliser les véhicules et les commerces suisses. Plutôt spectaculaires, leurs méfaits font régulièrement les gros titres des journaux locaux et alimentent les conversations. «Les braqueurs nous adorent», notait récemment le quotidien populaire Le Matin , avec ironie.

              Sur les bords du Léman, les faits d'armes de ces Français sont divers. Le 14 décembre 2010, quatre malfrats attaquaient une bijouterie du Sentier, dans le canton de Vaud, et prenaient en otage une des locataires de l'immeuble. Quelques jours auparavant, un autre groupe tentait de braquer une banque de Collonge-Bellerive, près de Genève, avec une arme longue de type kalachnikov.

              Les mois précédents, plusieurs autres banques et bureaux de change de la région avaient été dévalisés par des personnes munies d'armes lourdes. Celles-ci n'avaient pas hésité à tirer sur les forces de l'ordre et à prendre la fuite - la frontière française n'étant qu'à quelques kilomètres. Au mois d'avril, l'autre auteur d'un casse décédait sous les balles d'un policier suisse.

              En 2009, le canton de Genève a subi 17 hold-up, Vaud en a connu cinq et Fribourg quatre. «Nous sommes confrontés à une augmentation de ce phénomène depuis une dizaine d'années, affirme Patrick Puhl, porte-parole de la police cantonale genevoise. Les coupables viennent des banlieues de Lyon comme Vaulx-en-Velin, mais aussi des villes de Grenoble ou Chambéry. Il ne s'agit pas de véritables gangs: ces gens ne sont pas liés entre eux et il n'y a pas de hiérarchie stricte en leur sein. Mais tous sont jeunes et possèdent des meules, des explosifs ou des armes automatiques. C'est grave.»

              Au sein de la Confédération, l'inquiétude des policiers trouve un chez certains hommes politiques, notamment Éric Stauffer, président du Mouvement citoyens genevois, qui dénonce la «racaille de France». Selon certains députés, le problème des braqueurs lyonnais se serait accéléré avec l'entrée de la Suisse dans l'espace Schengen.

              «Une mine d'or»

              Depuis le 12 décembre 2008, les contrôles aux frontières se sont raréfiés et les effectifs de douaniers ont diminué. L'Europe laisserait-elle plus de liberté aux malfrats?
              Des opérations de type commando, un arsenal quasi militaire, des berlines volées, des gilets pare-balles… ces braquages surprennent d'abord par leur ampleur.

              Cependant, les spécialistes soulignent que ce phénomène n'est pas nouveau: même si leurs moyens ont changé, les délinquants français viennent au pays de Guillaume Tell depuis les années 1970, notamment pour voler des voitures de luxe. L'ancien braqueur ­Redouane Faïd, interrogé par le journal Le Temps, note que «la Suisse, c'est leur mine d'or. Là-bas, ils multiplient par quatre leurs butins, ils pensent qu'ils ne sont pas fichés et ils se disent que la police ne va pas les courser pendant 200 kilomètres.»

              Si tel était le cas il y a trente ans, cela n'est plus vrai aujourd'hui. Du fait de la signature de l'accord de coopération policière bilatérale, entré en vigueur en juillet 2009, les forces de l'ordre françaises et suisses travaillent ensemble. Elles peuvent désormais poursuivre une automobile au-delà de la frontière, organiser des patrouilles mixtes, mettre en route une alarme spécifique.

              «Depuis peu, les équipes concernées communiquent directement grâce à un émetteur radio commun», relève Olivier Pecorini. Cette stratégie vise à améliorer le taux de résolution des casses commis en terre suisse par les braqueurs lyonnais, qui se situe pour le moment à 50%.


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              • #22
                @alibigoud: détrompez-vous, en Suisse ce sont surtout les Français qui sont montrés du doigt. En effet, toutes les régions frontalières suisses avec la France connaissent des problèmes mineurs alors que tel n'est pas le cas de la Suisse-allemande ni celle de la Suisse-italienne (Tessin).

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                • #23
                  rago

                  ​​​​​​​
                  détrompez-vous, en Suisse ce sont surtout les Français qui sont montrés du doigt
                  Devinez quelle sorte de Français sont montrés du doigt ?
                  Ce sont les voyous des cités sensibles qui viennent faites leurs coups en Suisse.

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                  • #24
                    En Suisse, il n'importe pas de savoir de quelle nationalité sont les délinquants venus de France: ils sont français et d'où un racisme rampant contre les ressortissants de l'Hexagone sans distinction aucune.

                    Ce racisme anti-français s'explique aussi par la conjoncture économique de Genève: les citoyens genevois accusent les frontaliers français- au nombre de 75 000- de voler le travail aux Genevois car ils (frontaliers) acceptent des rémunérations inférieurs au minimum légal (24 euros de l'heure?).

                    On va s'en arrêter là M. alibigoud et merci à vous pour l'échange.

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