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Espagne : le polisario, grand perdant de l’accord électoral entre Sanchez et l’extrême gauche 

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    Espagne : le polisario, grand perdant de l’accord électoral entre Sanchez et l’extrême gauche


    Rédigé par Anass Machloukh Mercredi
    25 Octobre 2023
    Le chef du parti socialiste, Pedro Sanchez, plus proche que jamais de former une nouvelle majorité au Parlement espagnol, a conclu un accord avec le parti d'extrême de gauche, SUMAR, l'un des fervents soutiens du polisario. Pourtant, cet accord électoral n'a fait aucune mention du front séparatiste dont le représentant en Espagne s'est senti frustré. Détails.

    Après l’échec du chef du Parti populaire, Alberto Nunez Feijoo, à former un gouvernement, faute de majorité au Cortés, son rival, le patron du Parti socialiste et actuel Premier ministre par intérim, Pedro Sanchez, est en route vers la conservation de son poste. L’actuel locataire de la Moncloa n’a jamais été si proche de succéder à lui-même en parvenant à un accord avec l’extrême gauche que représente le parti SUMAR, dirigé par l’ex-ministre du Travail, Yolanda Diaz. Celle-ci a rejoint la coalition que veut construire Sanchez en vertu d’un accord dont les détails ont été rendus publics.

    Contrairement aux attentes, Yolanda Diaz, connue pour son fervent soutien au polisario, n’a pas exigé un changement de position dans l’affaire du Sahara. C’est en tout cas ce que laisse penser l’accord électoral qui ne fait aucune mention du Sahara alors qu’il évoque la guerre en Ukraine et la cause palestinienne.

    De quoi frustrer le front séparatiste dont le représentant en Espagne, Abdullah Arabi, a fait part de sa déception dans un communiqué dans lequel il a reproché à Yolanda Diaz, avec qui il entretient une relation étroite, d'avoir raté une occasion historique.

    Cela dit, Pedro Sanchez n’a nulle intention de changer quoi que ce soit dans sa politique vis-à-vis du Maroc en dépit des pressions politiques qu’il subit aussi bien de la part de ses opposants de droite que de l’extrême gauche.

    Maintenant qu’il a convaincu SUMAR de participer à son futur gouvernement, Sanchez a le défi de rallier les indépendantistes catalans afin d’être en capacité de garantir son investiture au Parlement espagnol.

  • #2
    Réactions des mercenaires d'Alger suite à l’accord Sanchez et Sumar

    Réactions recueillies sur 3 articles publiés (en espagnol) par le site ECSaharaui, si cher a galaxy, notre polisarien de service:




    L’accord PSOE-Sumar affecte la reconnaissance de la Palestine et ne prend pas en compte le Sahara occidental.
    _______________________________

    Sumar, qui a défendu la cause sahraouie lors de la campagne électorale du 23-J, a renoncé à revendiquer la position sahraouie dans l'accord de réédition du gouvernement de coalition avec le PSOE, rapporte Francisco Carrión dans El Independiente, qui indique que le Cette question, après une législature marquée par le changement de position historique dans le conflit de l'ancienne colonie espagnole, n'apparaît même pas dans les 48 pages du document présenté ce mardi par Pedro Sánchez et Yolanda Díaz.

    Suite à cet accord et à la diffusion de la nouvelle, le délégué du Front POLISARIO en Espagne, Abdulah Arabi, a publié une déclaration énergique. "Avec la signature de l'accord susmentionné, Sumar a perdu une opportunité historique en ce qui concerne le Sahara Occidental et surtout en ce qui concerne la position de premier plan que l'Espagne devrait assumer dans la conclusion du processus de décolonisation du territoire. Un territoire dont l'Espagne continue de se préoccuper. être le pouvoir administratif malgré les tentatives répétées de se dégager unilatéralement de cette responsabilité", affirme la délégation sahraouie pour l'Espagne dans son communiqué.
    _______________________________

    Le Sahara et la position à l'égard du Maroc ne sont pas mentionnés dans la dernière des rubriques qui, sous le titre "Une Espagne ouverte sur le monde et avec sa propre voix sur la scène internationale", consacre deux pages à la politique étrangère du prochain exécutif, avec la question de savoir qui prendra la relève et si le socialiste José Manuel Albares continuera à diriger.

    Commentaire


    • #3
      Nous avons souvent répété ici qu'il ne faut jamais faire confiance aux partis politiques espagnols. Entre un voisin dont l'Espagne est le premier fournisseur et le premier client et une bande de mercenaires soutenus par un régime inaptocratique et en déliquescence, le choix est vite fait pour les espagnols. Les mercenaires d'Alger et leurs suppôts ont toujours été et seront toujours les dindons de la farce.


      Sumar falta al Derecho Internacional y a los Derechos Humanos con la causa saharaui

      Le Front POLISARIO reproche à Sumar son incohérence dans les approches qu'il a adoptées pour promouvoir l'agenda sahraoui.

      Alfonso Lafarga.-

      Madrid (ECS).- "Incohérence avec les positions soutenues par Sumar et le PSOE avec d'autres conflits internationaux et manque de respect du droit international et de la protection des droits de l'homme".

      Par ces mots, le Front POLISARIO a fait référence à l'attitude de l'organisation dirigée par Yolanda Díaz qui consiste à ne pas inclure dans l'accord du gouvernement avec les socialistes le retour à la position traditionnelle de l'Espagne sur le Sahara Occidental.

      Sumar, qui a défendu la cause sahraouie lors de la campagne électorale 23-J, a démissionné mardi 23 octobre pour revendiquer la position sahraouie dans l'accord de reconstitution du gouvernement de coalition avec le PSOE.

      La suite sur Ecsaharui

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      • #4
        Finito pour le polisario depuis des années.
        les militaires s'accrochent pour l'argent seulement

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