La coupure des télécommunications et d’internet dans la bande de Ghaza soumise à d’intenses bombardements sionistes risque de « servir de couverture à des atrocités de masse », a averti samedi l’organisation de défense des droits humains Human Rights Watch (HRW).
« Cette coupure de l’information risque de servir de couverture à des atrocités de masse et de contribuer à l’impunité des violations des droits humains », a déploré une responsable de HRW, Deborah Brown, dans un communiqué.
Pour sa part, l’Amnesty International a affirmé que l’organisation a perdu la communication avec ses employés à Ghaza.
L'ONG a souligné que " cette coupure de communication signifie qu'il sera de plus en plus difficile d'obtenir des informations et des preuves nécessaires concernant les violations des droits de l'Homme et les crimes de guerre commis contre les civils palestiniens à Ghaza, et d'entendre directement ceux qui sont victimes de ces violations ".
De son côté, le service "NetBlox", qui surveille la connexion Internet, a évoqué "l'effondrement des communications dans la bande de Ghaza".
Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA), plusieurs agences des Nations Unies ont perdu le contact avec leurs équipes à Ghaza.
Lynn Hastings, coordinatrice des affaires humanitaires d'OCHA, a expliqué que les opérations humanitaires et les activités hospitalières « ne peuvent pas continuer sans communications ».
Le Croissant-Rouge palestinien a également annoncé sur le site X (anciennement Twitter), avoir "perdu le contact avec son centre d'opérations et toutes ses unités dans la bande de Ghaza, à cause des autorités sionites qui ont coupé les communications radio, cellulaires et Internet".
Le Croissant-Rouge a ajouté que cela "affecte le numéro central d'urgence 101 et entrave l'accès des ambulances aux blessés" alors que les raids se poursuivent, exprimant sa "profonde préoccupation" quant à la capacité des médecins à continuer à fournir des soins dans ces conditions, ainsi que la sécurité de son personnel.
Pour rappel, les forces d'occupation sionistes ont poursuivi leurs bombardements aériens, maritimes et d'artillerie sur toutes les zones de la bande de Ghaza durant toute la nuit de vendredi à samedi sur des sites dans le nord de la bande de Ghaza, ciblant également spécifiquement les environs des hôpitaux d'Al-Shifa et indonésiens, dans le centre de la bande de Gaza, où les avions d'occupation ont attaqué plus de dix fois les environs de ces deux hôpitaux.
LSA
« Cette coupure de l’information risque de servir de couverture à des atrocités de masse et de contribuer à l’impunité des violations des droits humains », a déploré une responsable de HRW, Deborah Brown, dans un communiqué.
Pour sa part, l’Amnesty International a affirmé que l’organisation a perdu la communication avec ses employés à Ghaza.
L'ONG a souligné que " cette coupure de communication signifie qu'il sera de plus en plus difficile d'obtenir des informations et des preuves nécessaires concernant les violations des droits de l'Homme et les crimes de guerre commis contre les civils palestiniens à Ghaza, et d'entendre directement ceux qui sont victimes de ces violations ".
De son côté, le service "NetBlox", qui surveille la connexion Internet, a évoqué "l'effondrement des communications dans la bande de Ghaza".
Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA), plusieurs agences des Nations Unies ont perdu le contact avec leurs équipes à Ghaza.
Lynn Hastings, coordinatrice des affaires humanitaires d'OCHA, a expliqué que les opérations humanitaires et les activités hospitalières « ne peuvent pas continuer sans communications ».
Le Croissant-Rouge palestinien a également annoncé sur le site X (anciennement Twitter), avoir "perdu le contact avec son centre d'opérations et toutes ses unités dans la bande de Ghaza, à cause des autorités sionites qui ont coupé les communications radio, cellulaires et Internet".
Le Croissant-Rouge a ajouté que cela "affecte le numéro central d'urgence 101 et entrave l'accès des ambulances aux blessés" alors que les raids se poursuivent, exprimant sa "profonde préoccupation" quant à la capacité des médecins à continuer à fournir des soins dans ces conditions, ainsi que la sécurité de son personnel.
Pour rappel, les forces d'occupation sionistes ont poursuivi leurs bombardements aériens, maritimes et d'artillerie sur toutes les zones de la bande de Ghaza durant toute la nuit de vendredi à samedi sur des sites dans le nord de la bande de Ghaza, ciblant également spécifiquement les environs des hôpitaux d'Al-Shifa et indonésiens, dans le centre de la bande de Gaza, où les avions d'occupation ont attaqué plus de dix fois les environs de ces deux hôpitaux.
LSA
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