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« Nous exhortons donc Israël à arrêter. » Pendant son passage à l’antenne de la BBC, diffusé vendredi soir, Emmanuel Macron appelait Israël à cesser les bombardements tuant des civils à Gaza. L’exhortation n’a pas plu au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Ce samedi 11 novembre, l’homme politique a rétorqué, lors d’une allocution télévisée : « La responsabilité de tout tort fait aux civils incombe au Hamas », comme l’a relayé Le Parisien.
Emmanuel Macron a « fait une erreur grave sur le plan factuel et sur le plan moral », a affirmé Benjamin Netanyahou, soulignant que « ce n’est pas Israël qui empêche l’évacuation de civils, mais le Hamas », qui utilise des civils comme « boucliers humains ». Et de rappeler : « Il ne faut pas oublier qu’Israël est entré dans la guerre en raison du meurtre brutal de centaines d’Israéliens par cette organisation terroriste et la prise en otage de plus de 200 Israéliens ».
Lors d’une allocution télévisée, le Premier ministre israélien a fustigé l’appel au cessez-le-feu lancé précédemment par Emmanuel Macron, rappelant qu’il faisait « tout pour limiter les victimes ».
« Nous faisons tout pour limiter les victimes civiles »
« C’est une guerre on ne peut plus justifiée. Il faut établir une ligne morale : on ne peut pas offrir d’immunité à des terroristes », a lancé Benjamin Netanyahou. « Nous faisons tout pour limiter les victimes civiles non impliquées, mais nous ne donnerons pas au Hamas l’autorisation de tuer notre population sans qu’il y ait de riposte de notre part », a conclu le Premier ministre, ajoutant n’avoir « pas besoin de ces leçons de morale ».
D’après les chiffres du ministère de la Santé relayés par Le Parisien, plus de 11 000 personnes ont été tuées dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza, depuis le 7 octobre 2023, date du début de la guerre. L’attaque du Hamas a coûté la vie à 1 200 Israéliens. Quelque 240 personnes auraient été emmenées en otage dans la bande de Gaza.
Le JDD
Emmanuel Macron a « fait une erreur grave sur le plan factuel et sur le plan moral », a affirmé Benjamin Netanyahou, soulignant que « ce n’est pas Israël qui empêche l’évacuation de civils, mais le Hamas », qui utilise des civils comme « boucliers humains ». Et de rappeler : « Il ne faut pas oublier qu’Israël est entré dans la guerre en raison du meurtre brutal de centaines d’Israéliens par cette organisation terroriste et la prise en otage de plus de 200 Israéliens ».
Lors d’une allocution télévisée, le Premier ministre israélien a fustigé l’appel au cessez-le-feu lancé précédemment par Emmanuel Macron, rappelant qu’il faisait « tout pour limiter les victimes ».
« Nous faisons tout pour limiter les victimes civiles »
« C’est une guerre on ne peut plus justifiée. Il faut établir une ligne morale : on ne peut pas offrir d’immunité à des terroristes », a lancé Benjamin Netanyahou. « Nous faisons tout pour limiter les victimes civiles non impliquées, mais nous ne donnerons pas au Hamas l’autorisation de tuer notre population sans qu’il y ait de riposte de notre part », a conclu le Premier ministre, ajoutant n’avoir « pas besoin de ces leçons de morale ».
D’après les chiffres du ministère de la Santé relayés par Le Parisien, plus de 11 000 personnes ont été tuées dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza, depuis le 7 octobre 2023, date du début de la guerre. L’attaque du Hamas a coûté la vie à 1 200 Israéliens. Quelque 240 personnes auraient été emmenées en otage dans la bande de Gaza.
Le JDD
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