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A l'instar de son sosie israélien envers les prisonniers politiques palestiniens, la dictature marocaine est également sommée de relaxer leurs homologues sahraouis.
- L’ONU appelle le Maroc à libérer les détenus sahraouis de Gdeim Izik (titre original de l'article)
Le groupe de travail de l'ONU sur les détentions arbitraires appelle les autorités marocaines «à libérer immédiatement» les 13 sahraouis du groupe Gdim Izik, emprisonnés depuis 2010, rapporte EFE. Dans une décision non-contraignante, les experts de l'ONU ont conclu que «plusieurs violations des droits humains avaient été commises à l'encontre des 13 détenus lors des manifestations de Gdim Izik», organisées entre octobre et novembre 2010 dans le campement de fortune du même nom installé près de Laayoune.
Des conclusions qui rejoignent celles exprimées par Amnesty international en 2017. L’ONG avait notamment pointé «l'échec des autorités judiciaires marocaines à enquêter adéquatement sur les allégations de torture» déclarés par les détenus devant la Cour.
Le groupe de travail de l’ONU sur les détentions arbitraires invite aussi les autorités marocaines «à indemniser» les détenus et «qu'une enquête indépendante soit menée afin que les responsables des exactions répondent de leurs actes».
.Ya..bi (extraits)
- L’ONU appelle le Maroc à libérer les détenus sahraouis de Gdeim Izik (titre original de l'article)
Le groupe de travail de l'ONU sur les détentions arbitraires appelle les autorités marocaines «à libérer immédiatement» les 13 sahraouis du groupe Gdim Izik, emprisonnés depuis 2010, rapporte EFE. Dans une décision non-contraignante, les experts de l'ONU ont conclu que «plusieurs violations des droits humains avaient été commises à l'encontre des 13 détenus lors des manifestations de Gdim Izik», organisées entre octobre et novembre 2010 dans le campement de fortune du même nom installé près de Laayoune.
Des conclusions qui rejoignent celles exprimées par Amnesty international en 2017. L’ONG avait notamment pointé «l'échec des autorités judiciaires marocaines à enquêter adéquatement sur les allégations de torture» déclarés par les détenus devant la Cour.
Le groupe de travail de l’ONU sur les détentions arbitraires invite aussi les autorités marocaines «à indemniser» les détenus et «qu'une enquête indépendante soit menée afin que les responsables des exactions répondent de leurs actes».
.Ya..bi (extraits)
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