Cette tribune pourtant censée dans le journal le Monde s'est vue pourtant être incendiée par un article marocain stipulant au fait: " Pour ceux qui suivent l’évolution du dossier depuis toujours, l’article du « Monde » est une injure, ni plus, ni moins. Insulte à notre pays, à notre peuple, aux efforts déployés par les Nations unies, à l’Union africaine et volonté manifeste aussi de créer une inadmissible confusion dans les esprits."
A suivre le raisonnement diffus dudit article marocain qui compare l'affaire du Sahara Occidental avec celle de l'Algérie du temps de sa colonisation!
- Un collectif d’universitaires, à l’initiative de Khadija Mohsen-Finan et Jean-Pierre Sereni, appelle, dans une tribune au « Monde », les Etats européens à s’impliquer davantage dans l’affrontement entre le Maroc et l’Algérie pour éviter que le conflit ne dégénère en guerre conventionnelle.
Cinquante ans après le déclenchement d’une guerre interminable, le Sahara occidental reste une épine pour toutes les parties impliquées dans un des plus vieux conflits de décolonisation. Toutes, ou presque, sont mécontentes d’un statu quo qui perdure et que la communauté internationale a été incapable de déconstruire. Les Sahraouis n’en peuvent plus d’attendre. Le désespoir pousse certains d’entre eux à s’engager dans les batailles qui déchirent le Sahel et qu’accompagnent tous les trafics du siècle, de la drogue aux armes.
Le Monde.fr (extraits).
A suivre le raisonnement diffus dudit article marocain qui compare l'affaire du Sahara Occidental avec celle de l'Algérie du temps de sa colonisation!

- Un collectif d’universitaires, à l’initiative de Khadija Mohsen-Finan et Jean-Pierre Sereni, appelle, dans une tribune au « Monde », les Etats européens à s’impliquer davantage dans l’affrontement entre le Maroc et l’Algérie pour éviter que le conflit ne dégénère en guerre conventionnelle.
Cinquante ans après le déclenchement d’une guerre interminable, le Sahara occidental reste une épine pour toutes les parties impliquées dans un des plus vieux conflits de décolonisation. Toutes, ou presque, sont mécontentes d’un statu quo qui perdure et que la communauté internationale a été incapable de déconstruire. Les Sahraouis n’en peuvent plus d’attendre. Le désespoir pousse certains d’entre eux à s’engager dans les batailles qui déchirent le Sahel et qu’accompagnent tous les trafics du siècle, de la drogue aux armes.
Le Monde.fr (extraits).
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