Le président russe Vladimir Poutine a bien raison de se frotter les mains : il avait prédit, plusieurs mois auparavant, que les Etats-Unis et tous leurs alliés atlantistes finiront par être confrontés à la dure réalité économique et que leur « aide » massive, en armes et en matériels de guerre à l’Ukraine, va s’éteindre, petit à petit. Alors que la contre-offensive de Kiev, annoncée bruyamment par les capitales occidentales dont Washington, s’est brisée net sur les fortifications de l’armée russe, dans l’Est de l’Ukraine pressée, en outre, par d’intenses bombardements des infrastructures militaires, une autre crise a surgi au Moyen-orient, faisant craindre une escalade dont les Etats-Unis ne veulent surtout pas.
L’agression sauvage de l’entité sioniste contre la population martyre de Ghaza et la poursuite des crimes commis par les colons juifs extrémistes, partout en Cisjordanie occupée, ont mis le feu aux poudres, à tel point que plusieurs fronts sont ouverts au Liban, au Yémen et en Irak. Du coup, la fabrique américaine de missiles et d’obus, fournis en priorité à l’armée sioniste pour poursuivre ses crimes de guerre et ses crimes contre l’humanité, au vu et au su de la communauté internationale, commence à s’essouffler et leurs arsenaux multiplient les alarmes selon lesquelles les efforts ne peuvent continuer indéfiniment.
C’est une des raisons qui font que Moscou a de quoi se féliciter, surtout que les pluies de sanctions et les chantages dirigés vers de nombreux pays d’Afrique et d’Asie pour « embrasser » la cause atlantiste n’ont, en fin de compte, rien donné. Non seule2ment, le pétrole et le gaz russes continuent de faire fructifier l’économie du pays mais, plus encore, la Russie a changé son fusil d’épaule en orientant toutes ses exportations en direction de l’Asie où elle trouve, auprès de la Chine, un partenaire de choix. Pékin qui est en passe de devenir, selon les prévisions de bon nombre d’analystes, la première puissance économique mondiale a besoin, pour cela, d’étendre son rayon d’action aux pays du Caucase et en Afrique, tant ses exportations restent encore largement tributaires des approvisionnements et des consommateurs américains.
Ainsi, l’aventurisme forcené du sionisme dans une région moyen-orientale en ébullition devrait conduire à un échec cuisant du complexe occidentalo-sioniste à la fois en Palestine et en Ukraine, sachant que les Républicains, autant sinon plus sionistes que les démocrates, sont pourtant hostiles aux promesses de Joe Biden qui réclame 70 milliards de dollars au seul profit des postes avancés, en Europe de l’Est et au Moyen-Orient.
l'expression
L’agression sauvage de l’entité sioniste contre la population martyre de Ghaza et la poursuite des crimes commis par les colons juifs extrémistes, partout en Cisjordanie occupée, ont mis le feu aux poudres, à tel point que plusieurs fronts sont ouverts au Liban, au Yémen et en Irak. Du coup, la fabrique américaine de missiles et d’obus, fournis en priorité à l’armée sioniste pour poursuivre ses crimes de guerre et ses crimes contre l’humanité, au vu et au su de la communauté internationale, commence à s’essouffler et leurs arsenaux multiplient les alarmes selon lesquelles les efforts ne peuvent continuer indéfiniment.
C’est une des raisons qui font que Moscou a de quoi se féliciter, surtout que les pluies de sanctions et les chantages dirigés vers de nombreux pays d’Afrique et d’Asie pour « embrasser » la cause atlantiste n’ont, en fin de compte, rien donné. Non seule2ment, le pétrole et le gaz russes continuent de faire fructifier l’économie du pays mais, plus encore, la Russie a changé son fusil d’épaule en orientant toutes ses exportations en direction de l’Asie où elle trouve, auprès de la Chine, un partenaire de choix. Pékin qui est en passe de devenir, selon les prévisions de bon nombre d’analystes, la première puissance économique mondiale a besoin, pour cela, d’étendre son rayon d’action aux pays du Caucase et en Afrique, tant ses exportations restent encore largement tributaires des approvisionnements et des consommateurs américains.
Ainsi, l’aventurisme forcené du sionisme dans une région moyen-orientale en ébullition devrait conduire à un échec cuisant du complexe occidentalo-sioniste à la fois en Palestine et en Ukraine, sachant que les Républicains, autant sinon plus sionistes que les démocrates, sont pourtant hostiles aux promesses de Joe Biden qui réclame 70 milliards de dollars au seul profit des postes avancés, en Europe de l’Est et au Moyen-Orient.
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