Le félon Rachid M'barki se met à table et avoue être un renégat de maroquin!
- Selon des révélations faites ce jeudi par la presse française, l'ancien présentateur de BFM TV, Rachid M'barki, installé aujourd'hui au Maroc, reconnait avoir reçu des sommes d'argent en échange de la possibilité de modifier ses sujets.
De nouvelles informations concernant l'affaire Rachid M'barki en France viennent d'être révélées ce 18 janvier. Le journal français Le Parisien, réputé proche des services de police de la capitale parisienne, révèlent les détails de l'audition de l'ancien présentateur de BFM TV, dans le cadre de l'enquête ouverte sur des soupçons d'ingérence dans la chaîne de télévision, de la part de pays étrangers, comme le Maroc. Dans ce contexte, le Franco-marocain Rachid M'barki a été mis en examen « corruption passive » et « abus de confiance ».
Ainsi, apprend-on du Parisien, M'barki a reconnu avoir été payé pour diffuser des sujets orientés dans ses journaux sur BFM TV. « Il m’est arrivé de recevoir des sommes d’argent (…) Oui je reconnais les faits de corruption passive », a-t-il indiqué, comme rapporté par le quotidien français, citant ses propos lors de sa garde à vue à la brigade de répression de la délinquance économique à Paris. Ce qui contredit fortement ce qu'il a pu déclarer lors de son audition à l'Assemblée nationale. Il y avait réfuté avoir été rétribué pour des sujets ayant lien avec le royaume.
(...).
« Deux versions du prompteur ont été retrouvées sur le téléphone du lobbyiste. Dans l’une d’elles, le terme controversé « Sahara marocain » est utilisé et celui de « Sahara occidental », plus couramment utilisé, supprimé. C’est bien la première version qui sera lue à l’antenne par M’Barki », écrit Le Parisien.
Le Desk.ma (extraits)
- Selon des révélations faites ce jeudi par la presse française, l'ancien présentateur de BFM TV, Rachid M'barki, installé aujourd'hui au Maroc, reconnait avoir reçu des sommes d'argent en échange de la possibilité de modifier ses sujets.
De nouvelles informations concernant l'affaire Rachid M'barki en France viennent d'être révélées ce 18 janvier. Le journal français Le Parisien, réputé proche des services de police de la capitale parisienne, révèlent les détails de l'audition de l'ancien présentateur de BFM TV, dans le cadre de l'enquête ouverte sur des soupçons d'ingérence dans la chaîne de télévision, de la part de pays étrangers, comme le Maroc. Dans ce contexte, le Franco-marocain Rachid M'barki a été mis en examen « corruption passive » et « abus de confiance ».
Ainsi, apprend-on du Parisien, M'barki a reconnu avoir été payé pour diffuser des sujets orientés dans ses journaux sur BFM TV. « Il m’est arrivé de recevoir des sommes d’argent (…) Oui je reconnais les faits de corruption passive », a-t-il indiqué, comme rapporté par le quotidien français, citant ses propos lors de sa garde à vue à la brigade de répression de la délinquance économique à Paris. Ce qui contredit fortement ce qu'il a pu déclarer lors de son audition à l'Assemblée nationale. Il y avait réfuté avoir été rétribué pour des sujets ayant lien avec le royaume.
(...).
« Deux versions du prompteur ont été retrouvées sur le téléphone du lobbyiste. Dans l’une d’elles, le terme controversé « Sahara marocain » est utilisé et celui de « Sahara occidental », plus couramment utilisé, supprimé. C’est bien la première version qui sera lue à l’antenne par M’Barki », écrit Le Parisien.
Le Desk.ma (extraits)
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