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Pas étonnant donc que ces pauvres femmes marocaines préfèrent s'exiler en Espagne et rejoindre leurs 30'000 compatriotes qui pratiquent le plus vieux métier du monde.
Lamentable!
- Par moments, des travailleuses agricoles culbutent, par-dessus des pickup bondés à craquer, à la province de Chtouka Ait Baha. Des ouvrières entassées pareil au «cheptel», parsemées sur la chaussée, dégagent un spectacle bien désolant.
Ces drames répétitifs survenus dans cette région, interpelle vivement les autorités compétentes, censées imposer les dispositions sécuritaires idoines aux compagnies agricoles dont regorge cette zone réputée pour la qualité de l’agriculture d’exportation de choix. Les opérateurs de ces entreprises ne prêtent aucun intérêt aux ouvrières qui sont embauchées par centaines pour le traitement des produits agricoles à des prix dérisoires.
Une fois qu’elles finissent leur corvée crevante, elles regagnent leurs masures, encombrées dans des engins, en piteux état.
Al Bayane (extraits)
Lamentable!
- Par moments, des travailleuses agricoles culbutent, par-dessus des pickup bondés à craquer, à la province de Chtouka Ait Baha. Des ouvrières entassées pareil au «cheptel», parsemées sur la chaussée, dégagent un spectacle bien désolant.
Ces drames répétitifs survenus dans cette région, interpelle vivement les autorités compétentes, censées imposer les dispositions sécuritaires idoines aux compagnies agricoles dont regorge cette zone réputée pour la qualité de l’agriculture d’exportation de choix. Les opérateurs de ces entreprises ne prêtent aucun intérêt aux ouvrières qui sont embauchées par centaines pour le traitement des produits agricoles à des prix dérisoires.
Une fois qu’elles finissent leur corvée crevante, elles regagnent leurs masures, encombrées dans des engins, en piteux état.
Al Bayane (extraits)