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Etonnante argumentation pour justifier l'interdiction des manifestations prévues aujourd'hui pour la commémoration de la Guerre d'Algérie et la rébellion de l'Hirak.
Votre avis est le bienvenu.
- Le préfet de police a interdit les manifestations prévues dimanche à Paris pour la journée du Chahid, dédiée aux combattants algériens morts lors de la guerre d'Algérie, et en lien avec le Hirak, mouvement de contestation du pouvoir algérien, pour risques de troubles à l'ordre public.
« En raison de risques de troubles graves à l’ordre public, le préfet de police interdit l’ensemble des manifestations prévues demain dimanche 18 février en commémoration du Chahid d’une part et en lien avec le Hirak d’autre part », a fait savoir, samedi 17 février, la Préfecture de police de Paris.
Un rassemblement à 14 heures, place de la Nation à Paris, était prévu à l’appel d’un collectif pour commémorer la journée nationale du Chahid (« le martyr »), qui rend hommage aux combattants algériens morts au cours de la guerre d’Algérie (1954-1962) qui a mené à l’indépendance du pays.
Dimanche marque également le cinquième anniversaire du Hirak, mouvement de contestation populaire pour s’opposer en 2019 à l’élection pour un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, poussé à démissionner. Des rassemblements étaient prévus dans la capitale à cette occasion.
Le monde.fr
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- Le préfet de police a interdit les manifestations prévues dimanche à Paris pour la journée du Chahid, dédiée aux combattants algériens morts lors de la guerre d'Algérie, et en lien avec le Hirak, mouvement de contestation du pouvoir algérien, pour risques de troubles à l'ordre public.
« En raison de risques de troubles graves à l’ordre public, le préfet de police interdit l’ensemble des manifestations prévues demain dimanche 18 février en commémoration du Chahid d’une part et en lien avec le Hirak d’autre part », a fait savoir, samedi 17 février, la Préfecture de police de Paris.
Un rassemblement à 14 heures, place de la Nation à Paris, était prévu à l’appel d’un collectif pour commémorer la journée nationale du Chahid (« le martyr »), qui rend hommage aux combattants algériens morts au cours de la guerre d’Algérie (1954-1962) qui a mené à l’indépendance du pays.
Dimanche marque également le cinquième anniversaire du Hirak, mouvement de contestation populaire pour s’opposer en 2019 à l’élection pour un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, poussé à démissionner. Des rassemblements étaient prévus dans la capitale à cette occasion.
Le monde.fr
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