Pas étonnant que face au déclin économique de la dictature marocaine, on s'assiste à une recrudescence sans précédent d'exilés marocains en territoires espagnols d'Afrique du Nord.
- Mais le plus négatif dans cette poussée inflationniste, relève Oxfam Maroc, c’est qu’elle a touché surtout les ménages pauvres, vulnérables et ruraux. Et c’est justement, poursuit-elle, à cause de cette crise inflationniste que 3,2 millions de personnes supplémentaires se sont retrouvées en dessous du seuil de pauvreté, ramenant ce dernier au niveau enregistré en 2014.
«Ainsi, 8 ans de lutte contre la pauvreté se sont ainsi évaporés, et les résultats pourraient être encore pires si des subventions (…) n’avaient pas été mises en place par le gouvernement», note-t-elle. Celles-ci, rappelle-t-elle, sont de l’ordre de 42 milliards de dirhams pour le gaz butane, le sucre et la farine, de 5 milliards de dirhams pour l’ONEE, et 4,4 milliards de dirhams pour les professionnels du secteur des transports.
Le 360.ma (extraits)
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