Le procureur du Roi près le tribunal de première instance de Ksar El Kébir a décidé de poursuivre le YouTuber Mohamed Daghay, aujourd’hui jeudi, en état d’arrestation et de le déférer devant une audience immédiate.
Des sources de Hespress ont rapporté que le procureur du Roi a rejeté la demande de libération provisoire présentée par la défense du détenu, et a fixé la date de la prochaine audience au jeudi 29 février en cours.
La police judiciaire de Ksar El Kébir avait arrêté le YouTuber Mohamed Daghay, mardi dernier, suite à plusieurs plaintes de la part de certaines institutions pénitentiaires au Maroc, ainsi que la plainte du député du Parti de l’Authenticité et de la Modernité, Aziz El Bouhssini, accusant Daghay de diffamation
Cette série d’arrestations de YouTubers, avec Réda en exemple, poursuivi par le ministre de la Justice Ouahbi pour diffamation et condamné à deux ans de prison avec une amende de 20 000 dirhams, soulève des préoccupations majeures quant à la liberté d’expression au Maroc. Ces incidents mettent en évidence les tensions entre les médias sociaux, le pouvoir judiciaire et les autorités politiques. Ils appellent à une réflexion approfondie sur les limites de la critique et le respect des droits fondamentaux, tout en rappelant l’importance de la préservation de la liberté d’expression comme pilier essentiel de toute société démocratique.
ACTU MAROC
Des sources de Hespress ont rapporté que le procureur du Roi a rejeté la demande de libération provisoire présentée par la défense du détenu, et a fixé la date de la prochaine audience au jeudi 29 février en cours.
La police judiciaire de Ksar El Kébir avait arrêté le YouTuber Mohamed Daghay, mardi dernier, suite à plusieurs plaintes de la part de certaines institutions pénitentiaires au Maroc, ainsi que la plainte du député du Parti de l’Authenticité et de la Modernité, Aziz El Bouhssini, accusant Daghay de diffamation
Cette série d’arrestations de YouTubers, avec Réda en exemple, poursuivi par le ministre de la Justice Ouahbi pour diffamation et condamné à deux ans de prison avec une amende de 20 000 dirhams, soulève des préoccupations majeures quant à la liberté d’expression au Maroc. Ces incidents mettent en évidence les tensions entre les médias sociaux, le pouvoir judiciaire et les autorités politiques. Ils appellent à une réflexion approfondie sur les limites de la critique et le respect des droits fondamentaux, tout en rappelant l’importance de la préservation de la liberté d’expression comme pilier essentiel de toute société démocratique.
ACTU MAROC
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