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La junte militaire poursuit ses attaques contre l’Algérie

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  • La junte militaire poursuit ses attaques contre l’Algérie

    La junte militaire poursuit ses attaques contre l’Algérie


    Par TSA

    La junte militaire au pouvoir à Bamako poursuit leur politique belliqueuse à l’égard de l’Algérie. Dans un discours prononcé lundi 26 février, le chef du gouvernement de transition, Choguel Kokalla Maïga, a réitéré ses accusations contre l’Algérie, dont il a décrété la fin de son rôle de médiateur. Après plusieurs semaines de tensions, Bamako ne change pas de ton et ne semble pas chercher l’apaisement.

    Alger et Bamako sont en crise depuis plusieurs semaines suite à des accusations des autorités maliennes à l’encontre de l’Algérie, ponctuée par la révocation de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger.

    Dans un long discours devant « les forces vives de la nation », le Premier ministre Maïga a consacré une large partie à la révocation de l’accord d’Alger et à ce qu’il a qualifié de « tensions diplomatiques » avec l’Algérie.

    Concernant l’accord de 2015 signé sous l’égide de l’Algérie, Maïga a réitéré qu’il s’est avéré, « après un lourd et long investissement politique et financier et une patience qui a duré 9 ans », qu’il était inapplicable. En le déclarant caduc, le gouvernement a pris « une décision responsable, mûrement réfléchie et hautement patriotique », a-t-il défendu.

    Il a mis en avant « la mauvaise foi manifeste des mouvements signataires » qui, selon lui, « se sont écartés de l’esprit de l’accord depuis longtemps » et n’ont cessé de poser des « obstacles » qui ont rendu sa mise en œuvre « quasi impossible ».

    Mali : la junte poursuit sa politique hostile à l’égard de l’Algérie

    Maïga a aussi accusé les forces internationales présentes dans le cadre de la Minusma d’avoir « passé des armes lourdes et des blindés » aux terroristes avant de quitter les emprises qu’elles occupaient. Il s’agit d’une trahison à l’égard du Mali qui « a placé une confiance aveugle en la communauté internationale ».

    La révocation de l’accord d’Alger est, selon lui, « la suite logique du manque de résultats de la médiation internationale conduite par l’Algérie ».

    Il enchaîne ensuite sur les « récentes tensions diplomatiques avec l’Algérie », qui sont « la conséquence d’une série d’actes hostiles et inamicaux », selon lui.

    Maïga a cité la réception « au plus haut sommet de l’Etat algérien » du guide de la zaouia Kountia, Cheikh Mohamed Dicko et l’existence sur le territoire algérien de bureaux de représentation de certains groupes signataires.

    Il a aussi accusé l’Algérie d’avoir voulu maintenir le régime des sanctions de l’ONU contre le Mali au cours du dernier sommet du mouvement des Non-alignés en Ouganda. Alors que, a-t-il dit, le Mali a demandé et obtenu de l’ONU la fin du régime des sanctions grâce au veto de la Russie qu’il a qualifié de « partenaire stratégique ».

    « L’Algérie est sortie de son rôle de médiateur », a-t-il décrété. « Nous allons continuer à le rappeler aussi longtemps que c’est nécessaire », a clamé le Premier ministre malien.

  • #2
    L’ANP exécute l’exercice « Tempête du Hoggar » à la frontière avec le Mali

    Commentaire


    • #3

      L’Algérie déclarée non grata au Mali par le chef du gouvernement de Bamako


      Le Premier ministre malien, Choguel Kokalla

      La crise algéro-malienne est montée d’un cran en ce début de semaine. Le chef du gouvernement de Bamako, Choguel Kokalla Maïga, a ainsi déclaré que l’Algérie est définitivement dessaisie de son rôle dans la médiation inter-malienne. Cette insistance sur la mise à l’écart de l’Algérie intervient suite à de nouveaux actes inamicaux, commis entre dimanche et mardi derniers, à travers lesquels le régime algérien tente d’intimider son voisin du sud.

      Le 28/02/2024 à 20h23La réaction malienne ne s’est pas fait attendre suite à la nouvelle provocation du président algérien Abdelmadjid Tebboune, qui a accueilli dimanche dernier l’opposant malien, l’imam Mahmoud Dicko, lors de l’inauguration de la grande mosquée d’Alger, douze ans après le lancement de sa construction par feu Abdelaziz Bouteflika.

      C’est cette nouvelle rencontre inopportune entre le président algérien et l’opposant et religieux malien, que les autorités de Bamako ont privé de son passeport diplomatique tout en lui laissant la liberté de mouvement et d’expression, qui serait derrière le discours virulent à l’égard d’Alger prononcé lundi soir par le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga, devant un parterre de représentants de partis politiques maliens et membres de la société civile.

      Le chef du gouvernement malien a ainsi déclaré irrévocable la décision de Bamako de mettre fin à l’Accord d’Alger, dont la caducité est «la suite logique du manque de résultats de la médiation internationale conduite par l’Algérie».

      Il a aussi rappelé les «récentes tensions diplomatiques avec l’Algérie» qui sont intervenues, selon lui, suite à «une série d’actes hostiles et inamicaux», dont l’accueil à bras ouverts par Alger des rebelles touaregs du nord du Mali, tout en citant en particulier la réception à la Mouradia de l’imam et opposant au gouvernement de transition malien, Mahmoud Dicko, reçu par Abdelmadjid Tebboune en présence de son directeur de cabinet et du chef des renseignements extérieurs algériens, le général-major Djebbar M’Henna.

      Mais c’est la seconde réception, en moins de deux mois, de Mahmoud Dicko par le président algérien, dimanche dernier à la grande mosquée d’Alger, qui a ravivé la colère des autorités maliennes.

      Choguel Maïga a aussi rappelé au régime algérien ses manœuvres malsaines contre le Mali lors du dernier sommet du Mouvement des non-alignés à Kampala (Ouganda), où Alger a exigé, discrètement mais résolument, de maintenir les sanctions onusiennes contre le Mali. Le chef du gouvernement malien a ainsi déclaré à la face des Algériens que c’est grâce au veto de la Russie, qu’il a qualifiée de «partenaire stratégique», que l’ONU a été empêchée de reconduire les sanctions contre Bamako.

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      • #4
        ça se corse au Sud ! Avec les drones maliens, je pense que ses frontieres vont etre nettoyées et sécurisées bientot..
        "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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        • #5
          La junte militaire poursuit ses attaques contre l’Algérie
          Dixit la démocratie

          La France a été humiliée au Sahel et doit agir via son proxy .
          ان شعباً يحكمه الأموات، لا يمكنه ان يعرف معني الحرية
          Un peuple gouverné par les morts ne peut pas connaitre le sens de la liberté.

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          • #6
            La junte militaire poursuit ses attaques contre l’Algérie
            C’est toujours drôle de désigner son voisin de junte militaire quand il n’y a pas si longtemps.

            Ces même généraux dz avaient une certaine retenue de language à l’égard de leurs collègues maliens durant le coup d’etat.

            Mais

            ils avaient jamais parié que ce nouveau colonel alla tout chambouler

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            • #7
              L’ANP exécute l’exercice « Tempête du Hoggar » à la frontière avec le Mali
              Un signal fort envoyé à la junte.

              La gentillesse de l'Algérie n'a que trop duré.

              Alger doit nettoyer au karcher cette junte militaire du Mali et libérer le peuple malien. l'ANP peut faire le job en 48 heures.

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              • #8
                Alger doit nettoyer au karcher cette junte militaire du Mali et libérer le peuple malien. l'ANP peut faire le job en 48 heures.
                La junte militaire doit nettoyer au karcher les chaines de tous les jours du zawali Algérien
                ان شعباً يحكمه الأموات، لا يمكنه ان يعرف معني الحرية
                Un peuple gouverné par les morts ne peut pas connaitre le sens de la liberté.

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                • #9
                  Alger doit nettoyer au karcher cette junte militaire du Mali et libérer le peuple malien. l'ANP peut faire le job en 48 heures.
                  Notre gendarmerie suffit.
                  Pas besoin d'envoyer l'armée.
                  J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                  • #10
                    Et le libre échange qu’est-ce qu’il devient ?

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                    • #11
                      Il a aussi rappelé les «récentes tensions diplomatiques avec l’Algérie» qui sont intervenues, selon lui, suite à «une série d’actes hostiles et inamicaux», dont l’accueil à bras ouverts par Alger des rebelles touaregs du nord du Mali, tout en citant en particulier la réception à la Mouradia de l’imam et opposant au gouvernement de transition malien, Mahmoud Dicko, reçu par Abdelmadjid Tebboune en présence de son directeur de cabinet et du chef des renseignements extérieurs algériens, le général-major Djebbar M’Henna.

                      Mais c’est la seconde réception, en moins de deux mois, de Mahmoud Dicko par le président algérien, dimanche dernier à la grande mosquée d’Alger, qui a ravivé la colère des autorités maliennes.

                      Choguel Maïga a aussi rappelé au régime algérien ses manœuvres malsaines contre le Mali lors du dernier sommet du Mouvement des non-alignés à Kampala (Ouganda), où Alger a exigé, discrètement mais résolument, de maintenir les sanctions onusiennes contre le Mali. Le chef du gouvernement malien a ainsi déclaré à la face des Algériens que c’est grâce au veto de la Russie, qu’il a qualifiée de «partenaire stratégique», que l’ONU a été empêchée de reconduire les sanctions contre Bamako.

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