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Une vidéo montre sur les réseaux sociaux de quelle manière le Parti National Rifain (PNR) vient d’ouvrir une représentation en Algérie. Cet évènement est loin d’être étonnant, sachant qu’Alger a de tout temps été qualifiée de « Mecque des révolutionnaires », et plus encore sous le règne de la nouvelle Algérie, en train de renouer avec ses nobles traditions de soutien aux combats libérateurs des peuples opprimés, dont ceux de Palestine, du Sahara Occidental et du Rif, dont les militants sont traqués et pourchassés partout dans le royaume chérifien.
Les républicains du Maroc se battent contre le régime prédateur du Makhzen et sa monarchie corrompue jusqu’à la moelle depuis des dizaines d’années. Plus précisément depuis l’homérique combat des républicains du Rif, menés par Abdelkrim El Khettabi. Décédé le 6 février 1963. Ce héros a laissé derrière lui de dignes descendants, menés par Nacer Zefzafi, leader du hirak rifain apparu durant la période dite des « printemps arabes ». Ce dernier, lourdement condamné par une justice aux ordres, croupit en prison depuis 2017, années de son arrestation.
Il est sauvagement torturé par les sbires d’Abdellatif Hammouchi, et lourdement condamné avec une quarantaine d’autres militants on se souvient que ces émeutes avaient éclaté au Maroc lorsqu’un pauvre malheureux avait été broyé par une benne à ordures, où il était entré chercher des poissons qu’il vendait à la sauvette, saisis et jetés par les policiers de ce même Hammouchi.
Ce sont par la suite les islamistes du PJD qui ont permis de sauver le régime du Makhzen en lui accordant une sorte de sursis exceptionnel. Ce dernier a immédiatement été remis en cause par Mohamed VI et ses fausses réformes, aggravées par son deal du siècle, dont la conclusion fait honte à tous les sujets marocains depuis qu’a commencé le génocide israélien contre les femmes et les enfants de Palestine à Gaza.
Le PNR a déjà ouvert une représentation en Afrique du Sud. Ce soutien honore grandement la patrie de Nelson Mandela,, déjà à l’origine d’une historique plainte contre Israël au CIJ (Cour Internationale de Justice), pour génocide. Les « diplomates et barbouzes » marocains avaient déjà maintes fois franchi le Rubicon à propos de l’Algérie. D’abord durant la décennie 1990, les sanguinaires du GIA étaient armés, financés et protégés par Hassan II, qui disait publiquement vouloir faire de l’Algérie un « laboratoire à ciel ouvert.
Par la suite, c’est le voyou notoire Omar Hilal, représentant du Makhzen à l’ONU, qui a fait circuler une motion de soutien aux terroristes du MAK, à l’origine des incendies meurtriers de Kabylie de l’été 2022, et qui continuent de tenter d’acheminer des armes vers l’Algérie afin d’y installer des maquis terroristes. Le PNR est quant à lui un parti démocratique, républicain et digne de respect, qui se bat contre le régime féodal, corrompu et moyenâgeux de Mohamed VI, dont la trahison de la cause palestinienne accélère l’imminence de la chute. A côté des détenus politique du PNR, il y a des centaines de Sahraouis qui croupissent aussi dans les geôles de Mohamed VI, dont les plus emblématiques sont les prisonniers politiques de Gdeim Izik, et leur leader charismatique Naama Asfari, dont nous avons déjà maintes fois parlé.
Patrie News
Les républicains du Maroc se battent contre le régime prédateur du Makhzen et sa monarchie corrompue jusqu’à la moelle depuis des dizaines d’années. Plus précisément depuis l’homérique combat des républicains du Rif, menés par Abdelkrim El Khettabi. Décédé le 6 février 1963. Ce héros a laissé derrière lui de dignes descendants, menés par Nacer Zefzafi, leader du hirak rifain apparu durant la période dite des « printemps arabes ». Ce dernier, lourdement condamné par une justice aux ordres, croupit en prison depuis 2017, années de son arrestation.
Il est sauvagement torturé par les sbires d’Abdellatif Hammouchi, et lourdement condamné avec une quarantaine d’autres militants on se souvient que ces émeutes avaient éclaté au Maroc lorsqu’un pauvre malheureux avait été broyé par une benne à ordures, où il était entré chercher des poissons qu’il vendait à la sauvette, saisis et jetés par les policiers de ce même Hammouchi.
Ce sont par la suite les islamistes du PJD qui ont permis de sauver le régime du Makhzen en lui accordant une sorte de sursis exceptionnel. Ce dernier a immédiatement été remis en cause par Mohamed VI et ses fausses réformes, aggravées par son deal du siècle, dont la conclusion fait honte à tous les sujets marocains depuis qu’a commencé le génocide israélien contre les femmes et les enfants de Palestine à Gaza.
Le PNR a déjà ouvert une représentation en Afrique du Sud. Ce soutien honore grandement la patrie de Nelson Mandela,, déjà à l’origine d’une historique plainte contre Israël au CIJ (Cour Internationale de Justice), pour génocide. Les « diplomates et barbouzes » marocains avaient déjà maintes fois franchi le Rubicon à propos de l’Algérie. D’abord durant la décennie 1990, les sanguinaires du GIA étaient armés, financés et protégés par Hassan II, qui disait publiquement vouloir faire de l’Algérie un « laboratoire à ciel ouvert.
Par la suite, c’est le voyou notoire Omar Hilal, représentant du Makhzen à l’ONU, qui a fait circuler une motion de soutien aux terroristes du MAK, à l’origine des incendies meurtriers de Kabylie de l’été 2022, et qui continuent de tenter d’acheminer des armes vers l’Algérie afin d’y installer des maquis terroristes. Le PNR est quant à lui un parti démocratique, républicain et digne de respect, qui se bat contre le régime féodal, corrompu et moyenâgeux de Mohamed VI, dont la trahison de la cause palestinienne accélère l’imminence de la chute. A côté des détenus politique du PNR, il y a des centaines de Sahraouis qui croupissent aussi dans les geôles de Mohamed VI, dont les plus emblématiques sont les prisonniers politiques de Gdeim Izik, et leur leader charismatique Naama Asfari, dont nous avons déjà maintes fois parlé.
Patrie News
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