L’armée d’occupation israélienne vient de commettre un second massacre commis lors d’une distribution de nourritures d’urgences à une population en train de mourir de faim. La répétition de ces massacres met à nu le caractère sadique de cette armée sanguinaire et génocidaire, qualifiée de « la plus morale du monde » par son chef. Toujours est-il que le ministère local de la santé de Gaza a affirmé, vendredi, que 20 personnes au moins ont été tuées et 155 blessés dans une attaque qu’il attribue à l’armée d’occupation israélienne. Le démenti de cette armée n’est pas à prendre au sérieux. Elle a e effet été maintes dois confondue par ses grossiers mensonges.
« Les forces d’occupation israéliennes ont pris pour cible un rassemblement de citoyens attendant de l’aide humanitaire [à un rond-point de Gaza City]. Le bilan des victimes transportées à l’hôpital Al-Shifa a été revu à la hausse à 20 morts et 155 blessés », a pour sa part déclaré le ministère de la santé de la bande de Gaza. Sur place, à l’hôpital, un collaborateur de l’Agence France-Presse a vu de nombreuses ambulances transporter des cadavres et des blessés par balle.
Fin février, plus d’une centaine de personnes avaient perdu la vie, selon de nombreux témoignages recoupées, dans une distribution d’aide alimentaire qui avait tourné au cauchemar dans le nord de la bande de Gaza où les forces israéliennes avaient reconnu avoir ouvert le feu sur des Palestiniens affamées, désarmés plus morts que vifs. Ces crimes de mase sadiques commis lors de distributions alimentaires d’urgence ont ainsi tendance à se répéter face au silence lâche et complice de la communauté internationale.
Maroccomail
« Les forces d’occupation israéliennes ont pris pour cible un rassemblement de citoyens attendant de l’aide humanitaire [à un rond-point de Gaza City]. Le bilan des victimes transportées à l’hôpital Al-Shifa a été revu à la hausse à 20 morts et 155 blessés », a pour sa part déclaré le ministère de la santé de la bande de Gaza. Sur place, à l’hôpital, un collaborateur de l’Agence France-Presse a vu de nombreuses ambulances transporter des cadavres et des blessés par balle.
Fin février, plus d’une centaine de personnes avaient perdu la vie, selon de nombreux témoignages recoupées, dans une distribution d’aide alimentaire qui avait tourné au cauchemar dans le nord de la bande de Gaza où les forces israéliennes avaient reconnu avoir ouvert le feu sur des Palestiniens affamées, désarmés plus morts que vifs. Ces crimes de mase sadiques commis lors de distributions alimentaires d’urgence ont ainsi tendance à se répéter face au silence lâche et complice de la communauté internationale.
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