S'il y a un scénario qui a fait couler bcp d'encre dans la région maghreb, c'est la visite tant attendue de Mr Teboune à Paris. En effet, après plusieurs visites officielles des membres de l'exécutif français et celles du président Macron ; après plusieurs reports de visites attendues des officiels Algériens à Paris, on s'achemine enfin vers une éclaircie diplomatique tant espérée.
Et pour rendre à César ce qui appartient à César, c'est Emmanuel Macron qui s'est mis d'accord dans une communication téléphonique avec Abdelmajid Teboune sur le principe d'une visite qui interviendrait à Paris peu de temps avant la présidentielle censée se dérouler dans le courant du mois de décembre à Alger. Cette info sera par la suite rapidement publiée par l'Elysée comme pour graver dans le marbre l'accord de principe et le rendre officiel après moult tergiversations et plusieurs annulations.
Mais à peine une semaine après que cette information ait été divulguée, Mr Teboune prend une initiative surprenante et complètement iconoclaste, en déclarant sans aucune explication, dans un communiqué officiel, l'organisation d'une élection présidentielle anticipée en Algérie. En agissant de cette manière le président Algérien sème le doute sur le bilan de son mandat qu'il a pourtant ostensiblement vanté devant les élus de la nation quelque temps auparavant.
Résultat des courses, les Algériens dont l'opinion n'est pas très importante pour le pouvoir d'Alger ne savent plus sur quel pied danser et ce n'est pas les communiqués de l'APS ou les éditoriaux de El Djeïch qui vont les aider à vour clair car ces organes de l'État profond Algérien ont perdu tout crédit depuis longtemps.
Il reste alors une solution simple et efficace qui consiste à promouvoir de vraies candidatures alternatives de femmes et hommes politiques Algériens pouvant apporter du sans neuf et renouveler des méthodes de travail devenues insupportables pour la majorité des citoyens car les Algériens refusent le côté bipolaire de Teboune qui fait constamment une chose et son contraire et qui parle sans être conscient de ce qu'il dit. L'exemple de cette communication téléphonique avec le Président Macron en est le dernier avatar.
Reste à savoir s'il existe encore une coalition dans ce pays capable de prendre à bras le corps les problèmes de manque de cohérence dans lesquels est tombé le pouvoir ? L'avenir proche nous le dira.
Et pour rendre à César ce qui appartient à César, c'est Emmanuel Macron qui s'est mis d'accord dans une communication téléphonique avec Abdelmajid Teboune sur le principe d'une visite qui interviendrait à Paris peu de temps avant la présidentielle censée se dérouler dans le courant du mois de décembre à Alger. Cette info sera par la suite rapidement publiée par l'Elysée comme pour graver dans le marbre l'accord de principe et le rendre officiel après moult tergiversations et plusieurs annulations.
Mais à peine une semaine après que cette information ait été divulguée, Mr Teboune prend une initiative surprenante et complètement iconoclaste, en déclarant sans aucune explication, dans un communiqué officiel, l'organisation d'une élection présidentielle anticipée en Algérie. En agissant de cette manière le président Algérien sème le doute sur le bilan de son mandat qu'il a pourtant ostensiblement vanté devant les élus de la nation quelque temps auparavant.
Résultat des courses, les Algériens dont l'opinion n'est pas très importante pour le pouvoir d'Alger ne savent plus sur quel pied danser et ce n'est pas les communiqués de l'APS ou les éditoriaux de El Djeïch qui vont les aider à vour clair car ces organes de l'État profond Algérien ont perdu tout crédit depuis longtemps.
Il reste alors une solution simple et efficace qui consiste à promouvoir de vraies candidatures alternatives de femmes et hommes politiques Algériens pouvant apporter du sans neuf et renouveler des méthodes de travail devenues insupportables pour la majorité des citoyens car les Algériens refusent le côté bipolaire de Teboune qui fait constamment une chose et son contraire et qui parle sans être conscient de ce qu'il dit. L'exemple de cette communication téléphonique avec le Président Macron en est le dernier avatar.
Reste à savoir s'il existe encore une coalition dans ce pays capable de prendre à bras le corps les problèmes de manque de cohérence dans lesquels est tombé le pouvoir ? L'avenir proche nous le dira.
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