mediapart
L’armée israélienne a ordonné à une partie des habitants de Rafah de quitter la zone. Cet acte premier d’une offensive terrestre a provoqué panique, inquiétude et indignation. Le Hamas, de son côté, a annoncé qu’il acceptait un accord sur l’échange de prisonniers et une trêve.
Gwenaelle Lenoir
6 mai 2024 à 20h44
RafahRafah aujourd’hui est un cas d’école de double réalité. D’un côté, les éléments de langage de l’armée israélienne parlent d’« évacuation », de « zone humanitaire », de « déplacement progressif », et annonce que « les appels à se rendre temporairement dans la zone humanitaire seront diffusés par flyers, SMS, appels téléphoniques et émissions de langue arabe ». Bref, à en croire les communiqués, c’est quasiment un exercice, bien organisé et bien ordonné. Il suffit de suivre les conseils et tout ira bien.
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L’armée israélienne a ordonné à une partie des habitants de Rafah de quitter la zone. Cet acte premier d’une offensive terrestre a provoqué panique, inquiétude et indignation. Le Hamas, de son côté, a annoncé qu’il acceptait un accord sur l’échange de prisonniers et une trêve.
Gwenaelle Lenoir
6 mai 2024 à 20h44
RafahRafah aujourd’hui est un cas d’école de double réalité. D’un côté, les éléments de langage de l’armée israélienne parlent d’« évacuation », de « zone humanitaire », de « déplacement progressif », et annonce que « les appels à se rendre temporairement dans la zone humanitaire seront diffusés par flyers, SMS, appels téléphoniques et émissions de langue arabe ». Bref, à en croire les communiqués, c’est quasiment un exercice, bien organisé et bien ordonné. Il suffit de suivre les conseils et tout ira bien.
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