
Sur fond de massacres de masse commis à Gaza par les néonazis israéliens, la France officielle g=fait mine de protester mollement, mais sans jamais oser franchir le pas des sanctions en sa qualité de membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU.
Pis encore, si Paris prétend avoir suspendu jusqu’à nouvel ordre l’ensemble de ses échanges militaires avec l’armée d’occupation israélienne, il n’en est rien en réalité.
Dans le plus secret les armées de ces deux pays continuent de développer un vaste projet dénommé « Scorpion », relatif une forme très avance de guerres de quatrième génération. Il est vrai qu’en matière de calculs et de connexions informatiques Tel-Aviv a développé un savoir-faire qui s’est déjà matérialisé dans son « Dôme de Fer » et son logiciel espion Pegasus.
Selon des indiscrétions recoupées et dignes de foi, le projet Scorpion consiste en la mise en place d’une sorte de commandement intelligent et unifié, en liaison avec l’ensemble des engins sur le terrain, afin d’en optimiser le rendement en temps réel.
« Dans des zones à risque, le Nigéria, l’Afrique des lacs, le Zimbabwe, le Malawi, Israël a pris les marchés. Les industriels français, en particulier Thales et Safran, sont divisés, alors que les Israéliens sont très soudés ». « Au cœur de la guerre du futur, explique une spécialiste, on trouve un soldat plus léger, car il porte aujourd’hui jusqu’à 38 kilos, contre 40 pendant la guerre de 1914-1918.
La marge de progrès est encore énorme. À terme, il n’aura plus qu’un écran GPS, son arme et sa gourde. Il sera piloté par une interface et assisté par des drones pour une vision large et des robots-mules chargés d’acheminer les charges lourdes et éventuellement d’évacuer les blessés ».
Les informations dont disposera le soldat sur son navigateur GPS via Scorpion sont donc déterminantes, et la mise au point de l’interface est au cœur de la coopération secrète franco-israélienne.
« L’idée centrale de Scorpion, c’est la guerre sans bruit, et si possible d’éviter la guerre du sang, c’est-à-dire d’avoir le moins possible de soldats tués, poursuit-elle. Scorpion organise l’interopérabilité entre un char, un bateau, une moto, un drone, un robot, un soldat au sol.
C’est un programme très important, auquel participent tous les grands industriels français de l’armement, mais aussi l’Israélien Elbit, qui a acquis une grande expérience dans les systèmes autonomes ». En théorie, ce genre de projets ont de quoi enthousiasmer s’ils sont utilisés à bon escient, ou faire carrément peur dans le sens contraire.
Mais, quand on voit le fiasco de l’armée d’occupation israélienne à Gaza, et commet les missiles du Hezbollah transpercent le dispositif sophistiqué Dôme de Fer, on en arrive à conclure que toute cette technologie de pointe s’avère quasi-inutile entre des mains de personnes dénuées de convictions ou de morale.
Les gens qui se battent, même à mains nues, pour leurs idées et idéaux, finissent par triompher, y compris face aux armées les mieux équipées et les plus modernes du monde. Cette leçon d’histoire nous est gracieusement administrée par notre guerre de libération nationale, et par les combats homériques pour leur indépendance des peuples sahraoui et palestinien.
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