Les spéculations continuent d’aller bon train sur cet apparent « retard » pris dans l’inéluctable et impitoyable riposte des Pasdarans, troupes d’élite de l’armée iranienne, face à l’assassinat par l’entité israélienne d’Ismail Haniyey à Téhéran. Tout d’abord, des sources proches des médias iraniens tentent de distinguer, à juste titre, le distinguo évident existant entre précipitation et retard.
L’Iran, prépare une douloureuse réplique à la mesure de cet assassinat politique, avec le soutien et la participation de plusieurs de ses alliés au Liban, en Irak, en Syrie et au Yémen. Il est question d’encercler l’entité israélienne, et
Cela demande du temps et de la préparation. Cette temporisation, qu’elle soit volontaire ou pas, amène un double résultat contre l’entité israélienne et ses protecteurs et complices américains. Elle épuise leurs nerfs, s’attendant à des frappes à toute heure du jour ou de la nuit. Pareille torture n’est pas souhaitée même à son pire ennemi. A cela s’ajoute le coût exorbitant, humain, matériel et financier, que nécessite le maintien de nombreuses unités de l’armée d’occupation, et de la flotte US stationnée en méditerranée et en mer rouge.
Tout porte à croire que l’Iran joue avec les nerfs avec les Américains et les Israéliens. Si c’est le cas, elle le fait parfaitement bien.car, souvent un coup attendu, redouté, imaginé, est toujours plus douloureux que le coup reçu. Le journal libanais « Al Akhbar », lié à l’organisation politico-militaire, qui a déjà fait courber l’échine deux fois à l’entité israélienne, le Hezbollah, a publié une série d’articles sous le titre « Retard ou précipitation, le châtiment viendra, ne vous y trompez pas ». L’éditorial du journal promet une « pluie quantitative » de missiles et une forte implication du Hezbollah en représailles.
« Le changement de situation permet à diverses factions de la résistance d’encercler la Palestine occupée depuis les airs avec des missiles et des drones, dans ce qu’on appelle une « pluie quantitative », visant à provoquer des destructions, parallèlement à une « attaque qualitative » ciblant des sites liés à la gouvernance de tous côtés », a déclaré le journal.
D’autres articles se sont concentrés sur la volonté des Houthis au Yémen de participer à l’attaque de représailles de l’Iran, ainsi que sur la politique américaine à l’égard de l’Iran. Dans les agences de presse iraniennes, la question d’une éventuelle riposte iranienne semble à peine évoquée.
L’agence de presse conservatrice « Tasnim » a publié un long article expliquant les raisons qui ont poussé Israël à assassiner Haniyeh, sans mentionner la menace immédiate de représailles de Téhéran. Le journal « Aftab-e Yazd », représentant le centre politique de la République islamique, a consacré son article principal à la promesse du ministère iranien des Affaires étrangères de ne pas violer la souveraineté des autres pays de la région, ainsi qu’à des menaces supplémentaires d’une attaque contre l’entité israélienne.
Ici, se mesure la subtilité iranienne, basée sur des milliers d’années d’histoire, de civilisation et de culture, que les arrivistes génocidaires des Palestiniens et des Indiens d’Amérique ne peuvent certainement pas comprendre. Une démonstration donne ainsi l’air de s’imposer, concluent ironiquement nos sources.
lapatrienews
L’Iran, prépare une douloureuse réplique à la mesure de cet assassinat politique, avec le soutien et la participation de plusieurs de ses alliés au Liban, en Irak, en Syrie et au Yémen. Il est question d’encercler l’entité israélienne, et
Cela demande du temps et de la préparation. Cette temporisation, qu’elle soit volontaire ou pas, amène un double résultat contre l’entité israélienne et ses protecteurs et complices américains. Elle épuise leurs nerfs, s’attendant à des frappes à toute heure du jour ou de la nuit. Pareille torture n’est pas souhaitée même à son pire ennemi. A cela s’ajoute le coût exorbitant, humain, matériel et financier, que nécessite le maintien de nombreuses unités de l’armée d’occupation, et de la flotte US stationnée en méditerranée et en mer rouge.
Tout porte à croire que l’Iran joue avec les nerfs avec les Américains et les Israéliens. Si c’est le cas, elle le fait parfaitement bien.car, souvent un coup attendu, redouté, imaginé, est toujours plus douloureux que le coup reçu. Le journal libanais « Al Akhbar », lié à l’organisation politico-militaire, qui a déjà fait courber l’échine deux fois à l’entité israélienne, le Hezbollah, a publié une série d’articles sous le titre « Retard ou précipitation, le châtiment viendra, ne vous y trompez pas ». L’éditorial du journal promet une « pluie quantitative » de missiles et une forte implication du Hezbollah en représailles.
« Le changement de situation permet à diverses factions de la résistance d’encercler la Palestine occupée depuis les airs avec des missiles et des drones, dans ce qu’on appelle une « pluie quantitative », visant à provoquer des destructions, parallèlement à une « attaque qualitative » ciblant des sites liés à la gouvernance de tous côtés », a déclaré le journal.
D’autres articles se sont concentrés sur la volonté des Houthis au Yémen de participer à l’attaque de représailles de l’Iran, ainsi que sur la politique américaine à l’égard de l’Iran. Dans les agences de presse iraniennes, la question d’une éventuelle riposte iranienne semble à peine évoquée.
L’agence de presse conservatrice « Tasnim » a publié un long article expliquant les raisons qui ont poussé Israël à assassiner Haniyeh, sans mentionner la menace immédiate de représailles de Téhéran. Le journal « Aftab-e Yazd », représentant le centre politique de la République islamique, a consacré son article principal à la promesse du ministère iranien des Affaires étrangères de ne pas violer la souveraineté des autres pays de la région, ainsi qu’à des menaces supplémentaires d’une attaque contre l’entité israélienne.
Ici, se mesure la subtilité iranienne, basée sur des milliers d’années d’histoire, de civilisation et de culture, que les arrivistes génocidaires des Palestiniens et des Indiens d’Amérique ne peuvent certainement pas comprendre. Une démonstration donne ainsi l’air de s’imposer, concluent ironiquement nos sources.
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