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Tous les observateurs avertis de la scène politique internationale, et qui suivent de près le dossier lié au processus de décolonisation du Sahara Occidental, ont trouvé « louche » le brusque changement position de Pedro Sanchez, président du gouvernement espagnol et, après lui, Emmanuel Macron concernant ce dossier sensible. Il est vrai que ce genre d’incartades et de dérapages incontrôlés ne pouvaient laisser indifférents, et encore moins de demeurer sans conséquences. Cette fois-ci, c’est le site payant « Africa Intelligence », réputé bien informé concernant certains dossiers stratégiques liés à la diplomatie et à la défense du continent noir, qui vient de jeter un véritable pavé dans la mare. « Dans un courrier adressé au patron de la diplomatie européenne le 10 septembre, une dizaine de parlementaires espagnols dénoncent le changement de politique impulsé en juillet par Emmanuel Macron sur le dossier », révèle en effet ce média. Le chef de la diplomatie européenne, l’espagnol Joseph Borell, avait déjà réagi à l’énigmatique lettre adressé par Macron à Mohamed VI.
Non, il n’y aura pas effet boule de neige, et l’UE (Union Européenne) restera arrachée au droit international, à savoir le processus onusien de décolonisation du Sahara Occidental, lequel prévoir expressément la tenue d’un référendum d’autodétermination du Sahara Occidental. Aussi bien Sanchez que Macron ont foulé aux pieds le droit international, et ont pris le risque de se brouiller avec Alger, se tirant une balle dans la jambe sur les plans économique, diplomatique et géostratégique. Aucune explication logique ne vient à l’esprit. les deux responsables doivent donc être sous l’emprise de la diplomatie très spéciale du Makhzen. Celle-ci, comme chacun le sait, et le prouvent les nombreux scandales qui ont récemment éclaboussé Rabat, carbure au chantage et à la corruption. Plus de détails suivront…
lapatrienews
Non, il n’y aura pas effet boule de neige, et l’UE (Union Européenne) restera arrachée au droit international, à savoir le processus onusien de décolonisation du Sahara Occidental, lequel prévoir expressément la tenue d’un référendum d’autodétermination du Sahara Occidental. Aussi bien Sanchez que Macron ont foulé aux pieds le droit international, et ont pris le risque de se brouiller avec Alger, se tirant une balle dans la jambe sur les plans économique, diplomatique et géostratégique. Aucune explication logique ne vient à l’esprit. les deux responsables doivent donc être sous l’emprise de la diplomatie très spéciale du Makhzen. Celle-ci, comme chacun le sait, et le prouvent les nombreux scandales qui ont récemment éclaboussé Rabat, carbure au chantage et à la corruption. Plus de détails suivront…
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