
Mohamed Charfi, le Président depuis septembre 2019 de l'Autorité Nationale Indépendante des Elections (ANIE), l'organisme en charge de l'organisation, surveillance et collecte des résultats de tous les scrutins électoraux en Algérie, a voulu démissionner de son poste au lendemain du 8 septembre dernier, le jour de l'annonce des piètres résultats des élections présidentielles anticipées du 7 septembre 2024, a pu confirmer Algérie Part au cours de ses investigations.
Mohamed Charfi a refusé de falsifier massivement et de trafiquer les résultats des élections présidentielles pour offrir à la réélection d'Abdelmadjid Tebboune des chiffres astronomiquement élevés en ce qui concerne le nombre des votants et le taux de participation.
Selon nos investigations, Mohamed Charfi s'est brouillé violemment avec Brahim Merad, ministre de l'Intérieur et directeur de campagne du président Abdelmadjid Tebboune jusqu'au... 4 septembre 2024.
Merad voulait contraindre l'ANIE et son président à annoncer des chiffres faux, manipulés et orientés en faveur de grosse participation au profit de la réélection Abdelmadjid Tebboune. Selon nos investigations, la démission de Mohamed Charfi a été refusée par le Palais Présidentiel d'El-Mouradia et la présidence algérienne lui a demandé de s'éclipser en attendant de trancher sur son sort. Nos révélations.
Algérie Part avec Abdou Semmar :
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