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Mariages des mineurs: sensible diminution au Maroc

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  • Mariages des mineurs: sensible diminution au Maroc

    Il est bien ce ministre marocain Abdelatif Ouahbi. Certainement la seule édile marocaine crédible. Mais au Maroc, selon mon épouse, un politicien intelligent doit être mort afin d'être apprécié car ils sont si rares.

    - Mariage des mineurs : Avec 60% de demandes approuvées, le Maroc a encore du pain sur la planche

    Comme toutes ses déclarations, celle-ci a suscité l’indignation de l’opinion publique, sauf que cette fois-ci, Abdelatif Ouahbi, ministre de la Justice, ne prônait pas une société plus ouverte, il mettait en lumière une triste réalité persistante dans un monde en constante évolution. Le Mariage des mineurs, malgré des années de lutte, demeure un phénomène qui, bien que dissimulé, continue de sévir !

    Le ministre de la justice a affirmé que la majorité des demandes adressées aux tribunaux concernant le mariage des mineurs sont acceptées.

    En réponse à une interrogation posée par le groupe du Progrès et du Socialisme (PPS) à la Chambre des représentants, lors de la session des questions orales, Ouahbi a déclaré que “60 % des demandes de mariage des mineurs sont approuvées par les juges, ce qu’il a considéré comme un grave problème”. Défenseur acharné des droits humains, le responsable gouvernemental a noté que “97 % des mineures abandonnent l’école, contre seulement 3 % qui poursuivent leurs études”. Pas que, le sexisme persiste : Ouahbi a ajouté que ce phénomène concerne surtout les filles avec 99 % des demandes de mariage des mineurs concernent des filles, contre 1 % pour les garçons.

    Hespress.ma

  • #2
    Malheureusement, il faut aussi avouer que la pédophilie est source de revenus au Maroc. De sorte que l'élimination des sévices sexuels imposés aux enfants marocains n'est pas pour demain. C'est triste à dire, mais c'est ainsi la vérité.

    - Ne concernant plus les régions rurales, même les grandes villes sont désormais influencées, à cet effet, Ouahbi a qualifié le mariage des mineurs de calamité “dont Dieu seul sait comment elle sera résolue”. Il a réitéré : “Personnellement, je souhaite criminaliser le mariage des mineurs dans le code pénal. Une fille ne devrait pas se marier avant l’âge de 18 ans, bien que cet âge soit encore trop jeune pour le mariage”.

    Jusqu’à quand ? Approchée par Hespress, Buchra Abdou, présidente de l’Association Défi pour l’Égalité et la Citoyenneté, partage les mêmes inquiétudes soulevées par Ouahbi, “ le mariage des mineurs est un phénomène alarmant qui persiste malgré les efforts déployés par certaines institutions. Nous devons reconnaître que la loi est le premier rempart contre cette pratique qui met en péril l’avenir de milliers de jeunes filles et garçons”.

    Ibidem

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