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La touriste suisse brutalement tuée avait 57 ans et était avec sa fille. La vacancière attaquée à l'arme blanche à Djanet venait des Grisons. Les motivations du tueur restent mystérieuses.
Malgré l’omerta imposée par autorités, les médias tentent d’élucider le mystère autour de l’assassinat d’une touriste suisse à Djanet.
Publié aujourd’hui à 13h51
Une touriste suisse a été tuée en Algérie il y a quinze jours par un homme armé d’un couteau qui l’a attaquée dans un café devant ses enfants, lui tranchant la gorge en criant «Allahu Akbar», ont rapporté des médias.
L’attaque a eu lieu à Djanet, dans le sud-est de l’Algérie, le 11 octobre, mais a été rendue public pour la première fois cette semaine par le journal français Libération.
Agresseur en fuite
Au moment de l’agression, la femme, dont l’âge et le nom n’ont pas été précisés, était apparemment assise à l’extérieur d’un café populaire de Djanet avec ses enfants et une amie.
L’agresseur, qui serait un jeune homme originaire du nord de l’Algérie, a tranché la gorge de la femme, qui est ensuite décédée à l’hôpital, selon la Radio Télévision Suisse.
Le motif de l’attaque n’est pas connu, mais la chaîne rapporte que l’homme a crié «Allahu Akbar» («Dieu est le plus grand») et «Vive la Palestine» pendant l’agression. L’individu a ensuite pris la fuite.
Groupe de touristes suisses
Le ministère suisse des Affaires étrangères a déclaré à l’AFP qu’il était au courant de «la mort violente d’une citoyenne suisse le 11 octobre dans le sud-est de l’Algérie». Il a indiqué qu’elle faisait partie d’un groupe de cinq voyageurs, tous suisses, mais n’a pas fourni d’autres détails.
Les autorités algériennes sont restées silencieuses concernant l’attaque, et la chaîne suisse RTS a rapporté que les autorités avaient même demandé aux habitants de la région de s’abstenir de partager des informations sur les réseaux sociaux.
La RTS a indiqué que les autorités algériennes avaient déployé d’importants moyens pour retrouver l’agresseur, notamment en utilisant des hélicoptères et en distribuant des avis de recherche avec sa photo, et qu’il avait été appréhendé plusieurs jours plus tard.
L’homme aurait également tenté d’attaquer un autre groupe de touristes sur un marché peu avant l’attaque meurtrière, mais aurait été repoussé.
24heures.ch
Malgré l’omerta imposée par autorités, les médias tentent d’élucider le mystère autour de l’assassinat d’une touriste suisse à Djanet.
Publié aujourd’hui à 13h51
Une touriste suisse a été tuée en Algérie il y a quinze jours par un homme armé d’un couteau qui l’a attaquée dans un café devant ses enfants, lui tranchant la gorge en criant «Allahu Akbar», ont rapporté des médias.
L’attaque a eu lieu à Djanet, dans le sud-est de l’Algérie, le 11 octobre, mais a été rendue public pour la première fois cette semaine par le journal français Libération.
Agresseur en fuite
Au moment de l’agression, la femme, dont l’âge et le nom n’ont pas été précisés, était apparemment assise à l’extérieur d’un café populaire de Djanet avec ses enfants et une amie.
L’agresseur, qui serait un jeune homme originaire du nord de l’Algérie, a tranché la gorge de la femme, qui est ensuite décédée à l’hôpital, selon la Radio Télévision Suisse.
Le motif de l’attaque n’est pas connu, mais la chaîne rapporte que l’homme a crié «Allahu Akbar» («Dieu est le plus grand») et «Vive la Palestine» pendant l’agression. L’individu a ensuite pris la fuite.
Groupe de touristes suisses
Le ministère suisse des Affaires étrangères a déclaré à l’AFP qu’il était au courant de «la mort violente d’une citoyenne suisse le 11 octobre dans le sud-est de l’Algérie». Il a indiqué qu’elle faisait partie d’un groupe de cinq voyageurs, tous suisses, mais n’a pas fourni d’autres détails.
Les autorités algériennes sont restées silencieuses concernant l’attaque, et la chaîne suisse RTS a rapporté que les autorités avaient même demandé aux habitants de la région de s’abstenir de partager des informations sur les réseaux sociaux.
La RTS a indiqué que les autorités algériennes avaient déployé d’importants moyens pour retrouver l’agresseur, notamment en utilisant des hélicoptères et en distribuant des avis de recherche avec sa photo, et qu’il avait été appréhendé plusieurs jours plus tard.
L’homme aurait également tenté d’attaquer un autre groupe de touristes sur un marché peu avant l’attaque meurtrière, mais aurait été repoussé.
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