Tweet
Trump refuse d’inviter Mohammed VI à son investiture
Une gifle diplomatique pour le Maroc
Un camouflet d’autant plus sévère que la presse marocaine avait mis un point d’honneur à annoncer sa participation.
C’est un coup dur pour Mohammed VI et une véritable douche froide pour le Maroc. Alors que la presse marocaine claironnait avec fierté la présence supposée de leur roi à la cérémonie d’investiture de Donald Trump, l’absence totale de la famille royale marocaine a rapidement fait l’effet d’une bombe. Non seulement le souverain chérifien n’était pas présent, mais il n’a même pas reçu le prestigieux carton d’invitation. Pendant des semaines, les médias marocains s’étaient enflammés à l’idée que Mohammed VI participe à cet événement de premier plan, espérant ainsi montrer au monde entier la proximité entre Rabat et Washington. Cependant, il semblerait que cette ambition se soit heurtée à une fin de non-recevoir. Selon des médias internationaux, le roi marocain aurait pourtant multiplié les efforts pour décrocher cette invitation symbolique, sollicitant les proches du président américain et dépêchant même des émissaires pour intercéder en sa faveur. Mais malgré ces tentatives, le roi n’a pas été convié, un camouflet d’autant plus sévère que la presse marocaine avait mis un point d’honneur à annoncer sa participation.
Ce refus soulève des interrogations sur l’état des relations entre le royaume marocain et l’administration Trump. Certains observateurs y voient un signe clair d’un refroidissement diplomatique. Donald Trump, qui a souvent surpris par ses positions tranchées, n’aurait pas apprécié certains aspects de la politique marocaine, notamment en lien avec la lutte contre le trafic de drogue. Le président américain a d’ailleurs promis de classer les trafiquants de drogue comme terroristes, une position qui pourrait indirectement cibler le Maroc, le royaume du hachisch, premier producteur et exportateur de cannabis dans le monde. L’absence de Mohammed VI à cette cérémonie contraste avec les efforts déployés pour entretenir une pseudo-image d’amitié et d’alliance avec les États-Unis. Ce revers diplomatique, qui intervient dans un contexte international complexe, renforce le sentiment d’isolement pour le souverain marocain. Il semble clair que Donald Trump a voulu envoyer un message en excluant Mohammed VI de la liste de ses invités, alors que ce dernier insistait pour y être présent. Pour le Maroc, la leçon est amère. Le message de Trump semble clair comme l’eau de roche …
L'Expression
Une gifle diplomatique pour le Maroc
Un camouflet d’autant plus sévère que la presse marocaine avait mis un point d’honneur à annoncer sa participation.
C’est un coup dur pour Mohammed VI et une véritable douche froide pour le Maroc. Alors que la presse marocaine claironnait avec fierté la présence supposée de leur roi à la cérémonie d’investiture de Donald Trump, l’absence totale de la famille royale marocaine a rapidement fait l’effet d’une bombe. Non seulement le souverain chérifien n’était pas présent, mais il n’a même pas reçu le prestigieux carton d’invitation. Pendant des semaines, les médias marocains s’étaient enflammés à l’idée que Mohammed VI participe à cet événement de premier plan, espérant ainsi montrer au monde entier la proximité entre Rabat et Washington. Cependant, il semblerait que cette ambition se soit heurtée à une fin de non-recevoir. Selon des médias internationaux, le roi marocain aurait pourtant multiplié les efforts pour décrocher cette invitation symbolique, sollicitant les proches du président américain et dépêchant même des émissaires pour intercéder en sa faveur. Mais malgré ces tentatives, le roi n’a pas été convié, un camouflet d’autant plus sévère que la presse marocaine avait mis un point d’honneur à annoncer sa participation.
Ce refus soulève des interrogations sur l’état des relations entre le royaume marocain et l’administration Trump. Certains observateurs y voient un signe clair d’un refroidissement diplomatique. Donald Trump, qui a souvent surpris par ses positions tranchées, n’aurait pas apprécié certains aspects de la politique marocaine, notamment en lien avec la lutte contre le trafic de drogue. Le président américain a d’ailleurs promis de classer les trafiquants de drogue comme terroristes, une position qui pourrait indirectement cibler le Maroc, le royaume du hachisch, premier producteur et exportateur de cannabis dans le monde. L’absence de Mohammed VI à cette cérémonie contraste avec les efforts déployés pour entretenir une pseudo-image d’amitié et d’alliance avec les États-Unis. Ce revers diplomatique, qui intervient dans un contexte international complexe, renforce le sentiment d’isolement pour le souverain marocain. Il semble clair que Donald Trump a voulu envoyer un message en excluant Mohammed VI de la liste de ses invités, alors que ce dernier insistait pour y être présent. Pour le Maroc, la leçon est amère. Le message de Trump semble clair comme l’eau de roche …
L'Expression
Commentaire