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Algérie Part avec Abdou Semmar : Les derniers résultats de l'économie algérienne affichés par la Banque d'Algérie sont très mauvais et préoccupants. Et pour cause, durant le 1er trimestre de l'année 2024, les exportations des hydrocarbures en Algérie ont atteint leur seuil le plus faible par rapport à tous les trimestres de l'année 2023. L'Algérie a exporté uniquement durant le premier trimestre de 2024 pour 11,1 milliards de dollars US de gaz, de pétrole et de leurs dérivés alors qu'elle avait l'habitude d'engranger des revenus allant de 12,5 jusqu'à 13 milliards de dollars US durant tous les trimestres de l'année 2023.
Les exportations hors hydrocarbures n'ont même pas atteint la barre des 1 milliard de dollars US durant les trois premiers mois de l'année 2024. L'Algérie a pu vendre sur les marchés internationaux pour seulement 986 millions de dollars US de produits hors hydrocarbures durant cette période alors que durant les autres trimestres de l'année 2023, ces exportations hors hydrocarbures allaient de 1,1 jusqu'à 1,2 milliards de dollars US. Des revenus en devises en baisse significative, mais des dépenses en devises en augmentation permanente puisque les importations, en dépit de toutes les restrictions sévères imposées par les autorités, ont atteint durant le premier trimestre de 2024 pas moins de 11,1 milliards de dollars US.
En clair, l'Algérie a gagné à peine de quoi financer ses propres importations en produits de première nécessité et de large consommation. Ces résultats économiques dévoilent qu'il ne reste quasiment pas de devises pour financer les investissements dont l'Algérie a cruellement besoin pour son développement puisque les exportations commencent à peine à suffire pour financer les importations du pays. Il y a un vrai danger en perspective si ces mauvais résultats économiques perdurent.
Les exportations hors hydrocarbures n'ont même pas atteint la barre des 1 milliard de dollars US durant les trois premiers mois de l'année 2024. L'Algérie a pu vendre sur les marchés internationaux pour seulement 986 millions de dollars US de produits hors hydrocarbures durant cette période alors que durant les autres trimestres de l'année 2023, ces exportations hors hydrocarbures allaient de 1,1 jusqu'à 1,2 milliards de dollars US. Des revenus en devises en baisse significative, mais des dépenses en devises en augmentation permanente puisque les importations, en dépit de toutes les restrictions sévères imposées par les autorités, ont atteint durant le premier trimestre de 2024 pas moins de 11,1 milliards de dollars US.
En clair, l'Algérie a gagné à peine de quoi financer ses propres importations en produits de première nécessité et de large consommation. Ces résultats économiques dévoilent qu'il ne reste quasiment pas de devises pour financer les investissements dont l'Algérie a cruellement besoin pour son développement puisque les exportations commencent à peine à suffire pour financer les importations du pays. Il y a un vrai danger en perspective si ces mauvais résultats économiques perdurent.
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