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Liban Une foule immense aux funérailles du chef du Hezbollah tué par l'entité sioniste
Des dizaines de milliers de partisans du Hezbollah vêtus de noir ont convergé dimanche matin vers la Cité sportive de Beyrouth pour participer aux funérailles du chef de la formation libanaise tué dans une frappe sioniste il y a près de cinq mois.
Le puissant Hezbollah pro-iranien a attendu le retrait presque complet de l'armée sioniste du sud du Liban, le 18 février, pour organiser ce premier rassemblement populaire depuis la fin de la guerre qui l'a opposé à l'entité sioniste.
Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah pendant 32 ans, a été tué le 27 septembre dans une frappe sioniste sur la banlieue sud de la capitale, bastion du mouvement armé chiite.
Peu avant les funérailles, des frappes sionites ont visé le sud du Liban, malgré le cessez-le-feu en vigueur depuis le 27 novembre, selon un média d'Etat.
Tous vêtus de noir, brandissant des portraits de Nasrallah, des dizaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont rempli les gradins de la Cité sportive, à la périphérie sud de Beyrouth, malgré un froid inhabituel, selon les correspondants de l'AFP.
Des femmes pleuraient en tenant des portraits de combattants tués lors de la guerre. Oum Mahdi, une femme de 55 ans, a affirmé être venue de la plaine de la Békaa, dans l'est du Liban, "pour le voir (Nasrallah) une dernière fois et voir son mausolée". "C'est la moindre des choses qu'on puisse faire pour le Sayyed qui a tout donné", a-t-elle ajouté.
être "un Etat dans l'Etat".
LSA
Le puissant Hezbollah pro-iranien a attendu le retrait presque complet de l'armée sioniste du sud du Liban, le 18 février, pour organiser ce premier rassemblement populaire depuis la fin de la guerre qui l'a opposé à l'entité sioniste.
Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah pendant 32 ans, a été tué le 27 septembre dans une frappe sioniste sur la banlieue sud de la capitale, bastion du mouvement armé chiite.
Peu avant les funérailles, des frappes sionites ont visé le sud du Liban, malgré le cessez-le-feu en vigueur depuis le 27 novembre, selon un média d'Etat.
Tous vêtus de noir, brandissant des portraits de Nasrallah, des dizaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont rempli les gradins de la Cité sportive, à la périphérie sud de Beyrouth, malgré un froid inhabituel, selon les correspondants de l'AFP.
Des femmes pleuraient en tenant des portraits de combattants tués lors de la guerre. Oum Mahdi, une femme de 55 ans, a affirmé être venue de la plaine de la Békaa, dans l'est du Liban, "pour le voir (Nasrallah) une dernière fois et voir son mausolée". "C'est la moindre des choses qu'on puisse faire pour le Sayyed qui a tout donné", a-t-elle ajouté.
être "un Etat dans l'Etat".
LSA
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