L‘Algérie… est un pays qui brandit la cause palestinienne comme un flambeau sur la scène internationale, mais qui, dans les coulisses, n’hésite pas à croquer à pleines dents dans la pomme d’Israël. Car, oui, il faut bien l’avouer, la diplomatie algérienne est passée maître dans l’art du « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais ».
D’un côté, elle nous gratifie d’un discours enflammé sur les droits des Palestiniens, jurant sur l’honneur de boycotter tout ce qui touche de près ou de loin à l’État hébreu. De l’autre, elle signe avec une société de lobbying américaine intimement liée à Israël. Et voilà que l’Algérie mange dans la main qu’elle prétendait mordre. Ironique, n’est-ce pas ?
Parmi les conseilleurs principaux de BGR Group, on trouve ainsi Ehud Barak, Premier ministre d'Israël entre juillet 1999 et mars 2001 et figure emblématique de l’armée israélienne.
L’accord avec BGR Group prévoit une rémunération annuelle de 720 000 dollars sans compter les éventuels frais supplémentaires engagés par la firme dans l’exercice de ses missions pour l’Algérie, «lesquels peuvent porter le montant du contrat à 1,2 million de dollars».


D’un côté, elle nous gratifie d’un discours enflammé sur les droits des Palestiniens, jurant sur l’honneur de boycotter tout ce qui touche de près ou de loin à l’État hébreu. De l’autre, elle signe avec une société de lobbying américaine intimement liée à Israël. Et voilà que l’Algérie mange dans la main qu’elle prétendait mordre. Ironique, n’est-ce pas ?
Parmi les conseilleurs principaux de BGR Group, on trouve ainsi Ehud Barak, Premier ministre d'Israël entre juillet 1999 et mars 2001 et figure emblématique de l’armée israélienne.
L’accord avec BGR Group prévoit une rémunération annuelle de 720 000 dollars sans compter les éventuels frais supplémentaires engagés par la firme dans l’exercice de ses missions pour l’Algérie, «lesquels peuvent porter le montant du contrat à 1,2 million de dollars».



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