Algérie Part avec Abdou Semmar : les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), les services secrets français, ont identifié et démantelé un réseau d'espions qui œuvraient au profit du Pouvoir Algérien. Il s'agit d'un fonctionnaire du ministère de l’Économie et des Finances qui a été discrètement interpellé le 16 décembre 2024 par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) parce qu'il a été soupçonné d’avoir livré des informations sensibles aux services de renseignement algériens. Et ensuite, c'est une femme âgée de 46 ans et fonctionnaire au sein de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).
Selon l’enquête judiciaire ouverte en France depuis le 20 novembre 2024, ces deux fonctionnaires ont fait l'espionnage au profit du régime Algérien en fournissant "divers renseignements personnels sur l’identité et la localisation de ressortissants algériens en France. Les personnes ciblées seraient des opposants politiques mais également des expatriés jouissant d’une audience au sein de la diaspora algérienne, des sortes d’« influenceurs »", révèle à ce sujet le quotidien français Le Parisien selon lequel ces deux "espions" ont été placées en garde à vue et présentées "devant un juge du pôle antiterroriste - compétent pour les affaires d’espionnage".
Les investigations de la Justice française se poursuivent pour comprendre tous les dessous de cette affaire alors que les services secrets français, à travers la DGSI, tentent d’identifier d’éventuels autres fonctionnaires français "retournés" par les services secrets algériens.
Selon l’enquête judiciaire ouverte en France depuis le 20 novembre 2024, ces deux fonctionnaires ont fait l'espionnage au profit du régime Algérien en fournissant "divers renseignements personnels sur l’identité et la localisation de ressortissants algériens en France. Les personnes ciblées seraient des opposants politiques mais également des expatriés jouissant d’une audience au sein de la diaspora algérienne, des sortes d’« influenceurs »", révèle à ce sujet le quotidien français Le Parisien selon lequel ces deux "espions" ont été placées en garde à vue et présentées "devant un juge du pôle antiterroriste - compétent pour les affaires d’espionnage".
Les investigations de la Justice française se poursuivent pour comprendre tous les dessous de cette affaire alors que les services secrets français, à travers la DGSI, tentent d’identifier d’éventuels autres fonctionnaires français "retournés" par les services secrets algériens.
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