Live d’Algérie Part avec Abdou Semmar : Un rendez-vous privé entre Emmanuel Macron et Bruno Retailleau a été organisé le 5 mars dernier pour aborder et étudier le dossier algérien. Selo le quotidien français Le Figaro, le président Emmanuel Macron "est parfaitement conscient qu’il faut engager un bras de fer". "Et même si la dénonciation des accords de 1968 ne doit pas être le début de notre riposte. Nous sommes sur la même ligne ", a confié un conseiller de Bruno Retailleau au même média français. "Ils ont constaté que leurs positions étaient proches et qu’ils partageaient un message de fermeté, abonde- t-on dans l’entourage du chef de l’État. Le président veut l’exécution des OQTF et n’a pas de tabou sur la renégociation des accords bilatéraux.
Il est prêt à être ferme", révèle encore Le Figaro selon lequel Emmanuel Macron a pu livrer son analyse à Bruno Retailleau : à ses yeux, la France essuie un accès de mauvaise humeur d’Alger en raison de la reconnaissance par la France, l’été dernier, de la marocanité du Sahara occidental, un sujet de contentieux inflammable entre l’Algérie et le Maroc.
Autour du chef de l’État français, on glisse que le canal n’est pas rompu avec le président algérien, Abdelmadjid Tebboune. Explications.
Il est prêt à être ferme", révèle encore Le Figaro selon lequel Emmanuel Macron a pu livrer son analyse à Bruno Retailleau : à ses yeux, la France essuie un accès de mauvaise humeur d’Alger en raison de la reconnaissance par la France, l’été dernier, de la marocanité du Sahara occidental, un sujet de contentieux inflammable entre l’Algérie et le Maroc.
Autour du chef de l’État français, on glisse que le canal n’est pas rompu avec le président algérien, Abdelmadjid Tebboune. Explications.
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