Algérie Part avec Abdou Semmar : Le bras de fer se poursuit entre l’Algérie et la France. Ce dimanche 16 mars, Alger a décidé de remettre sur la table le dossier des biens immobiliers mis à la disposition de la France en Algérie. Selon l’Agence de presse officielle algérienne (APS), le ministère des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, pour le lui signifier. « Si un pays tire un véritable profit des relations bilatérales, c’est bien la France », affirme l’APS, évoquant trois sujets.
D’abord les 61 biens immobiliers que la France loue à l’Algérie. Et de citer en exemple le siège de l’ambassade de France et la résidence des Oliviers, celle de l’ambassadeur, « louée au franc symbolique sur la base d’un prix de bail inchangé depuis 1962 jusqu’en août 2023 ». "Parmi ces biens, le siège de l'ambassade de France en Algérie s’étend sur une vaste superficie de 14 hectares (140.000 mètres carrés) sur les hauteurs d'Alger, avec un loyer si insignifiant qu'il ne couvrirait même pas le prix d’une modeste chambre de bonne à Paris", souligne encore une fois l'APS.
Selon nos investigations, cette nouvelle passe d'armes est une nouvelle relève d'une nouvelle opération de communication dont les dessous sont liés à des démarches entamées par le Pouvoir Algérien pour réduire la superficie affectée à l'ambassade de France à Hydra, la zone résidentielle la plus chic de la capitale Alger, pour les besoins du fonctionnement de ses structures diplomatiques et consulaires.
Selon nos sources, le Président Abdelmadjid Tebboune a ordonné à son gouvernement à la fin du mois de février dernier de retirer à l'ambassade de France 13 hectares de sa superficie actuelle pour lui concéder uniquement un hectare. Par ailleurs, les autorités algériennes sont également tentées de récupérer la fameuse "Villa des Oliviers" également connue sous le nom de la Résidence de France qui est la résidence officielle de l’ambassadeur de France en Algérie.
Cette villa n’est pas la propriétaire de la France, puisque lors des négociations qui ont abouti aux accords d’Evian de 1962, le président Ahmed Ben Bella avait, au dernier moment, sorti la villa de la liste des biens dont la France conserverait la propriété après l’indépendance. Après et sous l’insistance du gouvernement français, l’Algérie a accepté de signer avec l’ancienne puissance occupante un bail emphytéotique de soixante ans. En 2022, ce bail est arrivé à expiration.
La situation administrative de cette Résidence de luxe demeure jusqu'à aujourd'hui opaque et elle fait l'objet de tractations entre le gouvernement algérien et français. Mais, selon nos sources, le Pouvoir Algérien veut déloger l'ambassadeur de France et le contraindre à déménager ailleurs vers une autre Résidence pour récupérer définitivement cette villa historique et prestigieuse. Nos révélations
D’abord les 61 biens immobiliers que la France loue à l’Algérie. Et de citer en exemple le siège de l’ambassade de France et la résidence des Oliviers, celle de l’ambassadeur, « louée au franc symbolique sur la base d’un prix de bail inchangé depuis 1962 jusqu’en août 2023 ». "Parmi ces biens, le siège de l'ambassade de France en Algérie s’étend sur une vaste superficie de 14 hectares (140.000 mètres carrés) sur les hauteurs d'Alger, avec un loyer si insignifiant qu'il ne couvrirait même pas le prix d’une modeste chambre de bonne à Paris", souligne encore une fois l'APS.
Selon nos investigations, cette nouvelle passe d'armes est une nouvelle relève d'une nouvelle opération de communication dont les dessous sont liés à des démarches entamées par le Pouvoir Algérien pour réduire la superficie affectée à l'ambassade de France à Hydra, la zone résidentielle la plus chic de la capitale Alger, pour les besoins du fonctionnement de ses structures diplomatiques et consulaires.
Selon nos sources, le Président Abdelmadjid Tebboune a ordonné à son gouvernement à la fin du mois de février dernier de retirer à l'ambassade de France 13 hectares de sa superficie actuelle pour lui concéder uniquement un hectare. Par ailleurs, les autorités algériennes sont également tentées de récupérer la fameuse "Villa des Oliviers" également connue sous le nom de la Résidence de France qui est la résidence officielle de l’ambassadeur de France en Algérie.
Cette villa n’est pas la propriétaire de la France, puisque lors des négociations qui ont abouti aux accords d’Evian de 1962, le président Ahmed Ben Bella avait, au dernier moment, sorti la villa de la liste des biens dont la France conserverait la propriété après l’indépendance. Après et sous l’insistance du gouvernement français, l’Algérie a accepté de signer avec l’ancienne puissance occupante un bail emphytéotique de soixante ans. En 2022, ce bail est arrivé à expiration.
La situation administrative de cette Résidence de luxe demeure jusqu'à aujourd'hui opaque et elle fait l'objet de tractations entre le gouvernement algérien et français. Mais, selon nos sources, le Pouvoir Algérien veut déloger l'ambassadeur de France et le contraindre à déménager ailleurs vers une autre Résidence pour récupérer définitivement cette villa historique et prestigieuse. Nos révélations
Commentaire