Live d’Algérie Part avec Abdou Semmar : Le torchon continue de brûler entre la France et l'Algérie. Après s'être opposés sur le statut du Sahara occidental ou le sort de l'écrivain Boualem Sansal, arrêté à l'aéroport d'Alger mi-novembre, les deux pays ferraillent ouvertement au sujet d'une liste d'Algériens expulsables fournie par Paris à Alger, vendredi. Trois jours plus tard, lundi 17 mars, l'Algérie a opposé une fin de non-recevoir à cette liste. "Les autorités algériennes ont décidé de ne pas donner suite à la liste soumise par les autorités françaises" et les ont "invitées à suivre le canal d'usage, en l'occurrence celui établi entre les préfectures et les consulats", selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères algérien.
Dans la foulée, Bruno Retailleau a promis d'engager une "riposte graduée", "comme l'a décidé le comité interministériel sous la présidence du Premier ministre", a-t-il fait savoir sur le réseau social X, lundi soir. Le ministre a par ailleurs dit regretter "que l'Algérie refuse d'appliquer le droit international".
Et en guise de sanctions adoptées contre les Dirigeants Algériens accusées de "menacer les intérêts de la France " et de "lui manquer de respect" en refusant de reprendre ces ressortissants algériens expulsables et au profil dangereux, les autorités françaises ont décidé d'élargir la liste des hauts responsables algériens indésirables sur le territoire français à plus de 4000 personnalités civiles et militaires, a pu confirmer Algérie Part au cours de ses investigations. Nos révélations.
Dans la foulée, Bruno Retailleau a promis d'engager une "riposte graduée", "comme l'a décidé le comité interministériel sous la présidence du Premier ministre", a-t-il fait savoir sur le réseau social X, lundi soir. Le ministre a par ailleurs dit regretter "que l'Algérie refuse d'appliquer le droit international".
Et en guise de sanctions adoptées contre les Dirigeants Algériens accusées de "menacer les intérêts de la France " et de "lui manquer de respect" en refusant de reprendre ces ressortissants algériens expulsables et au profil dangereux, les autorités françaises ont décidé d'élargir la liste des hauts responsables algériens indésirables sur le territoire français à plus de 4000 personnalités civiles et militaires, a pu confirmer Algérie Part au cours de ses investigations. Nos révélations.
Commentaire