Invraisemblable parcours d'un journaliste marocain victime de la dictature alaouite. Serait-ce un remake de l'affaire du diffus menteur Rachid M'Barki viré comme un maroquin par BFMTV?
- Les journaux télévisés présentés par Radi Ellili ont atteint les plus hauts taux d’audience. De 2008 à 2013, il a surpassé tous les présentateurs de journaux marocains sur les chaînes 1 et 2. De 2007 à 2010, il a couvert toutes les séries de négociations entre le Maroc et le Front Polisario qui ont eu lieu dans la ville américaine de Manhasset.
En 2013, il est arbitrairement expulsé de son poste, son salaire mensuel est réduit sans aucune justification légale, et il est empêché d’entrer dans les locaux de la radio et de la télévision par la force.
Face à cette situation, il organise au Maroc et au Sahara occidental plusieurs manifestations pour revendiquer ses droits légitimes. En 2013, les services de sécurité marocains ont tenté de l’accuser de trafic de drogue pour le faire emprisonner. En 2016, il est arrêté et conduit au commissariat de police de la ville marocaine de Salé.
La presse marocaine lance alors une campagne médiatique contre lui, l’accusant d’espionnage pour le compte de l’Algérie. Face à ce harcèlement, le journaliste sahraoui fuit en France, sa vie étant en danger. Il y obtient l’asile politique en 2018. Depuis son arrivée en France, il a déposé plus de 40 plaintes auprès des autorités françaises pour menaces de mort et diffamation. Fin 2020, les services de renseignement marocains, civils et militaires, ont déposé plainte contre lui au Maroc, l’accusant de nuire à la réputation des institutions.
espacioseuropeos.com (extraits)
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- Les journaux télévisés présentés par Radi Ellili ont atteint les plus hauts taux d’audience. De 2008 à 2013, il a surpassé tous les présentateurs de journaux marocains sur les chaînes 1 et 2. De 2007 à 2010, il a couvert toutes les séries de négociations entre le Maroc et le Front Polisario qui ont eu lieu dans la ville américaine de Manhasset.
En 2013, il est arbitrairement expulsé de son poste, son salaire mensuel est réduit sans aucune justification légale, et il est empêché d’entrer dans les locaux de la radio et de la télévision par la force.
Face à cette situation, il organise au Maroc et au Sahara occidental plusieurs manifestations pour revendiquer ses droits légitimes. En 2013, les services de sécurité marocains ont tenté de l’accuser de trafic de drogue pour le faire emprisonner. En 2016, il est arrêté et conduit au commissariat de police de la ville marocaine de Salé.
La presse marocaine lance alors une campagne médiatique contre lui, l’accusant d’espionnage pour le compte de l’Algérie. Face à ce harcèlement, le journaliste sahraoui fuit en France, sa vie étant en danger. Il y obtient l’asile politique en 2018. Depuis son arrivée en France, il a déposé plus de 40 plaintes auprès des autorités françaises pour menaces de mort et diffamation. Fin 2020, les services de renseignement marocains, civils et militaires, ont déposé plainte contre lui au Maroc, l’accusant de nuire à la réputation des institutions.
espacioseuropeos.com (extraits)
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