TLK
Depuis le cessez-le-feu de 1991 jusqu’en 2007, les Nations Unies ont tenté d’organiser un référendum sur le Sahara.
Mais après plus de 15 années d’efforts, les parties n’ont jamais réussi à s’entendre sur la composition du corps électoral.
Cette impasse a conduit le Conseil de sécurité, dès 2007, à écarter définitivement la solution référendaire.
Il est donc parfaitement clair aujourd’hui qu’il n’est plus question de revenir en arrière.
D’un point de vue juridique, je tiens à rappeler que l’autonomie est bel et bien une forme moderne et reconnue du droit à l’autodétermination dans le droit international.
Il est temps de regarder la réalité en face : la voie sérieuse, crédible et réaliste, soutenue par les grandes puissances et par le Conseil de sécurité, est celle d’une autonomie négociée.
Depuis le cessez-le-feu de 1991 jusqu’en 2007, les Nations Unies ont tenté d’organiser un référendum sur le Sahara.
Mais après plus de 15 années d’efforts, les parties n’ont jamais réussi à s’entendre sur la composition du corps électoral.
Cette impasse a conduit le Conseil de sécurité, dès 2007, à écarter définitivement la solution référendaire.
Il est donc parfaitement clair aujourd’hui qu’il n’est plus question de revenir en arrière.
D’un point de vue juridique, je tiens à rappeler que l’autonomie est bel et bien une forme moderne et reconnue du droit à l’autodétermination dans le droit international.
Il est temps de regarder la réalité en face : la voie sérieuse, crédible et réaliste, soutenue par les grandes puissances et par le Conseil de sécurité, est celle d’une autonomie négociée.
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