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On savait Hitler Nétanyahou suppôt de croyances sorcières, mais pas autant endommagé son sosie Trump!
- Foucauld Giuliani, philosophe : « Trump substitue à Dieu “son” propre dieu, un dieu qui appelle à la guerre et la soutient »
L’analyse des mots prononcés par Trump dans son allocution annonçant l’opération en Iran révèle combien sa théologie est non seulement empreinte d’idolâtrie, mais aussi mise au service d’une stratégie impérialiste, détaille l’étudiant en théologie dans une tribune au « Monde ».
« Je tiens à remercier tout le monde et, en particulier, Dieu, je tiens à dire que nous t’aimons, Dieu, et que nous aimons notre formidable armée. Protégez-les. Que Dieu bénisse le Moyen-Orient. Que Dieu bénisse Israël et que Dieu bénisse l’Amérique. » Voici les mots qui concluent le discours de Donald Trump annonçant et justifiant l’entrée en guerre des Etats-Unis contre l’Iran.
L’orgueil le plus destructeur
Cette première phrase est aussi un modèle original de blasphème. Trump remercie Dieu pour un acte politique qui lui est totalement étranger : lancer une guerre. L’Evangile nous apprend que la présence de Dieu dans l’histoire ne passe pas par des campagnes militaires lancées par des Etats avides de puissance. En remerciant Dieu pour un événement qu’il n’a ni voulu, ni demandé, Trump lui attribue un acte qui n’est pas le sien et substitue à Dieu « son » propre Dieu, un Dieu qui appelle à la guerre et la soutient.
Le Monde.fr (extraits)
- Foucauld Giuliani, philosophe : « Trump substitue à Dieu “son” propre dieu, un dieu qui appelle à la guerre et la soutient »
L’analyse des mots prononcés par Trump dans son allocution annonçant l’opération en Iran révèle combien sa théologie est non seulement empreinte d’idolâtrie, mais aussi mise au service d’une stratégie impérialiste, détaille l’étudiant en théologie dans une tribune au « Monde ».
« Je tiens à remercier tout le monde et, en particulier, Dieu, je tiens à dire que nous t’aimons, Dieu, et que nous aimons notre formidable armée. Protégez-les. Que Dieu bénisse le Moyen-Orient. Que Dieu bénisse Israël et que Dieu bénisse l’Amérique. » Voici les mots qui concluent le discours de Donald Trump annonçant et justifiant l’entrée en guerre des Etats-Unis contre l’Iran.
L’orgueil le plus destructeur
Cette première phrase est aussi un modèle original de blasphème. Trump remercie Dieu pour un acte politique qui lui est totalement étranger : lancer une guerre. L’Evangile nous apprend que la présence de Dieu dans l’histoire ne passe pas par des campagnes militaires lancées par des Etats avides de puissance. En remerciant Dieu pour un événement qu’il n’a ni voulu, ni demandé, Trump lui attribue un acte qui n’est pas le sien et substitue à Dieu « son » propre Dieu, un Dieu qui appelle à la guerre et la soutient.
Le Monde.fr (extraits)
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