Jeudi 26 janvier, à l'issue d'un sommet européen à Bruxelles, Emmanuel Macron a expliqué que le pire scénario diplomatique possible serait la sortie de l'Iran du traité de non-prolifération des armes nucléaires. "Notre souhait, c'est qu'il y ait une vraie convergence de vues", a-t-il indiqué à la presse.
Ce serait "une dérive et un affaiblissement collectif". À l'issue d'un sommet entre les États européens à Bruxelles, Emmanuel Macron a décrit ce qui serait pour lui l'un des "pires scénarios" possibles du conflit au Moyen-Orient jeudi 26 juin. Selon le chef de l'État, si l'Iran sortait du traité de non-prolifération des armes nucléaires, cela serait synonyme d'un échec diplomatique. Une conséquence possible à la suite des frappes étasuniennes sur les installations nucléaires iraniennes, rapporte BFMTV.
"Une vraie convergence de vues"
En vue de "préserver le traité de non-prolifération" des armes nucléaires, Emmanuel Macron a annoncé vouloir parler "dans les prochains jours", avec les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, à commencer par Donald Trump avec lequel il s'est entretenu jeudi. "Notre souhait, c'est qu'il y ait une vraie convergence de vues parce que l'objectif, c'est qu'il n'y ait pas de reprise d'activités proliférantes" de la part de Téhéran, a expliqué le chef de l'État français à Donald Trump. Par ailleurs, si l'Iran est encore signataire du traité, Israël, qui bénéficie de l'arme nucléaire, à hauteur de 80 bombes, ne l'a jamais été.
Autre objectif diplomatique du président français : relancer la conférence de l'ONU sur la solution "à deux États", initialement prévue en juin. Emmanuel Macron reconnaîtra-t-il l'État palestinien comme il l'avait envisagé quelques mois plus tôt ? En conclusion de son discours à la presse, le locataire de l'Élysée a indiqué qu'il rentrerait en communication dans les prochains jours avec le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane, qui coprésidera avec la France cette conférence.
Actu . Orange. fr
Ce serait "une dérive et un affaiblissement collectif". À l'issue d'un sommet entre les États européens à Bruxelles, Emmanuel Macron a décrit ce qui serait pour lui l'un des "pires scénarios" possibles du conflit au Moyen-Orient jeudi 26 juin. Selon le chef de l'État, si l'Iran sortait du traité de non-prolifération des armes nucléaires, cela serait synonyme d'un échec diplomatique. Une conséquence possible à la suite des frappes étasuniennes sur les installations nucléaires iraniennes, rapporte BFMTV.
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En vue de "préserver le traité de non-prolifération" des armes nucléaires, Emmanuel Macron a annoncé vouloir parler "dans les prochains jours", avec les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, à commencer par Donald Trump avec lequel il s'est entretenu jeudi. "Notre souhait, c'est qu'il y ait une vraie convergence de vues parce que l'objectif, c'est qu'il n'y ait pas de reprise d'activités proliférantes" de la part de Téhéran, a expliqué le chef de l'État français à Donald Trump. Par ailleurs, si l'Iran est encore signataire du traité, Israël, qui bénéficie de l'arme nucléaire, à hauteur de 80 bombes, ne l'a jamais été.
Autre objectif diplomatique du président français : relancer la conférence de l'ONU sur la solution "à deux États", initialement prévue en juin. Emmanuel Macron reconnaîtra-t-il l'État palestinien comme il l'avait envisagé quelques mois plus tôt ? En conclusion de son discours à la presse, le locataire de l'Élysée a indiqué qu'il rentrerait en communication dans les prochains jours avec le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane, qui coprésidera avec la France cette conférence.
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