«Stalingrad», «La bataille de l’Atlantique». Ce sont-là quelques dénominations sur la bataille qui se déroule à Ghaza-ville, que tente depuis une semaine d’occuper l’armée génocidaire.
En dépit des énormes moyens mobilisés en hommes et en matériels lourds et des plus sophistiqués, l’armée génocidaire se heurte à la résistance héroïque des combattants du Hamas : brigades al-Qassam, Sariat al-Qods.
En conséquence, le criminel Netanyahou se voit obligé de réviser ses plans, modère quelque peu son discours belliqueux et tente une échappatoire. D’abord, il cherche à calmer les familles des détenus aux mains de la résistance en annonçant la récupération de deux dépouilles. Des détenus morts sous les bombardements de son armée - ce qu’il évite de dire. Ensuite, les pertes militaires en hommes et en matériels aussi bien au nord de la bande qu’au sud, à Khan Younes, ont un impact sur l’arrogance du néonazi sur fond de contestation de sa politique génocidaire.
Dès lors, il est question de «pause tactique locale» selon un communiqué de l’armée d’agression sur toute l’étendue de l’enclave palestinienne. Soit disant pour permettre le passage des aides humanitaires. Pour autant, l’occupant poursuit ses tueries contre les populations civiles affamées.
La défense civile dans Ghaza a fait état hier vendredi de 33 morts depuis l'aube. Il reste que le plan d’occupation militaire de la ville de Ghaza est de toute évidence un enjeu mortel pour les tenants de l’annexion de la bande comme le revendique à cor et à cri le suprémaciste Belazel Smortich.
Il faut souligner les réserves émises au sein même de l’état-major de l’armée qui déclare Ghaza-ville «zone de combat dangereuse». «à partir d’aujourd’hui (vendredi), à 10h00 (08h00 GMT), la pause tactique locale dans l’activité militaire ne s’appliquera pas à la zone de la ville de Ghaza, qui constitue une zone de combat dangereuse».
Ce sont-là les termes du communiqué de l’armée d’occupation. Ses déboires ne s’arrêtent pas là puisqu’il nous parvient du Royaume Uni qu'aucune délégation gouvernementale sioniste ne sera invitée à participer au DSEI UK 2025», un salon d'armement prévu début septembre à Londres. Cerise sur le gâteau dirions-nous, cette déclaration de la Commissaire de l’Union européenne, chargée de l’aide humanitaire Hadja Lahbib (Belge, d’origine algérienne) a appelé ce jeudi 27 à avoir «le courage politique de trouver une voix forte» sur la guerre à Ghaza. «Ce qui se passe là-bas me hante et devrait nous hanter tous. Car c’est une tragédie et nous serons jugés par l’histoire et par nos petits-enfants», a-t-elle encore dit. «Nous ne pouvons pas rester les bras croisés et simplement regarder des civils innocents, des travailleurs humanitaires, des journalistes se faire tuer et mourir de faim». Le discrédit des justifications des opérations criminelles s’ajoute à l’opprobre sur l’Etat colonial spoliateur d’Israël. Une réalité aggravée par ce rapport des Nations Unies sur les disparitions forcées des enfants ghazaouis à la recherche de nourriture devant les centres de distribution contrôlés par l’armée sioniste, GHF, qui s’avèrent être des pièges mortels pour ventres affamés. Pas de fumée sans feu, le vol d’organes a déjà fait la une de l’actualité de l’enclave palestinienne. Des associations humanitaires non gouvernementales avaient vite fait de dénoncer le commerce, abjecte, sur les corps humains.
Pour le reste, beaucoup d’espoirs sont attachés à une prochaine armada de bateaux et voiliers de toutes dimensions, le mois prochain – septembre- pour briser le blocus et la fin du génocide. Pour l’histoire, le premier ministre britannique, connu pour son «V» de la victoire durant la seconde guerre mondiale, en avait appelé à tous les mariniers du royaume à se joindre dans la bataille de l’Atlantique contre l’Allemagne nazie en plus de la puissante marine navale de son pays. Les flottilles de la liberté, en grand nombre sont attendues, au grand dam des génocidaires.
Brahim Taouchichet
En dépit des énormes moyens mobilisés en hommes et en matériels lourds et des plus sophistiqués, l’armée génocidaire se heurte à la résistance héroïque des combattants du Hamas : brigades al-Qassam, Sariat al-Qods.
En conséquence, le criminel Netanyahou se voit obligé de réviser ses plans, modère quelque peu son discours belliqueux et tente une échappatoire. D’abord, il cherche à calmer les familles des détenus aux mains de la résistance en annonçant la récupération de deux dépouilles. Des détenus morts sous les bombardements de son armée - ce qu’il évite de dire. Ensuite, les pertes militaires en hommes et en matériels aussi bien au nord de la bande qu’au sud, à Khan Younes, ont un impact sur l’arrogance du néonazi sur fond de contestation de sa politique génocidaire.
Dès lors, il est question de «pause tactique locale» selon un communiqué de l’armée d’agression sur toute l’étendue de l’enclave palestinienne. Soit disant pour permettre le passage des aides humanitaires. Pour autant, l’occupant poursuit ses tueries contre les populations civiles affamées.
La défense civile dans Ghaza a fait état hier vendredi de 33 morts depuis l'aube. Il reste que le plan d’occupation militaire de la ville de Ghaza est de toute évidence un enjeu mortel pour les tenants de l’annexion de la bande comme le revendique à cor et à cri le suprémaciste Belazel Smortich.
Il faut souligner les réserves émises au sein même de l’état-major de l’armée qui déclare Ghaza-ville «zone de combat dangereuse». «à partir d’aujourd’hui (vendredi), à 10h00 (08h00 GMT), la pause tactique locale dans l’activité militaire ne s’appliquera pas à la zone de la ville de Ghaza, qui constitue une zone de combat dangereuse».
Ce sont-là les termes du communiqué de l’armée d’occupation. Ses déboires ne s’arrêtent pas là puisqu’il nous parvient du Royaume Uni qu'aucune délégation gouvernementale sioniste ne sera invitée à participer au DSEI UK 2025», un salon d'armement prévu début septembre à Londres. Cerise sur le gâteau dirions-nous, cette déclaration de la Commissaire de l’Union européenne, chargée de l’aide humanitaire Hadja Lahbib (Belge, d’origine algérienne) a appelé ce jeudi 27 à avoir «le courage politique de trouver une voix forte» sur la guerre à Ghaza. «Ce qui se passe là-bas me hante et devrait nous hanter tous. Car c’est une tragédie et nous serons jugés par l’histoire et par nos petits-enfants», a-t-elle encore dit. «Nous ne pouvons pas rester les bras croisés et simplement regarder des civils innocents, des travailleurs humanitaires, des journalistes se faire tuer et mourir de faim». Le discrédit des justifications des opérations criminelles s’ajoute à l’opprobre sur l’Etat colonial spoliateur d’Israël. Une réalité aggravée par ce rapport des Nations Unies sur les disparitions forcées des enfants ghazaouis à la recherche de nourriture devant les centres de distribution contrôlés par l’armée sioniste, GHF, qui s’avèrent être des pièges mortels pour ventres affamés. Pas de fumée sans feu, le vol d’organes a déjà fait la une de l’actualité de l’enclave palestinienne. Des associations humanitaires non gouvernementales avaient vite fait de dénoncer le commerce, abjecte, sur les corps humains.
Pour le reste, beaucoup d’espoirs sont attachés à une prochaine armada de bateaux et voiliers de toutes dimensions, le mois prochain – septembre- pour briser le blocus et la fin du génocide. Pour l’histoire, le premier ministre britannique, connu pour son «V» de la victoire durant la seconde guerre mondiale, en avait appelé à tous les mariniers du royaume à se joindre dans la bataille de l’Atlantique contre l’Allemagne nazie en plus de la puissante marine navale de son pays. Les flottilles de la liberté, en grand nombre sont attendues, au grand dam des génocidaires.
Brahim Taouchichet
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